Sylla

la République § 1 - Les principales raisons de la crise : - la croissance économique et territoriale de Rome - l’inadaptation des institutions républicaines § 2 - Les tentatives de réformes : - les Gracques : le choix de la réforme sociale - Sylla : la tentative de restauration aristocratique - Pompée : le prototype avorté du principat - César : la dictature militaire § 3 - Le caractère inéluctable de l’Empire : - le second triumvirat et l’adoption d’Octave - la succession de César et la

Tel: 62184518/66416426 Nainy Keita Tel : 64303355/65080833 Mama Aissata Sylla Tel : 24559979 Alhassane Camara Tel : 66514257 Professeur chargé des cours Mr. Camara

Mr. CHEIKH OULD DAHMANE 4. Mr. ELHOUSSEIN OULD SALIHY 5. Mr. MOHAMED OULD SADVI OULD EL ALEM 6. Mme NEBGHOUHA MINT LEBEID 7. Mr. MOHAMED MAHMOUD OULD MESSOUD 8. Mme SEDI CAMARA 9. Mr. YOUSSOUF SYLLA 10. Mr. Ahmed Salem OULD SOUEIDATT 11. Mr. LEMRABOTT Med Ahid ould Nejachi 12. Mr. SIDI MOHAMED OULD EBhoum 13. Mme. MARIEME DIARRA 14. Mr. SIDI OULD M’HAIMID 15. Mr. DIDI OULD SLEYMANE

-509 avant notre ère. Puis il y a la période républicaine avec son apogée vers le III et IIème siècle av. JC. Suivie d’une période de crise vers la fin du II et le Ier siècle av. JC car il y a des guerres civiles avec 2 périodes de dictature avec Sylla de -82 à -79 et César de -46 à -44. Il y a un nouveau régime en -27 : le Principat avec Octave et le Haut empire ou les valeurs républicaines sont conservées. Mais il y a de graves crises au IIIème siècle, l’on assiste à l’apparition d’un autre régime

volontiers en être l'auteur puis prétend ensuite qu'il s'agit d'une  traduction d'un ouvrage de grec ancien. 1725: Il est élu à l’Académie française mais son élection est annulée. La raison officielle est qu’il réside en province. Il écrit "Le Dialogue de Sylla et d’Eucrate" ouvrage qui ne sera publié qu’en 1745. [pic]Il publie "Traité général des devoirs". 1726: Montesquieu renonce à sa charge de président à mortier. Il vend sa charge pour payer ses dettes et affermir ses propriétés viticoles. Son vin

invasions ioniennes que l'Attique fut organisée en cités, parmi lesquelles Cécropia, la future Athènes fut fondée vers 800 avant JC, Athènes était l'une des cités dominantes en Grèce au cours du Ier millénaire av. J.-C. • Conquise par le Romain Sylla, en 86 av. J.-C., Athènes perdit ses remparts et son rôle politique mais resta néanmoins un véritable phare intellectuel • Sous l'Empire byzantin, Athènes perdit beaucoup de sa gloire pour ne devenir qu'une petite ville de province. • En 1458

grâce à la critique de a connaissance, du jugement, jugés tous les deux comme étant subjectifs. Ce n’est pas l’homme exceptionnel dont il s’agit, malgré les exemples auxquels il fait référence dans cet extrait : Hannibal, roi d’Espagne, César, Pompée, Sylla et Marius, mais bien l’homme ordinaire qui parait derrière ces noms. 1- L’image du militaire : L’image du militaire, qui foisonne ici t de son champ lexical : victoire, ennemi, courage, guerre, attaquer…, est à ce point révélatrice du projet argumentatif

Delphes , où il fût citoyen de ces deux villes et qu'il a servit avec dévotion . Les Vies Parallèles sont un ensemble de biographies . Entre autres , on retrouve celles de Solon , de Périclès , de Dion , d'Alexandre , de Pyrrhus , de Marius , de Sylla , de Pompée , de Jules César , de Brutus , de Marc Antoine , de Cicéron . L'objectif de Plutarque est de dégager le portrait moral plutôt que de rapporter les événements politiques de l'époque . Il consacre donc un traitement détaillé à l'éducation

sens religieux : à ses yeux les dieux ne sont plus que des utilités. Il accorde plus d'importance aux sacrifices qu'au choix des divinités. Marius était presque l'égal des dieux à la suite de ses nombreuses victoires. 2 ) La « felicitas » de Sylla Sylla se caractérise par une légende liée à la chance (se fait livrer Jugurtha lorsqu'il est sous les ordres de Marius => sa gloire est immense). Il se construit sa propre légende à travers le récit de prodiges. Il rattache sa gloire à Vénus (Aphrodite)

Mais, en le souhaitant, je ne l’ai pas connu : Dans sa possession, j’ai trouvé pour tous charmes D’effroyables soucis, d’éternelles alarmes, Mille ennemis secrets, la mort à tout propos, Point de plaisir sans trouble, et jamais de repos. 21 Sylla m’a précédé dans ce pouvoir suprême ; Le grand César mon père en a joui de même. D’un oeil si différent tous deux l’ont regardé, Que l’un s’en est démis, et l’autre l’a gardé ; Mais l’un, cruel, barbare, est mort aimé, tranquille, Comme un bon