Sérénade Verlaine

passions D'un vaisseau qui souffre; Le bon vent, la tempête et ses convulsions Sur l'immense gouffre Me bercent. D'autres fois, calme plat, grand miroir De mon désespoir! « Charles Baudelaire Les fleurs du mal » Classique Bordas. Sérénade Comme la voix d'un mort qui chanterait Du fond de sa fosse, Maîtresse, entends monter vers ton retrait Ma voix aigre et fausse. Ouvre ton âme et ton oreille au son De la mandoline: Pour toi j'ai fait, pour toi, cette chanson Cruelle et

non pas en spécialiste, musicien ou critique mais en ignorant, pris par une possession indescriptible « me prend » vers 1. Dans ce poème l'auteur traduit un phénomène de synthésie par des moyens originaux et une forme remarquable. « Sérénade » de Paul Verlaine : A travers ce recueil, nous retrouvons quelques thèmes récurrents comme sa conception du poète maudit, les paysages-états d'âme, le présence de la mort, du souvenir. Ainsi que l'amour, souvent déçu et enfin, la femme cruelle, sensuelle

vais vous présenter, le thème principal choisi est l'automne, que l'on retrouve dans plusieurs poèmes d'Alcools, le recueil de Guillaume Apollinaire, ainsi que dans bien d'autres œuvres poétiques, telles que celles de Louis Aragon ou encore Paul Verlaine. L'automne est une thématique pouvant traiter plusieurs sujets à la fois comme, par exemple, l'ivresse poétique ou l'ivresse tout court, car l'automne est connue pour être la saison des vendanges et donc du vin. Elle peut aussi représenter ou être

Rime masculine : la terminaison des vers est un son correspondant à une consonne. = Les poètes jouent souvent sur l’alternance entre rimes masculines et rimes féminines. Rimes suivies ou plates : AA BB CC Ex : « Une heure est à Venise, heure des sérénades, A Lorsqu’autour de Saint-Marc sous les sombres arcades, A Les pieds dans la rosée et son masque à la main, B Une nuit de printemps joue avec le matin ». B (Alfred de Musset, Premières poésies). Rimes croisées : ABAB CDCD Ex : « Depuis longtemps

quelque sorte le reflet de lame du disparut. J'ai donc choisis ce poème car je trouver intéressant le chois du feu par rapport a la mort . Ensuite mon choix c’est porter sur un poème de Sophie d'Arbouville (1810-1850) dont le titre est « La Sérénade » ce poème quand a lui évoque la mort d'un enfant dans son sommeille et la douleur de sa mère. J'ai choisie ce poème car il montrer de fort sentiment que l'on je trouve que son auteur les a particulièrement bien représenter a travers les mots.

littérature. VERLAINE La bonne chanson Va, chanson, à tire-d'aile Au-devant d'elle, et dis lui Bien que dans mon cour fidèle Un rayon joyeux a lui, Dissipant, lumière sainte, Les ténèbres de l'amour Méfiance, doute, crainte, Et que voici le grand jour ! Longtemps craintive et muette, Entendez-vous ? la gaîté, Comme une vive alouette Dans le ciel clair a chanté. Va donc, chanson ingénue, Et que, sans nul regret vain, Elle soit la bienvenue Celle qui revient enfin. Paul Verlaine Harmonie

les ciseler. Ceci est particulièrement vrai de la poésie qui dès son origine, se fait connaître comme un des arts majeurs de la parole. C’ est un point de vue que semble partager le poète Paul Valery dans un article consacré aux poètes « Villon et Verlaine » intitulé Variété in Oeuvres I dans la collection La Pléiades , qui, parlant du rapport à la langue qui lie le poète à son oeuvre affirmait en 1957 : « le lyrisme est la voix du moi, portée au ton le plus pur, sinon le plus haut. ».Paul Valéry

s’endort Dans une chaude lumière. Là, tout n’est qu’ordre et beauté, Luxe, calme et volupté. Charles Baudelaire Madrid Madrid, princesse des Espagnes, Il court par tes mille campagnes Bien des yeux bleus, bien des yeux noirs. La blanche ville aux sérénades, Il passe par tes promenades Bien des petits pieds tous les soirs. Madrid, quand tes taureaux bondissent, Bien des mains blanches applaudissent, Bien des écharpes sont en jeux. Par tes belles nuits étoilées, Bien des senoras long voilées Descendent

créature humaine.   Orphée aux Enfers I.  EVOLUTION HISTORIQUE Le lyrisme apparaît en France, au Moyen-âge, à travers une myriade de formes associant le plus souvent au poème la musique et la danse : chansons de toile, pastourelles, sérénades, ballades, cansos, tournois, tensons, lais et virelais fleurissent dans le chant des trouvères et des troubadours. Bernard de Ventadour (1150-1200), Richard Cœur-de-lion (1157-1199) et Thibaut de Champagne (1201-1253) comptent parmi les nombreux

écrit en 1913 et extrait du recueil Alcools, le poète a utilisé de nombreux éléments pour intégrer le symbole du temps qui passe, il l’a fait de façon beaucoup plus différente des poèmes précédents. L’anthologie se terminera sur le poème de Paul Verlaine, « Après trois ans », écrit en 1886, extrait des Poèmes Saturniens. Il s’apparente au poème précédents puisqu’ils parlent tous les deux d’une saison précise et utilise a approximativement la même méthode pour parler du temps. « L’ennemi » écrit