Swiss made

L'art conceptuel Ready-made : c'est la seule décision subjective de l'artiste qui en fait une œuvre d'art. Cela permet à Duchamp de se lancer dans La mariée mise à nue par ses célibataires même, l'ensemble est mis sur verre mais le verre a été cassé, fendu : Duchamp s'en réjouit et décrète l’œuvre définitivement inachevée en 1923. Sa dernière œuvre est Étant donnés 1. la chute d'eau 2. l'éclairage. Délibérément ça devient difficile par la mise en scène. Tout le reste de la fin de sa vie est

Fontaine est un ready-made : qui est une œuvre formée d’un ou plusieurs objets et ayant subi une ou plusieurs touches personnelle. Marcel Duchamp est un artiste français né en 1887 et mort en 1968, il a vécu la même période que celle de Picasso. Plus-tard il se consacre a des études et à la recherche de l’anti-art (tous ce qui est contre académique). Fontaine a été réalisé en 1917 c’est une œuvre d’avant-garde c'est-à-dire un ensembles des mouvements artistiques de la fin du 19eme siècle et du début

d’une grande exposition sur son oeuvre. Dali l’aurait accueilli gentiment et accompagné dans la visite de l’exposition. En 1975, Jeff Koons étudie à l’Institut des Beaux-Arts de Chicago. Ed Paschke, son professeur devenu un ami, l’initie au "ready made" et aux idées de Marcel Duchamp. En 1976, Jeff Koons s’installe à New York où il devient trader pendant 10 ans. En 1980, à côté de son activité de trader, Jeff Koons commence à élaborer son oeuvre. En 1991, Jeff Koons se marie avec la Cicciolina

bicyclette », fixée sur un tabouret de cuisine et réalisée pour la décoration de son atelier le conduit à développer le concept de « ready-made ». Ceux-ci sont des œuvres d’art qui n’ont pas été créées par l’artiste, ce dernier n’intervenant en effet que pour les sélectionner et changer leur contexte. Ainsi, « l’égouttoir », en 1914 et exposé comme une œuvre d’art est un ready-made. Il n’y a pas de la part de Duchamp de jeu sur les significations par le biais d’une nouvelle dénomination, mais déjà l’œuvre est

plastique, et conceptuelle, tourne autour des mots, de leur définition, et de leur impact. Il est à la fois théoricien et plasticien conceptuel. Il donne d'ailleurs sa définition de l'art dans son manifeste Art After Philosophy publié en 1969 : "Le ready-made fit de l'art une question de fonction. Cette transformation - ce passage de l'apparence à la conception - marquera le début de l'art moderne et de l'art conceptuel. Tout l'art après Duchamp est conceptuel […] L'idée de l'art et l'art sont la même chose

naître (objets qui transcendent l’histoire). Mais dans cette mesure, tout objet arraché à son contexte habituel pourrait devenir une œuvre d’art : c’est la tentative de Marcel Duchamp qui exposa un urinoir dans un musée au début du siècle (ready-made = objets de la vie courante exposés au regard esthétique) ie détacher un objet de son utilité g en faire une œuvre d’art. Peut-on vraiment réduire l’œuvre d’art à son absence de fonctionnalité ? N’y a t-il pas d’autres critères permettant d’établir

savoir-faire ? Duchamp répond à ces questions par la négative, en utilisant la « technique » du ready made : L’exposition d’un objet déjà fabriqué et qui ne découle pas d’un quelconque savoir-faire de l’artiste. Il exposera d’ailleurs un urinoir au salon des indépendants de New York en 1917. La seule modification est l’apposition de sa signature sur cet urinoir qu’il s’est procuré en ville. Le ready made est intentionnellement provocateur : l’artiste n’intervient pas dans les œuvres qu’il expose ou très

E) Le ready made. Pour florence de Méredieu, "l'intrusion de celui-ci (le ready made) dans le champ d'une spphère culturelle hautement sacralisé dénote assez le caractère revolutionnaire du ready-made, lequel change désormais et du tout au tout le sens de l'art. Comme si son apparition marquait un clivage entre deux mondes". Objet issu de la production industrielle dans un premier temps, il est ensuite ready-made modifié lorsque l'artiste s"autorise à une intervention, ou ready made aidé lorsque

monde de l’art que celui de l’industrie et du commerce, peut-être même celui du divertissement populaire. En allant de surcroît dans la provocation, et de l’incompréhension de celle-ci, nous pouvons aussi parler de Marcel Duchamp, l’inventeur des ready-made au début du XXe siècle, sa démarche artistique exerce une influence majeure sur les différents courants de l'art contemporain. Il présente un urinoir qu’il a lui même acheté et rebaptisé "Fontaine". Dans l'esprit des détracteurs de l'Urinoir-Fontaine

des pères de l’art d’aujourd’hui. En quoi sa démarche artistique est-elle si révolutionnaire pour les années 1912 ? Il a en effet ouvert sur de nouveaux moyens de créer (happening, travestissements, chronophotographie, etc.). La forme du "ready-made" est sans doute la plus complète de ses oeuvres (objets manufacturés, pelles, porte-bouteilles, etc.). Il développe un "anti-art" où la théorie l’emporte sur la pratique. Ainsi, il n’y a plus le souci du beau. Ce qui intéresse davantage Marcel Duchamp