Suzanne Lacore

nouvelle génération d'élus radicaux non-conformistes et ancrés à gauche »35, à des postes qu'il juge importants : l'Éducation nationale pour Jean Zay (32 ans !), l'Air pour Pierre Cot. En outre, Blum est le premier à faire appel à des femmes (Suzanne Lacore, Irène Joliot-Curie et Cécile Brunschvicg) pour occuper des secrétariats d'État, alors que celles-ci n'ont toujours pas le droit de vote36. Le gouvernement est globalement dominé par les socialistes (20 ministres et secrétaires d'État, contre

• 1936 : en juillet, la Chambre des députés se prononce à l'unanimité pour le suffrage des femmes (475 contre 0). Le texte n'est jamais inscrit à l'ordre du jour du Sénat[35]. Le Front Populaire nomme trois femmes sous-secrétaires d’État : Suzanne Lacore, Irène Joliot-Curie et Cécile Brunschvicg. Défiance des radicaux[modifier] Le Sénat constitue le principal point de blocage institutionnel à l'adoption de la mesure[36]. Traditionnellement plus conservateur que la Chambre des députés, il

nouvelle génération d'élus radicaux non-conformistes et ancrés à gauche »35, à des postes qu'il juge importants : l'Éducation nationale pour Jean Zay (32 ans !), l'Air pour Pierre Cot. En outre, Blum est le premier à faire appel à des femmes (Suzanne Lacore, Irène Joliot-Curie et Cécile Brunschvicg) pour occuper des secrétariats d'État, alors que celles-ci n'ont toujours pas le droit de vote36. Le gouvernement est globalement dominé par les socialistes (20 ministres et secrétaires d'État, contre

députés adopte le suffrage féminin, mais le Sénat refuse. 1936 : Trois femmes entrent au gouvernement de Léon Blum :  En France, trois femmes entrent pour la première fois au gouvernement comme sous secrétaires d’Etat : Irène Joliot-Curie, Suzanne Lacore, Cécile Brunschvig. 1944 : 21avril Ordonnance d’Alger accordant le droit de vote aux femmes La France combattante à Alger accorde le droit de vote aux femmes, près d'un siècle après l'adoption du suffrage universel masculin. La France est l'un

première crise des changes - création de la Confédération générale de la production française (CGPF) (rôle d’Etienne Clementel) - nombreuses grèves (grève générale le 1er mai ; jusqu’en 1920) - A l’ombre des jeunes filles en fleur, Marcel Proust - Suzanne Lenglen « la Divine » est championne du monde de tennis - « rappel à l’ordre » (Cocteau) dans les arts (cf évolution de Picasso, ou encore architecture de la reconstruction) 1920 - loi contre la contraception et l’avortement (une autre en 1923)

par les communistes. De même, il se montre novateur avec de nouveaux ministères (Léo Lagrange sous-secrétaire d’Etat aux Sports et aux Loisirs) et 3 femmes au gouvernement (Irène Joliot-Curie sous-secrétaire d’Etat à la recherche scientifique ; Suzanne Lacore, Cécile Brunschvicg). Une vague de grèves accueille le nouveau gouvernement avec 2M de salariés. Spontanément déclenchées après la victoire du Front Populaire elles s’accompagnent d’occupations d’usine dans la joie pour hâter les négociations

(en 1910, les institutrices obtiennent le maintien du traitement). 1924 : Les programmes de l’enseignement secondaire ainsi que le baccalauréat deviennent identiques pour les filles et les garçons (décret du 25 mars). 1936 : Cécile Brunschvicg, Suzanne Lacore et Irène Joliot-Curie sont nommées soussecrétaires d’État (à l’Éducation nationale, la Protection de l’enfance et la Recherche scientifique) dans le gouvernement de Léon Blum. 1938 : Suppression de l’incapacité civile : les femmes peuvent s’inscrire

dont le maire est Pierre Mendès France, six conseillères sont ainsi élues et siègent avec voix consultative. 1936 - France : Le 4 Juin, Blum appelle trois femmes dans son gouvernement. Il s'agit de Cécile Brunschwig, présidente de l'UFSF, Suzanne Lacore et Irène Joliot-Curie. Le 30 juillet, la Chambre des Députés se prononce pour la sixième et dernière fois pour le vote des femmes par 495 voix contre 0. Le gouvernement s'abstient. Le Sénat n'inscrira jamais ce texte à son ordre du jour… 1937

1-Emancipation féminine, des avancées dans le creux de la vague du féminisme : -1932 : généralisation des allocations familiales -1936 : Premières femmes secrétaires d’Etat dans le gouvernement de L.Blum (Cécile Brunswick, Irène Joliot-Curie, Suzanne Lacore) -1938 : la femme n’est plus tenue au devoir d’obéissance à son mari. -1940 : loi interdisant l’embauche de femmes mariées, et imposant la mise en retraite des travailleuses de plus de 50 ans (loi abrogée en 1942). -1944 : droit de vote

femmes commencent à entrer en politique lorsque le Gouvernement du Front Populaire dirigé par Léon Blum , nomment trois femmes secrétaires d’Etat : Cécile Brunschvicg à l’éducation nationale , Irène Joliot-Curie à la recherche scientifique et Suzanne Lacore à la protection de l’enfance. L’ Ordonnance de 21 Avril 1944 dispose que «  les femmes sont électrices et éligibles dans les mêmes conditions que les hommes ». On n’a pas , parce qu’on a reconnu ces droits , inclus les femmes de façon automatique