Syndicats Ouvriers 1930

dans les années 1930 avec la tendance Gauche révolutionnaire (Marceau Pivert). Une partie de ces mouvements a donné lieu, dans les années 1950-1960-1970, à la création de la Deuxième Gauche, qui s'incarna notamment au Parti socialiste unifié (PSU). L'extrême gauche ne peut toutefois être évaluée au seul regard de ses résultats électoraux : elle ne participe pas toujours aux élections, et son score ne correspond pas nécessairement à son influence dans les mouvements sociaux (syndicats, coordinations

des engagements dans la presse à tendance politique marquée, des signatures de manifestes, des participations à des actions de rues, etc. Il y a aussi une agitation sociale avec la crise économique de 1930-1931, les grèves à répétitions dues aux colères des ouvriers, la prise d’importance des syndicats … Tout cela mène à une mutation de la société française. le poème chasse a l 'enfant   permet de situer l’époque, aout 1934, le lieu qui est Belle-Ile -en- Mer, de voir les conditions d’internement

gauche, ce journal revendique indépendance, esprit critique et impartialité. Le dessinateur Pol Ferjac y a souvent collaboré. TITRE : « Les salopards en vacances », (en haut du dessin ou incrusté dans le dessin). Ici le mot salopards vise les milieux ouvriers et populaires : ceux à qui le Front Populaire vient de reconnaitre de nouveaux droits. La connotation est largement négative et agressive. Elle traduit le regard de la bourgeoisie sur une classe sociale qu’elle méprise (les « salopards », des profiteurs)

forte de son économie. Celle-ci est stimulée par la reconstruction et le dynamisme de secteurs ayant adopté des techniques modernes de production, comme l'automobile. Quand débute la crise mondiale de 1929, les français pensent être épargnés. En 1930, le pays ne compte que 50 000 chômeurs contre 2 millions en Grande-Bretagne et 3 millions en Allemagne. Certains hommes politiques n'hésitent d'ailleurs pas à qualifier la France "d'ilôt de prospérité". Mais, à partir de 1931, l'économie française

loi qui permet les regroupements pour se battre pour les droits des travailleurs. En 36, le front populaire instaure les congés payés. 1982, loi Auroux : tournant dans les syndicats. Jusque là les syndicats se battaient pour les travailleurs, mais cette loi implique désormais l’employeur. Elle l’incite à réfléchir avec le syndicat, à négocier avec lui. Elle instaure également les NAO (négociations annuelles obligatoire). Développement humain : Le premier bénéfice attendu par le développement humain

sont également difficiles à l’usine. Il n’existe pas de lois et le gouvernement refuse d’intervenir laissant le champ libre aux propriétaires. On assiste alors à la création des deux premiers syndicats qui étaient interdit avant 1872. Le Congrès des Métiers et du Travail au Canada (CMTC) syndicalise les ouvriers par métiers. L’Ordre des Chevaliers du Travail, lui, syndicalise par usine. À Ottawa, une Commission Royale d’enquête sur les relations entre le capital et le travail au Canada est entreprise

Ce n’est pas du volontariat. Social Security Act, août 1935. Crée une assurance chômage et une assurance vieillesse. Loi sur l’accès au logement (=à la propriété), 1937. Loi de consolidation de l’AAA. Roosevelt recherche l’appui des syndicats. CIO crée en 1930, série de grève en 1936-1937. Le nombre de syndiqués s’accroit. 1929 : 2,1 millions 1941 : 10,5 millions (x5) Le CIO passe devant l’AFL. B ) Des difficultés économiques persistances a/ La crise industrielle demeure Echec relatif

ouvert afin de passer des alliances entre les communistes et les socialistes. Cela a un effet sur les syndicats qui vont rallier des partis plus réformistes, ainsi la CGTU rallie la CGT. Sur le plan économique, la crise se manifeste d’abord par l’augmentation du nombre de chômeurs qui en février 1936 étaient 500 000. En plus de la crise, il y a le problème des salaires, en moyenne entre 1930 et 1935 les salaires diminuent de 12%. Le mécontentement va se traduire dans les urnes en 1936. —> Les

création de communautés, fédérées entre elles et autogérées où chacun travaillerait selon ses capacités et consommerait selon ses besoins. L'anarcho-syndicalisme, héritier de Bakounine, pense que les syndicats sont le meilleur moyen de lutte et d'accès à la société anarchiste. Les syndicats doivent exproprier le capital. Chaque groupe de travailleurs dispose alors des propres moyens de production, la répartition des gains faisant l'objet d'une décision collective. L'anarchisme individualiste

pleine révolution. Cette Révolution est vaincue mais elle aboutie à l’amorce d’une vie politique en Russie notamment avec l’autorisation des partis politiques et des syndicats ainsi qu’à la constitution de l’assemblé. Cependant, si les libéraux sont satisfaits de ce système, il n’en est pas de même pour les socialistes et les ouvriers. L’événement déclencheur de la Révolution de 1917 est la Première Guerre Mondial. En 1914, le Tsar Nicolas II, l’aristocratie et une partie des industriels se lancent