Synthese Régimes Totalitaire

américaine Taiwan. II/ La Chine communiste : un communisme en mouvement 1949-1990 2.1/ Une « démocratie populaire » totalitaire. 1946-76. Notion de totalitarisme = système politique et économique visant à encadrer totalement la société dans le but de mettre en application une idéologie d’Etat. Notion de maoïsme = idéologie communiste reposant sur les idées et adaptations de Mao Zedong ; Sa synthèse est dans le « Petit livre Rouge », ouvrage le plus édité après la Bible ! A/ Un état dictatorial : = Pays dirigé

divisés entre les partisans de la République (les républicains) et les partisans de Francisco Franco (les nationalistes). En 1939, après trois années de guerre civile (la guerre d'Espagne), le général Franco, vainqueur de la guerre, instaure un régime totalitaire en Espagne. La partition de l’Allemagne • vainqueurs de la Seconde Guerre mondiale occupent l’Allemagne, qui est coupée en quatre zones (américaine, britannique, française et soviétique). Ils souhaitent très vite sa réunification mais le Soviétique

l'individus n'existe pas en lui-même, il existe seulement parce qu'il appartient à un groupe. Il n'a des droits que par rapport a l'ensemble. Ce type de société son rarement démocartique puisque les sociétés holiste par excellence c'est la société totalitaire. Dans ces sociétés là « l'individu est rien , l'Etat est tout ». Le révolutionnaire Condorcet ecrit un jour «  la notion de liberté individuel n'a pas de sens sous l'Antiquité » puisque l'individu n'est pas un atome séparé de grand tout. Il ne

recherche de ce qui devrait être. La science politique s'intéresse à ce qui est, discours positif, tendance à observer le phénomène politique tel qu'il est. TOCQUEVILLE, analyse, observe tente de comprendre le système politique américain, ou de l'Ancien régime et de la révolution. Pour autant le discours reste encore largement spéculatif, et ce qui prédomine, c'est toujours la quête du gouvernement idéal. On trouve jugements de valeur, a priori, il faut véritablement attendre la seconde moitié du vingtième

l’objectivité des organes d’information. Il faut donc s’efforcer de distinguer ce qui mérite créance et ce qui n’est que propagande. S’ensuit évidemment la question de la liberté d’expression, des moyens d’information, et alors non seulement dans les Etats totalitaires, mais aussi dans les pays libres il y a des pressions sur les moyens d’information. Le résultat de ces différentes facteurs est la encore l’apparition d’un fossé considérable entre le but des moyens d’information et le but d’un scientifique.

qu'apporte le mode plaisant ainsi que les inconvénients du mode sérieux. Puis nous observerons les avantages d'un ton plus sérieux, et les désagréments qu'apporte le mode humoristique pour traiter de ces même sujets sérieux. Enfin nous exposerons une synthèse en troisième partie afin d'aider à la compréhension générale, qui portera sur les principaux arguments sur la nécessité de la liberté d'expression mais également sur ses limites. * * *

- - Conduit dans le respect des principes de participation, d indépendance scientifique et éditoriale, le projet a mobilisé plus de cent compétences nationales, relevant de l université, de l administration et de la société civile. RDH50-Synthèse, Janvier 2006 2 Le concept fédérateur du projet, celui du développement humain, a permis d embrasser un large éventail de thématiques et de questions, souvent interdépendantes et difficilement accessibles par des approches uni-disciplinaires

d'évaluer, de donner de la valeur ( les autres, soi même). Une comparaison a une rigueur propre. I) La comparaison en science sociale : historique et principes généraux A) Les précurseurs de la comparaison Aristote comparait les différents régimes politiques. Darwin, sa théorie est né grâce à la comparaison de plusieurs espèces. 3 précurseurs principales : JS. Mill, Durkheim, Weber. 1) JS. Mill et la méthodes des comparaisons 1806/1869. Il cherche a comprendre comment marche l'induction

sont connues pour être des démocraties, probablement les plus achevées de la planète. De là à se demander si ce type de régime est en crise, il n’y a qu’un pas. Si c’est le cas, cela signifie qu’il pourrait, à plus ou moins brève échéance, disparaître au profit d’un autre, par exemple une forme d’autoritarisme qui, elle-même, pourrait à son tour se muer en régime totalitaire. Cela s’est vu il n’y a pas si longtemps, dans la première moitié du siècle dernier, et même plus récemment. Beaucoup de

fixation des peines. Paragraphe 2 : Les rapports du droit pénal général avec les autres disciplines de la science criminelle. A) Le contenu du droit pénal général Le DPG, prévoit les grandes catégories d’infractions et les grandes catégories de régime juridique correspondantes. Il précise les éléments de l’infraction (légales, matérielles, morales). Il prévoit les causes de responsabilité légale (la légitime défense, l’état de nécessité, la contrainte, la démence). Il prévoit également les règles