Sylvie Desrosiers

 Nous étions au mois de Février, la rentrée de mon école de cirque avait eut lieu depuis 5 mois. On se connaissait tous bien et nous colaborions pour préparer le spectacle de fin d'année. Les équilibristes sur leur fil de fer s'améloraient en exécutant des roues et des grands écart. Le groupe de jongleurs s'exerçait avec des massues, des balles, des assiettes chinoises, des diabolos, des bolas. J'aimais tout particulièrement regarder les trapézistes répéter la figure du fakir et les portées. Chang

Amélie Nothomb, Stupeur et tremblements – Chapitre 1 Introduction : C’est un récit autobiographique de l’année que la narratrice a passé au Japon dans une grande entreprise. Elle va connaître un véritable harcèlement de la part de supérieurs sadiques dont elle se libère en en faisant une satire féroce. L’épisode étudié se situe le premier jour de son arrivée. C’est la première d’une longue série de brimade. Notre problématique sera de comprendre comment Amélie Nothomb parvient à dépasser

lui. Pourtant, avec ce qui lui arrive ç'aurait été légitime. Voilà, je n'ai pas du tout été emballée et ai même failli décrocher et abandonner plusieurs fois. Le roman n'étant pas très épais, j'ai persisté. J'aurais aimé que Magnus me touche mais Sylvie Germain, par son écriture difficile, n'a pas réussi, pour moi du moins, à lui donner une touche d'humanité. Dommage. C'est Moustafette, qui l'a lu récemment, qui m'a décidée à franchir le pas. Elle, a adoré et encore le mot est faible. Je

actif. Il se marie le 25 mars 1944 avec Micheline Winter, et recommence à travailler comme acteur de cinéma à la fin de la guerre, envisagé comme substitut éventuel de Jean-Louis Barrault pour Les Enfants du paradis, il joue le rôle du fantôme dans Sylvie et le fantôme de Claude Autant-Lara et figure aussi dans Le Diable au corps. C'est à cette époque qu'il fait la connaissance de Fred Orain, directeur des studios de Saint-Maurice et de ceux de la Victorine à Nice, et au début de l’année 1946, Orain

| |- Mamy Blue (Nicoletta) | |- Nicolas (Sylvie Vartan) | |- La plus belle pour aller danser (Sylvie Vartan) | |

être à la recherche de la vérité tout au long de l’histoire. Alors comment représenter la quête de la vérité ? Le point d’interrogation m’a paru être un symbole qui laisse place aux doutes et qui intriguerai un lecteur. 4ème de Couverture : Sylvie Germain MAGNUS Comment vivre quand il nous manque une partie de nous, quand à 5 ans on a la mémoire aussi vide que le jour de sa naissance ? C’est ce que nous raconte Magnus un homme à la recherche de la vérité. Qui est-il ? Comment s’appelle-t-il 

Commentaire composé Le roman « Magnus », paru en 2005, a été écrit par Sylvie Germain, auteur et philosophe contemporaine. Il a également reçu le prix Goncourt des lycéens la même année. Le texte nous raconte l’histoire de Franz-Georg, un enfant qui perd la mémoire à l’âge de cinq ans. Il doit dès lors tout réapprendre. Né de parents allemands juste avant la deuxième guerre mondiale il va partir à la recherche de son passé, dénouer la vérité du mensonge pour essayer de retrouver sa véritable

Le livre des nuits - Fiche de lecture Sylvie Germain est née à Châteauroux. Elle a beaucoup déménagé suite au affectation de son père, sous-préfet. Au cours des années 70, elle suit des cours de philosophies auprès d’un professeur qu’elle admire, Emmanuel Lévinas. A cette époque, elle commence à écrire des contes et des nouvelles. Puis voyage vers l’Est, où elle tombe amoureuse de la Tchécoslovaquie. De retour en France, elle est encouragé par Roger Grenier et publie Le livre des nuits - qui

Sylvie GERMAIN, auteur contemporain du 21ème siècle, a publié en 1984 Le livre des Nuits. Dans cet ouvrage met œuvre une famille qui vit au 20ème siècle. Victor FLANDRIN Péniel viendra s'établir dans un hameau perdu au bout du territoire et encerclé de forêts où rôdent encore les loups. C'est dans ces terres frontalières, par où la guerre refait sans cesse son entrée au pays, Victor FLANDRIN, dit Nuit-d’or-Gueule-de-Loup, prendra femme, par quatre fois et engendra une nombreuse descendance, toute

surprises-parties, ils dansent le rock, le twist, le madison ou le hully-gully sur les succès du 45 tours vinyle qui tourne sur le Teppaz qu’on leur a offert pour Noël ou parce qu’ils ont bien travaillé à l’école. Leurs idoles s’appellent Johnny Hallyday, Sylvie Vartan, Sheila, Françoise Hardy, Frank Alamo et les Beatles. Ce sont leurs «copains», au grand désespoir de parents qu’on appelle les «croulants». C'est le temps où les familles commencent à panser les blessures d’une guerre d’Algérie qui leur a