Sur Quelles Limites Du Pib Le Rapport Stiglitz Insiste T Il

. . . . . 1.1.2 Pourquoi la macroéconomie ? . . . . . . . . . . . . . . . 1.1.3 Trois grands objectifs des politiques macroéconomiques 1.2 La croissance ou l’augmentation de la production agrégée . . . 1.2.1 PIB, valeur ajoutée et revenu . . . . . . . . . . . . . . . 1.2.2 PIB nominal et PIB réel . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.3 La comptabilité nationale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.4 Le chômage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.4.1 Le taux de chômage

monétaire international (FMI). Celui-ci a passé une longue histoire avec de grandes réformes et jusqu’aujourd’hui, il occupe encore une position méritée dans le monde financier. Dans le cadre modeste de mon travail de recherche, je voudrais bien insister sur les points principaux ci - dessous en vous fournissant une vue plus générale sur cette institution: 1. La formation et le développement du FMI 2. La structure organisationnelle du FMI 3. Le mode de fonctionnement du FMI REMERCIEMENT

et de la hiérarchie des nations. Ainsi, pour la Banque mondiale, les « économies en développement » correspondent aux économies à faibles revenus et à revenus intermédiaires. Ces catégories sont constituées en fonction du PNB par tête. En 2010, le Rapport sur le développement dans le monde distinguait les catégories suivantes : économies à faibles revenus : < à 975 $ par habitant avec des pays comme Madagascar, Mali, Afghanistan, Bangladesh, Népal, Yémen, Haïti, etc. économies à revenus intermédiaires

économique. Dans cette idée, il conduit à des effets préjudiciables tant pour la croissance que pour la répartition des revenus. Il ne devrait pas être encouragé par le gouvernement mais à contrario réprimé ou nationalisé. Le débat fréquent sur le rapport entre finance et développement renvoie à la question de la répression financière, c’est-à-dire au maintien de taux d’intérêt bas et à l’intervention publique dans les activités des banques (efficacité des systèmes financiers) dans les pays en développement

dirigeants et universitaires comme elle l’a gouverné au cours des 100 dernières années. Nous démontrerons que les postulats de la théorie classique ne s’appliquent qu’à un cas spécial et non au cas général ; la situation qu’elle suppose étant à la limite des situations d’équilibre possibles. Au surplus, les caractéristiques du cas spécial auquel cette théorie s’applique se trouvent ne pas être celles de la société économique dans laquelle nous vivons réellement. Son enseignement ne peut donc qu’être

Bibliographie : * Daniel Cohen, Richesses du monde, pauvreté des nations, Edition Flammarion * Stiglitz, La grande désillusion, édition Fayard * Christian Chabagneux, Les dernières heures du libéralisme, édition Perrin L’objectif de ce cours est : * Montrer la diversité des différents courants de pensée, savoir distinguer entre les classiques, les néo classiques, les marxistes des keynésiens * Savoir caractériser les modes de fonctionnement du système économique : le libéralisme

  économique   est   irrégulière   dans   le   temps.   Cette   irrégularité   se   traduit   par   des   fluctuations,   soit   du   niveau   absolu   du   PIB,   soit   du   taux   de   croissance   du   PIB.   La   prise   de   conscience   de  l’irrégularité  de  la  croissance,  sans  doute  à  la  faveur  des  chocs  pétroliers  de  1973  et  1979  et

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motifs de l'intervention publique : – – – l'allocation des ressources (leur affectation entre différents usages, selon les objectifs poursuivis ou à cause de défaillances de marché). la stabilisation économique (pour corriger des écarts par rapport à l'évolution souhaitée). la redistribution (entre régions, entre acteurs) qui vise à modifier la répartition des revenus. L'intervention de l'État entend favoriser l'émergence des marchés, pallier les défaillances du marché, corriger la rationalité

dans l'économie …………………………………………………................................. 022 TEXTES: Serge Latouche. Laurent Cordonnier. Armand Farrachi . Joseph Stiglitz. Pierre Thuillier. Pierre Cahuc. Jacques Sapir……………………………………………. 027 3. Le langage du pouvoir………………………………………………………..................................... 031 TEXTES: George Orwell. John Maynard Keynes. Joseph Stiglitz . Pierre Thuillier. Frédéric Beigbeder. Armand Farrachi . Dominique Méda . George Orwell. Jacques Sapir ……………………………………………………………. 039 PARTIE