Symboles Du Compagnon

Les 5 points parfaits de la maîtrise Nous allons parler aujourd’hui d’un symbole qui se situe au cœur même du degré de Maître Maçon. Nous le retrouvons au centre de la cérémonie de création du Maître, entre le relèvement et la transmission du mot. Il est ainsi la charnière entre le monde du métier au quotidien des Apprentis et Compagnon et le vaste domaine de la pensée et de l’action du Maître. Ce symbole fait partie des plus anciens de notre ordre. Il faut en rechercher l’origine

cinq voyelles que Molière fait apprendre à M. Jourdain dans le Bourgeois Gentilhomme. En religion, il y a les cinq prières quotidiennes des musulmans, les cinq livres de la torah,... Et dans le langage courant, le mouton à cinq pattes, reste le symbole de la recherche inaccessible. Si ce chiffre se distingue, c’est qu’il a des propriétés particulières : C’est le médian des chiffres qui vont de 1 à 9. Il revêt une valeur Pythagoricienne, (hypoténuse, liée aux chiffres 3 et 4). Et si l’on excepte

pour la construction de l’être humain. Cette construction s’appuie sur le travail et principalement sur le travail en loge au contact de nos frères réunis au sein d’un même rite, pour la GLDF c’est le REAA, et avec l’aide d’un rituel ou tout est symbole. Nous sommes, lorsque le Vénérable Maître ouvre les travaux, dans un temple où nous sommes unis en fraternité pour nous construire et ainsi sortir du monde profane pour rentrer dans un espace ou règne la sagesse, la force et la beauté. La deuxième

apprentis, des compagnons est cette transmission de la Tradition maçonnique qui parvient aux jeunes Maîtres afin de leur permettre un approfondissement continu pour qu’ils puissent, à leur tour, transmettre ce qu’ils ont reçu aussi bien qu’ils le peuvent. Tout cela pour dire à quel point le Second Surveillant doit être un Maître confirmé, expérimenté, dévoué, disponible, ayant la pleine confiance de ses frères. S’il en était autrement, les apprentis deviendraient vite de mauvais compagnons, ce qui aurait

l’homme dans sa nature brute, l’Equerre va lui permeUre de passer de ceUe ma7ère brute soumise au désordre des passions à l’homme soumis à l’ordre de la raison et de la volonté. L’Equerre devient ici symbole de rec7tude vis-à-vis des autres et aussi symbole d’Equité et de jus7ce. Elle est aussi le symbole de la Loi Morale. Donc, il est naturel qu’elle soit associée au Volume de la Loi Sacrée puisque c’est c’est dans celui-ci que le Maçon trouve la révéla7on de ceUe Loi Morale. Cela jus7fie que l’Equerre

vient de recevoir la lumière se dirige vers l’Orient. A chaque entrée dans le temple l’initié se revêt de son uniforme : le tablier emblème du travail, qui rappelle qu’un maçon doit toujours avoir une vie active et laborieuse. Le penseur y voit le symbole du corps physique, et de l’enveloppe matérielle dont l’esprit doit se revêtir pour prendre part à l’œuvre de la construction universelle. On peut se souvenir à ce sujet des tuniques de peau dont il est question dans la Génése. Le couple « adamique »

Cette citation peut, au premier coup d’œil, paraître étrange et paradoxale. En effet, le loup est depuis toujours symbole d’agressivité, de crime et de scènes sanglantes. Pourquoi le compagnon métamorphosé d’Ulysse le compare-t-il donc à l’humain, qui lui, est censé être symbole de justice, paix et intelligence ? « Scélérat pour scélérat, il vaut mieux être un loup qu’un homme ». Le compagnon d’Ulysse insinue donc que l’homme est autant scélérat que le loup, et qu’en plus, s’il venait à devoir choisir

la transmission, l’initiation et le chef-d’œuvre. C’est sur ces valeurs de la tradittion que les compagnons du devoir s’appuient aujourd’hui encore, pour aborder l’avenir avec confiance et retrouver dans la societe fcaise un espace privilegié. 1- Depuis tjrs l’acceuil est la valeur fondamental du compagnonage. A chaque etape de son tour fe France, l’apprenti est recu dans les maisons de compagnons, où l’on vit autour de la mere et sous la responsabilite du prevot. C’est ainsi qu’il apprend lui-meme

Le travail que j’ai l’honneur de vous présenter porte sur le miroir. Ce symbole est présenté à l’apprenti, durant la cérémonie de sa réception au grade de compagnon, alors vient de terminer son troisième voyage et que le Vénérable Maître préfère le dispenser des deux derniers voyages. Encore Trop faible, il est incertain qu’il résisterait aux épreuves qu’il y rencontrerait. Ce symbole, Cet objet, lui est présenté comme un ultime avertissement. L’Apprenti, alors qu’il commençait

poser les fondations. Maintenant, le compagnon doit bâtir l’édifice, et pour le rendre harmonieux, rectiligne et droit, Il se doit d’obtenir une connaissance sur soi même. En devenant compagnon ; l’on passe de la perpendiculaire au niveau d’un axe vertical a un axe qui donne l’horizontalité et la verticalité, je peux donc commencer l’édification des murs et assembler les pierres selon les angles. L’apprenti a pour finalité la connaissance de soi. Le compagnon a pour but la construction de soi et