Synthese Reve

pensante, alors que dans cette histoire les hommes ont plutôt tendance à la perdre. Quant au premier étêté de l’histoire, le cavalier sans tête lui-même, il est l’incarnation de l’homme et du père dans toute son exagération ; d’ailleurs, au cours d’un rêve d’Ichabod, la vision de son père se confond avec celle du cavalier noir. Ce qu’accomplit le tueur sorti des entrailles de la terre est assimilable au meurtre ancien et oublié de la mère : l’un en tuant pères, femmes et enfants exige qu’on lui rende

leurs protagonistes. Que nous révèlent ces rêves de bonheur sur leur époque, et particulièrement comment nous donnent-ils " en creux " une certaine vision des rapports sociaux et de la place de l'individu dans la société ? En 1830, Julien Sorel rêve encore d'héroïsme napoléonien, de destin sublime, dans la France de la Restauration dont M. de Rênal incarne la médiocrité et le mépris des possédants envers les " plébéiens " auxquels le héros s'identifie : c'est un romantique, passionné et isolé

un poème en prose, faisant référence à un rêve du poète, qu'il fit lorsqu'il vivait en bord de mer, à Honfleur. Nous pouvons alors nous demander comment le poète a-t-il fait un va-et-vient entre l'irréalisme de ses rêves et la symbolique de la réalité ? Nous verrons donc dans un premier temps la description du rêve et ses irréalités, puis dans un second temps les différentes symboliques du rêve, inscrites dans la vraie vie. La description du rêve est directement introduite par un fait impossible

sabandonner à un imaginaire débridé. Lui est lucide, à la différence de son héroïne : il en souligne avec une cruauté fine les excès et les faiblesses. Il accumule et raille ici tous les lieux communs de la littérature romanesque et romantique. - Dans ce rêve caricatural dun esprit romanesque, Emma fait preuve dune imagination bien vague

VERLAINE : Mon rêve familier (Poèmes saturniens/ 1866) I- L'implication de l'auteur - L'emploi de la première personne du singulier Le " je " de l'auteur s'adresse à un " tu " inconnu qui pourrait aussi bien être lui même (soliloque). Il s'oppose au elle qui introduit le récit du rêve. Verlaine reprend le " je " qui rappelle le mal-être chanté par les romantiques, pour nous suggérer peut-être que seul un être idéal pourrait déchiffrer son cœur, partagé entre les hommes et les femmes. - L'emploi

Jlidi, "الوهم في الفن: مراتبه ووظائفه من الرسم إلى السينما" 18h Mondher MTibaa, التخيل في الفنون التشكيلية المعاصرة 18h20 Saida Rahal, Fiction et réalité dans les «  Ménines » 18h40 Najib Gharsa, Réalité onirique et rêve tangible. Quelles interférences ? 19h Discussion 21h30 Soirée musicale avec Zine Essafi et Chadli Khomsi « WATAR ET KALIMA » -------------------------------------------------

reflété l’état d’âme du poète ? * Les axes de lecture Dans un premier temps nous verrons que le poète parvient à installer une atmosphère sublime. Une atmosphère plaisante Le poète choisit des moments particuliers propices à la rêverie et rêve c’est la nuit. La nuit est suggérée par la présence de « La Lune blanche » vers 1, contrastant avec le « Saule noir » vers 10. La vision de l’élément du paysage n’est pas nette car on ne perçoit que « La silhouette du Saule Noir » vers 9 à 10. Les

imaginaire qui lui conféra pendant longtemps un statut féminin L’intrigue romanesque met en jeu des personnages intéressants, attachants (tentative d’identification de la part du lecteur par le physique, le moral, la psychologie) qui suscitent le rêve, des sentiments, des émotions ; ces personnages renvoient au lecteur sa propre image, sollicitent sa sensibilité, ses émotions ( admiration, peur, angoisse, enthousiasme…) et permettent même au lecteur d’imaginer une autre vie( aventures, amour) ;

apparaissent car un projet de route nationale vient perturber leur univers : leur île située au beau milieu d’un marécage est menacée de disparition. Viennent-elles embêter Yann pour chercher de l’aide ? est-ce une hallucination ou est-ce réel ? Est-ce un rêve ou un cauchemar ?… ] Ce livre fantastique nous plonge dans un univers imaginaire. Yann, le héros du livre, nous entraîne avec lui dans ses propres cauchemars. Le rythme du récit est assez lent et le vocabulaire est simple dans l’ensemble. Je conseille

qu’il fût dans un lieu où la lumière donnait assez pour qu’elle le pût distinguer, elle crut le reconnaître ». - L’aspect féerique du « plus beau lieu du monde » où « il la (madame de Clèves) vit d’une si admirable beauté » ressemble à une sorte de rêve éveillé. - La rêverie de la princesse dans la contemplation du tableau renforce cette interprétation : « elle s’assit et se mit à regarder ce portrait avec une attention et une rêverie que la passion seule peut donner. » - Enfin, l’impossibilité