Surréalisme Pont Mirabeau

d'Annie vers L'Amérique pour échapper à l'amour envahissant de Guillaume. "Landor Road" était l'adresse d'Annie à Londres. L'Emigrant représente donc autant l'amante disparue, que l'amant délaissé. B – Cycle de Marie « Zone », « Marie », « Le pont Mirabeau », « Cors de chasse » => poèmes mélancoliques où plane l’ombre d’un amour passé NB : ces deux cycles présentent des femmes qui le font souffrir en le quittant, en ne se livrant ps entièrement ; le poète se présente comme leur victime. C – Autres

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Guillaume APOLLINAIRE “Le pont Mirabeau” Sous le pont Mirabeau coule la Seine Et nos amours Faut-il qu'il m'en souvienne La joie venait toujours après la peine Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure Les mains dans les mains restons face à face Tandis que sous Le pont de nos bras passe Des éternels regards l'onde si lasse Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure L'amour s'en va comme cette eau courante L'amour s'en va Comme la vie est lente Et comme l'Espérance

de l'eau. En effet, au premier vers "Sous le pont Mirabeau coule la Seine" l'élément statique (pont) est rejetté en début de vers et l'élément dynamique (eau) en fin de vers, ce qui suggère une certaine fluidité. De plus, l'amour et l'eau semblent s'enfuir ensemble "Sous le pont Mirabeau coule la Seine et nos amours" (ce qui n'est pas vrai> verbe coule au singulier) Cette impression est renforcée à la 2ème strophe, où l'amour est passé sous le pont que le peintre et Apollinaire ont constitué avec

A partir de 1909 Guillaume Apollinaire collabore en tant que critique d'art à L'Intransigeant et au Mercure de France. Il rencontre, Marie Laurencin, grâce à Picasso. Ils auront une liaison passionnée dont la rupture en 1912 lui inspirera "Le Pont Mirabeau". Alcools, recueil de poèmes de 1898 à 1912 jusque là publiés dans des revues, est publié en avril 1913. A la composition, en 1911 et 1912, il ne s'attache pas à suivre un ordre chronologique, notamment en plaçant "Zone" en tête du livre. Les

vers ( distich ) : Invitation au voyage ( La tout n’est qu’ordre et beauté…), Le Pont Mirabeau. Quelque soit sa forme , le refrain doit être reproduit fidèlement par le traducteur. Certes, aucun traducteur n’ose altérer le refrain dans le formes fixes mais il y en a qui le font dans les autres types de poèmes ( qui ne sont pas de formes fixes) ce qui est inacceptable. Ainsi M.Beniuc dans la traduction du Pont Mirabeau. Ce poème outre le distichs a un refrain secondaire : la réponse du premier vers

que des noms ; ttes ces années passées – l’enfant rapporté par une sœur, 1 sem ap la mort de Clémence – tué par narr (« l’assasin de Clémence ») en l’étouffant avec un oreiller – pas de remords ni d’états d’âme- souvenir au pont des voleurs [cf Apollinaire « Sous le pont Mirabeau »] – aujourd’hui tt est fini ; mon hist et ma vie ; la carabine de Gachentard. Ecrire votre commentaire... PLUS D'INFOS (Facultatif) Nom Votre centerblog .centerblog.net E-mail Etre averti en cas de nouveau commentaire

Le Pont Mirabeau Présentation : Le Pont Mirabeau est publié en 1912, d'inspiration amoureuse de 5 ans ; G. Appo empruntait souvent ce pont avec Marie Laurencin pour se rendre d'Auteuil à Paris. LECTURE Nous pourrons dès lors nous demander comment Apollinaire parvient-il à rassembler dans ce poème les termes élégiaques du temps et de l'amour ? Dans un premier temps ; poésie élégiaque, puis sur cette essence poétique particulière. I-A) le Temps Éraclite ( philosophe grec, 500 ans avant

Point Mirabeau Apollinaire Le poème Le Pont Mirabeau est un extrait du recueil Alcools paru en 1913. Apollinaire traite de la disparition de l'amour avec le passage du temps, dont la métaphore est l'écoulement de la Seine sous le pont Mirabeau, à Paris. Les principales thèmes de son poème sont la perte de l'amour et la fuïte du temps. Apollinaire y fait allusion à sa rupture avec Marie Laurencin et au-delà évoque la fuite du temps semblable à l'eau qui s'en va. A la première strophe le lieu

verrons ensuite si la poésie à d'autres fonctions que d’émerveiller. Le pont Mirabeau pourrait être vu comme le symbole du lyrisme chez Guillaume Apollinaire. Car tout en faisant appel aux ressentis classiques tel que l'amour, il laisse toujours apparaître une pointe de mélancolie et de fatalité dans ses vers. Ainsi il écrit « Passent les jours et passent les semaines Ni temps passé Ni les amours reviennent Sous le pont Mirabeau coule la Seine ». Grâce à la répétition du verbe passer, il exprime le