Swiss made

valeurs qui règne dans leur société et qui spécifie sa vision du monde. Elle offre la possibilité d'un plaisir désintéressé comme le pense Kant. 3) Une distinction bien mince Les premières œuvres de Marcel Duchamp qui ont marqué ont été les ready-Made, véritable objet de la vie quotidienne récupérés, et simplement décontextualisés et élevées au rang d'œuvre d'art. Un porte-bouteille, une roue de vélo, un bidet. On peut imaginer que par là s'amorce une rupture avec toute définition traditionnelle

que dans le domaine de la peinture, c’est ce que je vais montrer tout à l’heure. c)Analyses d’œuvres artistiques Fontaine, de Marcel Duchamp Cette œuvre est un ready-made créé en 1917 par Marcel Duchamp. Marcel Duchampsest un dadaïste considéré comme le père du ready-made dont il nous donne la définition comme quoi un « ready made » serait "objet usuel promu à la dignité d'objet d'art par le simple choix de l'artiste". Mais derrière cet objet se cache tout l'esprit de Duchamp , que je vais vous

Arman Biographie Arman, né Armand Fernandez le 17 novembre 1928 à Nice, il est mort à New York le 22 ectobre 2005. Arman avait à la foi la nationalité française et la nationalité americaine. Son pays de residence était au Etats-Unis. Il est un artiste français, peintre, sculpteur et plasticien, célèbre pour ses « accumulations ». Il fut l’un des premiers à employer directement, comme matière picturale, les objets manufacturés, qui s’apparentaient pour lui à des extensions de l’humain, à croissance

plus classique, de l'universalité de l'œuvre d'art. Mais Arendt se situe sur un plan plus pratique: les œuvres d’art durent parce qu'elles ne servent à rien. «Elles sont délibérément écartées des procès de consommation et d'utilisation». Les ready-made de Duchamp, justement parce que ce sont initialement des objets d’usage, illustrent parfaitement ce processus de mise à l'écart délibérée de la fonction. L'urinoir, la pelle à neige, le porte-bouteille de Duchamp, en tant que tels, sont des objets

(1912), de style | |cubiste et qui fera sensation par son sujet. En effet, il réalise dès 1913 le premier d'une | |série de ready-made, la « Roue de bicyclette ». Un ready-made est un objet auquel Duchamp | |change la signification première. Dans « Tu m'… », Duchamp intègre plusieurs éléments | |empruntés à ses œuvres précédentes, comme les ready-made. La problématique de Duchamp | |consiste à faire évoluer l'art d'une expression animale vers une expression intellectuelle. |

est considerée comme accessoire et des objets artistiquement insoupçonnés sont alors exposés et traités comme des chefs-d’œuvre. Le mouvement Dada est révolutionnaire par ses techniques d’art innovatrices tels que le collage, le frottage ou le ready-made. Commencement Le Cabaret Voltaire est un lieu de culture actif pendant six mois, de février à juillet 1916, il finit par fermer ses portes pour tapage nocturne et tapage moral, non sans avoir dans l'intervalle fait émerger

DU READY-MADE A L’OBJET SURREALISTE INTRODUCTION « L'homme se découvre quand il se mesure avec l'objet » Antoine de Saint-Exupéry En art, l’objet traverse la tradition picturale occidentale dès l’antiquité. Mais c’est au XVIe siècle que la représentation de l’objet inanimé devient autonome et constitue un genre à part entière, celui de la nature morte, qui se canonisera alors en tant que peinture d’objets qui posent, comme suspendus dans le temps et agencés par la main de l’artiste. Crânes,

à introduire dans l’œuvre d’art des fragments hétérogènes de la réalité sensible. Ainsi, le peintre devenait capable simultanément d’illustrer et de détruire l’illusion spatiale qui conditionnait toute la peinture. En introduisant l’élément « ready-made » (tout fait), en l’occurrence le cannage de la chaise, vrai seulement en apparence, il inventait une nouvelle manière de représenter la réalité. Les lettres du journal n’étaient pas destinées à l’information, mais à l’esthétique et au symbole. Les

nombreuses photographies et les répliques miniatures des ready-made La Fontaine et Grand Verre. L’artiste a envisagé l’édition d’une boîte qui rassemble les œuvres qu’il a réalisées depuis le début de sa carrière. Ainsi naît l’idée d’une sorte d’album qui présente des images de ses peintures (le Nu descendant l’escalier, la Broyeuse de chocolat,…) mais aussi des reproductions miniatures en trois dimensions de ses sculptures et de ses ready-made*, parmi lesquels bien sûr, la Fontaine. La boîte-en-valise

à introduire dans l’œuvre d’art des fragments hétérogènes de la réalité sensible. Ainsi, le peintre devenait capable simultanément d’illustrer et de détruire l’illusion spatiale qui conditionnait toute la peinture. En introduisant l’élément « ready-made » (tout fait), en l’occurrence le cannage de la chaise, vrai seulement en apparence, il inventait une nouvelle manière de représenter la réalité. Les lettres du journal n’étaient pas destinées à l’information, mais à l’esthétique et au symbole. Les