Surpêche

actuelles se confirment, la perte de biodiversité continuera jusqu'à la fin du siècle, alors que des milliards de personnes en dépendent directement pour leurs modes de subsistance, voire leur survie » ; l'ONU appelle à une action urgente d'ici 2020). La surpêche semble avoir cessé de croître, mais persiste, avec seulement 20 % des stocks halieutiques modérément exploités ou sous-exploités. La déforestation et dégradation des forêts a ralenti dans le monde depuis 2000, mais elle se poursuit en Afrique et

le secteur privé et les milieux de la conservation afin d’assurer l’abondance des ressources financières en faveur de la protection de la nature au Cameroun, mais aussi pour s’attaquer à des problèmes comme l’exploitation abusive des forêts et la surpêche. Concernant la Convention sur la biodiversité, le WWF fournit un appui à plusieurs pays Africains pour développer des actions concrètes à même de faire appliquer cette Convention. Pour cela, au Cameroun, le WWF renforce son travail de sensibilisation

patrimoine : anéantissement d'espèces animales (Grizzli, troupeau de bisons réduit de 60 millions de têtes à quelques centaines de milliers), déforestation jusque dans les années 1960 avec surconsommation de bois et de pâte sans politique forestière, surpêche avec des espèces très menacées comme le hareng et la morue par exemple à la fin des années 1960, érosion et usure irréversibles des sols, paysages défigurés par les carrières à ciel ouvert. Le deuxième effet a été une pollution excessive des eaux

informée que par le passé, demande d'avoir son mot à dire sur les projets qui lui affectent la vie.[63] Un autre secteur économique traditionnel de la Bretagne, la pêche, traverse actuellement une période de crise. Les fonds marins, dévastés par la surpêche internationale, obligent les pêcheurs bretons à aller travailler de plus en plus loin, jusqu'aux côtes sénégalaises et même aux Caraïbes. Et le nombre d'emplois diminue tous les ans, de 40 000 avant la guerre à moins de 10 000 à la fin des années

domaine de la sécurité du transport maritime en est le parfait exemple. Lorsque les Institutions européennes ne proposent aucune mesures efficaces pour lutter contre la les problèmes maritimes tels que la pollution, les trafics illicites ou encore la surpêche, cela ne fait que faillir à leur crédibilité. De plus, les principes de liberté des mers ou de subsidiarité88 empêchent la mise en place effective de mesures de prévention, de protection et de répression. Dans ce contexte, l’idée d’une stratégie

l’occasion du 30e anniversaire de l’ouverture de la cérémonie de signature de la convention des Nations unies sur le droit de la mer, a lancé un appel à la communauté internationale pour sauver les océans à travers une initiative contre la pollution, la surpêche et la montée des eaux qui menace des centaines de millions de personnes. Depuis le début de la révolution industrielle, le pH moyen des eaux de surface des océans a diminué approximativement de 0,1 unité, passant de 8,2 à 8,1. En d’autres termes

mer n’est pas régie par un ordre juridique mondial puisque c’est le droit des autorités de l’Etat dont le navire bat le pavillon qui s’applique. Un tel état de fait crée une faille pour les activités criminelles (piraterie, trafics) ou illégales (surpêche, pêche d’espèces protégées). La question de la sûreté maritime et de la surexploitation de la haute mer fait ainsi l’objet d’une prise de conscience récente : la communauté internationale s’est donnée jusqu’en janvier 2015 pour élaborer une gouvernance

actuelles se confirment, la perte de biodiversité continuera jusqu'à la fin du siècle, alors que des milliards de personnes en dépendent directement pour leurs modes de subsistance, voire leur survie » ; l'ONU appelle à une action urgente d'ici 2020). La surpêche semble avoir cessé de croître, mais persiste, avec seulement 20 % des stocks halieutiques modérément exploités ou sous-exploités. La déforestation et dégradation des forêts a ralenti dans le monde depuis 2000, mais se poursuit en Afrique et Amérique

comme en 1930, on n’a pas pus se mettre d’accord sur la largeur de la mer territoriale. Il y avait un deuxième problème, c’est la revendication des états à avoir une zone dans laquelle ils auraient des droits préférentiels en matière de pêche. La surpêche fait que les états désirent avoir une zone de pêche. On est d’accord sur l’idée mais pas sur la largueur de cette zone. Deux questions importantes que l’on n’a pas résolu qui sont des projections dans l’espace, on réunit la deuxième CNUDM. Cette

des côtes. Représentent 65 % de la surface océanique mondiale, la navigation, la pêche et l’extraction y sont totalement libres. Ces eaux n’appartiennent à aucun État et sont placées hors législation, ce qui accroît les risques de piraterie ou de surpêche. ➤ Procéder par étapes Pour donner un panorama complet des nombreux enjeux stratégiques concernant les espaces maritimes, il convient de s’intéresser aux différentes raisons qui rendent ces espaces importants pour les différents acteurs qui y