Sylvie De Nerval Analyse Des Personnage Feminin

......................................63 BIBLIOGRAPHIE......................................................................................................................................64 Masques et rôles pour une poétique des résistances : personnages de femmes dans les Littératures aux Suds.....................................................................................................................................................................65 Annick GENDRE, Université Paul Verlaine

cadre de l’exposé. Ces deux exercices - le débat et l’exposé ont pour objectif de favoriser la prise de parole. • Des pages Lecture offrant une sélection de textes accompagnés d’appareils pédagogiques constitués de rubriques constantes : Lire et analyser, Lire-écrire et Les mots pour le dire. • Une page Lecture de l’image concernant aussi bien la dimension plastique que la dimension discursive (le pouvoir de l’image). • Des pages Lectures complémentaires supplémentaire sur le thème en question

La Femme dans l'oeuvre de Baudelaire, Neuchâtel, La Baconnière, 1974. 70. M. Milner, Baudelaire, enfer ou ciel, qu'importe!, Plon, 1967,p. 100. 71. Mon coeur mis à nu, III, Pl. I, p. 677, Sur la problématique baudelairienne du naturel, voir les analyses de J.-P. Sartre, G. Blin et F. Leakey. 72. Voir notamment les chapitres X à XII du Peintre de la vie moderne, Pl. II, p. 713 à 722. 73. C'est ce drame que Baudelaire reconnaît dans Wagner (Pl. II, p. 794 et suiv.). 74. Voir G. Blin, Le Sadisme

véritables jardins de nymphéas ». Mais jamais les promeneurs ne purent pousser jusqu’à Guermantes, ne purent voir le duc et la duchesse de Guermantes que le narrateur n’imaginait que comme des personnages de tapisseries ou de vitraux, à la façon de Geneviève de Brabant, « ancêtre de la famille de Guermantes », des personnages inaccessibles et merveilleux qui le fascinaient. Le narrateur découvrit le rôle que ces deux « côtés » allaient avoir dans sa vie future. Il espérait, après avoir écrit des poèmes, être

 481. 10. Voir les ouvrages d'Anne Henry, dans la bibliographie, p. 524. Analyse du "Temps retrouvé" 1. Denise Mayer, "Un chapitre inédit du Temps retrouvé", Commentaire, n° 22, Julliard, 1983. 2. Une note de cinq lignes, Pléiade, 1954, III, p. 1118. 3. Jean Milly, Les Pastiches de Proust, Armand Colin, 1970. 4. Brian G. Rogers, "Deux Sources littéraires d'À la recherche du temps perdu: L'Évolution d'un Personnage, Francofonia, Bologne, 1983. Le temps retrouvé 1. Cahier XV, N.A.fr.

Guermantes m’ayant reconnu, et m’ayant apporté dans la bibliothèque où j’étais, pour m’éviter d’aller au buffet, un choix de petits 9 fours, un verre d’orangeade, je m’essuyai la bouche avec la serviette qu’il m’avait donnée ; mais aussitôt, comme le personnage des Mille et une Nuits qui, sans le savoir, accomplit précisément le rite qui fait apparaître, visible pour lui seul, un docile génie prêt à le transporter au loin, une nouvelle vision d’azur passa devant mes yeux ; mais il était pur et salin, il

Guermantes m’ayant reconnu, et m’ayant apporté dans la bibliothèque où j’étais, pour m’éviter d’aller au buffet, un choix de petits 9 fours, un verre d’orangeade, je m’essuyai la bouche avec la serviette qu’il m’avait donnée ; mais aussitôt, comme le personnage des Mille et une Nuits qui, sans le savoir, accomplit précisément le rite qui fait apparaître, visible pour lui seul, un docile génie prêt à le transporter au loin, une nouvelle vision d’azur passa devant mes yeux ; mais il était pur et salin, il

policiers. Il s’agit donc d’un travail qui veut mettre en valeur l’éclairage spécifique qu’apportent les écrits de policiers sur cette même culture professionnelle. De plus, cette analyse porte sur la France : en effet, il eût été trop complexe de prendre en compte les écrits de policiers étrangers, car il eût fallut analyser les spécificités de leur environnement culturel et politique. De même, en ne s’intéressant qu’aux seuls policiers français, on peut plus aisément limiter le champ de la recherche

to women of all classes. She also diagnosed the moral decline of France in L’Avision Christine (1405) and after 1410 commented more directly on the state of the nation, ending her career with a Ditié de Jehanne d’Arc (1429) who brought ‘honneur au feminin sexe’. Chartier Christine’s apology for women must be set against a larger quantity of misogynistic verse of which Deschamps’s long poem, Le Miroir de mariage, written around the turn of the century, is an example. But the issue remained on the