Tabatière

toilette couverte de boîtes à peignes, de houppes à poudrer, paraissait avoir servi la veille. Deux ou trois robes de couleurs changeantes, un éventail semé de paillettes d'argent, jonchaient le parquet bien ciré, et, à mon grand étonnement, une tabatière d'écaille ouverte sur la cheminée était pleine de tabac encore frais. I 3 La Cafetière Je ne remarquai ces choses qu'après que le domestique, déposant son bougeoir sur la table de nuit, m'eut souhaité un bon somme, et, je l'avoue, je

................................................... 7 LIVRE PREMIER Des industries prévues par le Code......... 18 TITRE PREMIER Des petits voleurs ....................................... 19 CHAPITRE PREMIER Des mouchoirs, montres, cachets, tabatières, boucles, sacs, bourses, épingles, etc. .............................. 22 CHAPITRE DEUXIÈME Vols dans les boutiques, dans les appartements, cafés, restaurants, vols domestiques, etc................. 32 TITRE DEUXIÈME Escroqueries .........

devenir sans sa montre, sans sa tabatière et sans Jacques: c'étaient les trois grandes ressources de sa vie, qui se passait à prendre du tabac, à regarder l'heure qu'il était, à questionner Jacques, et cela dans toutes les combinaisons. Privé de sa montre, il en était donc réduit à sa tabatière, qu'il ouvrait et fermait à chaque minute, comme je 72 Jacques le fataliste et son maître fais, moi, lorsque je m'ennuie. Ce qui reste de tabac le soir dans ma tabatière est en raison directe de l'amusement

l’oeuvre de Diderot et même sont elles pas si importantes que les discussions de Jacques avec son maître, car c’est dans ces passages où on comprend le mieux le message de l’auteur. Extrait du Livre p.261-263 Le maître tira sa montre et sa tabatière; Jacques se mit en devoir de dormir; mais à chaque instant il se réveillait en sursaut, et frappait en l'air ses deux mains l'une contre l'autre. Son maître lui dit: "A qui diable en as-tu? JACQUES: J'en ai aux mouches et aux cousins. Je voudrais

gentilhomme * 1671, Psychè ; Les Fourberies de Scapin ; La Comtesse d’Escarbagnas * 1672, Les Femmes Savantes * 1673, Le Malade imaginaire. Résumé : Acte I Scène 1 : Don Gusman, Sganarelle. Avec une tabatière à la main, Sganarelle, valet de Don Juan, converse avec Gusman, écuyer de Done Elvire. Le spectateur apprend que Don Juan, après avoir séduit, enlevé Done Elvire du couvent et l’avoir épousée, l’a abandonnée. Don Gusman s’interroge sur le pourquoi

gravures, caricatures, articles de journaux, imprimés). Elle a produit également un grand nombre d'objets rituels (tabliers maçonniques, tableaux de loge, vaisselle, médailles commémoratives, etc.), mais également de la vie courante (montres, pipes, tabatières, sujets en faïence) exposés au public dans plusieurs musées ou expositions permanentes. c) Rites /(Symboles/ Secrets) Ce qui fait du maçon un initié c’est son approbation individuelle du rite. La loge est le lieu qui selon les franc

bons, il y en a de mauvais, et l’on compterait peut-être plus de bons valets que de bons maîtres » (p.144). Diderot fait mener le jeu au valet qui fait en quelque sorte l’éducation de son maître. Celui-ci ne fait que consulter sa montre, ouvrir sa tabatière et écouter Jacques. Il montre qu’il a une certaine position dans la société : « C’est qu’on nous a traités jusqu’à présent avec cette politesse, et que j’y suis fait. Mon maître m’appelle Jacques, les autres, Monsieur Jacques » (p. 148). Son attitude

désoler, car se montre, à sans sa il tabatière ne et de Jacques : c'étaient les trois grandes ressources sa vie, qui se passait à prendre du tabac, à regarder l'heure qu'ilétait,à questionner Jacques; et cela dans sans toutes les combinaisons. Privé de sa montre, il en était 44 JACQUES donc réduit à Ce qui raison tabac de directe journée. Je refermait et à je fais,moi, lorsqueje m'ennuie. comme de reste FATALISTE tabatière, qu'ilouvrait sa chaque minute, LE

matérialisme et de l’épicurisme même par le biais de Sganarelle, qui ne se sait pas si subtile et une critique de l’éternel ennemi moliéresque, l’hypocrisie dévote. Le texte : ACTE I, Scène première SGANARELLE, GUSMAN. SGANARELLE, tenant une tabatière : Quoi que puisse dire Aristote et toute la philosophie, il n’est rien d’égal au tabac : c’est la passion des honnêtes gens, et qui vit sans tabac n’est pas digne de vivre. Non seulement il réjouit et purge les cerveaux humains, mais encore il instruit

ne savait que devenir sans sa montre, sans sa tabatière et sans Jacques : c’étaient les trois grandes ressources de sa vie, qui se passait à prendre du tabac, à regarder l’heure qu’il était, à questionner Jacques, et cela dans toutes les combinaisons. Privé de sa montre, il en était donc réduit à sa tabatière, qu’il ouvrait et fermait à chaque minute, comme je fais, moi, lorsque je m’ennuie. Ce qui reste de tabac le soir dans ma tabatière est en raison directe de l’amusement, ou l’inverse