Sylvie De Nerval

Michaux Histoire de la Renaissance, Marie-Anne Michaux Les mots-clés de la géographie, Madeleine Michaux La culture générale tout simplement, Madeleine Michaux Découvrir la philosophie antique, Cyril Morana et Eric Oudin Chopin, Sylvie Oussenko L’opéra tout simplement, Sylvie Oussenko Découvrir la franc-maçonnerie, Alain Quéruel Citations philosophiques expliquées, Florence Perrin et Alexis Rosenbaum L’Europe, Tania Régin 200 femmes de l’histoire, Yannick Resch Citations historiques expliquées, Jean-Paul

publiés, dans le Bulletin de l’Association des amis d’A. F. et de J.R., N° 91 (1999). 4 Voir Correspondance, lettre du le septembre 1911. 3 4 écrivit dans Le Temps du 26 novembre 1913: « Cela commence comme un conte de Nodier ou de Nerval » et dégénère en un « obscur imbroglio de roman feuilleton ». La fracture qui séparait les auteurs de ces comptes-rendus reflétait celle qui s’était produite parmi les membres du jury du Goncourt. La querelle autour du Grand Meaulnes reprit en 1919

de Dumas, de Balzac, de Chateaubriand (surtout les ‘’Mémoires d’outre-tombe’’ auxquels il eut toujours conscience de beaucoup devoir : évocation saisissante d'une société, prémonition de la sensation-souvenir, source inépuisable de réflexions), de Nerval, de Gautier, de Musset, de Vigny. En 1882, il entra en cinquième au lycée Condorcet, qu’il fréquenta de façon irrégulière, étant « toujours absent » du fait de ses crises d'asthme (qui l’obligèrent à redoubler la classe de seconde), mais où il fit

Marcel Proust, Jean-Paul Sartre et Robert Desnos, on observe que rêver c’est peut-être aussi s’aveugler et s’égarer. Comme Emma Bovary, celui qui rêve trop n’est-il pas guetté par le risque du suicide ? La deuxième sous-partie, nourrie de Gérard de Nerval, Sigmund Freud, Georges Bataille ou Clément Rosset, s’intéresse au rêve qui tourne au cauchemar et à la folie obsessionnelle. Cette part de rêve que chacun porte en soi peut se révéler être une partie de folie et de délire quand le rêve échoue

héros de la terre qui y trouveraient leur liberté. » (p.57) Seuls les génies, les suicidés de la société, pourraient ainsi évoluer paisiblement, ce qui exclut une immense majorité d’êtres humains. Cependant Artaud, Van Gogh, Hölderlin, Baudelaire, Nerval, Villon (pour ne citer que ceux mentionnés par Artaud) auraient-ils pu développer ces pensées s’ils ne s’étaient trouvés en but aux exécuteurs sus mentionnés ? Selon Michel Foucault, « Le point le plus intense des vies, celui où se concentre leur

Marcel Proust, Jean-Paul Sartre et Robert Desnos, on observe que rêver c’est peut-être aussi s’aveugler et s’égarer. Comme Emma Bovary, celui qui rêve trop n’est-il pas guetté par le risque du suicide ? La deuxième sous-partie, nourrie de Gérard de Nerval, Sigmund Freud, Georges Bataille ou Clément Rosset, s’intéresse au rêve qui tourne au cauchemar et à la folie obsessionnelle. Cette part de rêve que chacun porte en soi peut se révéler être une partie de folie et de délire quand le rêve échoue

artistes se sentent incompris, isolés dans une société égoïste et matérialiste où la littérature ne fait figure que de simple divertissement ; ce malaise est déjà présent dans le mouvement romantique (dans les écrits d’un Musset ou d’un Gérard de Nerval, par exemple, sans compter ceux de Gautier – on n’a qu’à penser à la préface de Mademoiselle de Maupin pour s’en convaincre) comme il le sera plus tard chez Baudelaire. Ainsi, époque de bouleversements tant économiques que sociaux, le XIXe siècle

voyage, Alexandre Dumas rencontre un ami Gérard de Nerval accompagné de Pauline, une jeune femme qui semble familière à l'auteur. Il s'interroge sur l'identité de cette jeune femme apparemment souffrante et qui ne souhaite pas être reconnue. Texte intégral qui s'adresse aux élèves de seconde pour l'étude du roman et d'un mouvement littéraire et culturel du XIXe siècle : le romantisme. Cote : R DUM Dumas, Alexandre / Thorel-Cailleteau, Sylvie. Le chevalier de Maison-Rouge. Paris : Gallimard, 2005

qu'il vive en ermite ? La Fontaine, Fables Tableau comparatif de deux séquences d’exécution du gibier % P% G9 GG 797 799 ( , ( 0& ' ( < ( ' ' 0 Nerval et Giono (L’exploitation directe et indirecte de Sylvie) Dans un Roi, Giono utilise, reproduit ou adapte des situations évoquées dans le roman de Nerval. Il y raconte des amours d’enfance, ponctués de fêtes et de cérémonies et la désillusion des souvenirs enfuis. Le divertissement inutile et l’ennui (I Nuit perdue) 8 ) 0

Scoronconcolo / le portier / un banni : Alexis Ménard Tebaldeo / un masque / un moine / un banni : Hugo Brune Léon Strozzi/ prieur de Capoue / l!orfèvre / un conseiller des Huit / un banni : Ivan Cori Louise Strozzi: Taos Ducceschi Avec la voix de Sylvie Valayre Costumes : Antoine Bourseiller avec Stéphanie Remondière Lumières : Arnaud Alingrin Assistant : Jean-Christophe Mast Création au festival Off d!Avignon, 10 juillet 2008. OV Productions. Dates : du 17 au 22 novembre 2009 Lieu : Théâtre Jean