Sur Une Morte Alfred De Musset

Commentaire composé: Alfred de Musset « La Nuit de Mai », Les Nuits(1835) Intro Né en 1810, mort en 1957, Alfred de Musset est aujourd'hui considéré comme l'un des plus grand poètes romantiques français.. Il compose, de 1835 à 1837 « Les nuits », chef d'œuvre lyrique qui comporte quatre poèmes, dont celui dédié a George Sand son grand amour, Musset a écrit ce poème qui illustre le mal que cette femme lui a fait. « La nuit de mai » est aussi un des composant de cette œuvre. Ces poèmes sont

Microsoft Word - 16D131C - Stéphane Perret - Epreuve de littérature comparée 2 - Session 1 - 20221 Stéphane PERRET Licence 2 SESSION 1 – 2022 ÉPREUVE DE LITTÉRATURE COMPARÉE 2 16D131C Lorenzaccio est une pièce de théâtre écrite par Alfred de Musset en 1834. Dans ce drame historique romantique en cinq acte, la scène 7 de l’acte III met en scène le personnage de Philippe Strozzi qui, ulcéré par l’arrestation de ces deux fils, convie à souper les membres de sa vaste famille. Mais il s’agit

Victor Hugo (1802-1885) 2) Théodore de Banville (1823-1891) 3) Alfred Du Musset (1810-1857) 4) Théophile Gautier (1811-1872) 5) Paul Verlaine (1844-1896) 6) Charles Baudelaire (1821-1867) 7) Léon Pamphile Le May (1837-1918) III/. Les œuvres : 1) Claire de lune, de Victor Hugo- Les Orientales. 2) La lune, de Théodore de Banville. 3) Ballade à la lune, d’Alfred De Musset. 4) La Lune, de Théophile Gautier. 5) Claire de lune, de Paul

La souffrance du poète est apaisée par l'idée de la renaissance en une fleur, ainsi la description de la Nature est conséquence du mal que ressent Ronsard. Ensuite, les quatre poèmes romantiques qui suivent sont "L'isolement" et "L'automne" par Alfred de Lamartine de Méditations Poétiques, écrit en 1820. On a aussi "Le déluge" d'Alfred de Vigny un extrait de Poèmes antiques et modernes, publié en 1823, ainsi que "Soleils couchants" de Les Feuilles d'Automne écrit en 1831 par Victor Hugo. "L'isolement"

Français ON NE BADINE PAS AVEC L’AMOUR Acte III scène 8 Alfred de Musset : Dramaturge et poète du XIXème s., il fait partie du cénacle (regroupement des auteurs romantiques). Après un échec, il écrit du théâtre pour qu’il soit lu et non joué (« théâtre dans un fauteuil »). Suite à sa rupture avec George Sand, il projette d’écrire un roman inspiré de leur histoire mais on lui commande une comédie, c’est donc sans grand enthousiasme qu’il commence à rédiger On ne badine pas avec l’amour. Cette

Biographie [modifier] Né sous le Premier Empire, le 11 décembre 1810, Alfred de Musset appartient à une famille aristocratique, affectueuse et cultivée, où l'on a le goût des lettres et des arts. Son père, Victor-Donatiene de Musset-Pathaoy , est un raté de la socialisation primaire , il n'a pas fais beaucoup d'études et est inculte, . Lerouxa, Juby & Cie, et Game soeurs, 1859, tome XI, p. 155.,[1]; il a épousé le 2 juillet 1801 Edmée-Claudette-jeanne Guyot-des-Harbiers[2], née le 14 avril

A- Pierre de RONSARD, « Madrigal », Sonnets pour Hélène, 1578 B- Alfred de MUSSET, « A George Sand », Poésies posthumes, 1866 C- Paul VERLAINE, « Ô triste était mon âme », Romances sans paroles, 1874 D- Robert DESNOS

celle d’un mouvement littéraire et culturel du XIXe siècle – le romantisme. Pauline 1 Composé de plusieurs récits enchassés, ce roman se prête à ˆ l’étude des procédés narratifs. Le narrateur premier, Dumas luimême, donne la parole à son ami Alfred de Nerval (on remarquera la proximité avec Gérard de Nerval, ami de Dumas). Celui-ci explique comment il a sauvé son amie Pauline de Meulien, enterrée vivante dans le cachot de l’abbaye de GrandPré avant de céder la parole à la jeune femme. Pauline

t'enivrer d'un plaisir dangereux ; Sur ton chemin l'étoile qui se lève Longtemps encore éblouira tes yeux. Un jour tu sentiras peut-être Le prix d'un coeur qui nous comprend, Le bien qu'on trouve à le connaître, Et ce qu'on souffre en le perdant. Alfred de MUSSET ANTHOLOGIE POÉTIQUE !5 SECONDE 2 LÉIA VINGRIEF Demain, dès l’aube... Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends. J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Je ne puis demeurer

respecte en soi-même. Regarde le ciel, il te voit, Embrasse la terre, elle t’aime. La vérité c’est ce qu’on croit En la nature c’est toi-même. George Sand A une fleur Que me veux-tu, chère fleurette, Aimable et charmant souvenir ? Demi-morte et demi-coquette, Jusqu’à moi qui te fait venir ? Sous ce cachet enveloppée, Tu viens de faire un long chemin. Qu’as-tu vu ? que t’a dit la main Qui sur le buisson t’a coupée ? N’es-tu qu’une herbe desséchée Qui vient achever de mourir ? Ou