Tablette d'argile

emporté, ou bien si faute d'eau, de l'orge n'a pas été produite sur le terrain, en cette année-là il ne rendra pas l'orge à son créancier : ilmouillera sa tablette et donc ne livrera pas l'intérêt du pour cette année-là.»` Les comptes étaient alors gravés sur des tablettes d'argile, qui s'effaçaient en interaction avec l'eau : mouiller sa tablette, c'est donc effacer l'ardoise au sens propre. Paragraphe 230 (le paragraphe 229 est absent du polycopié et mentionne qu'un maçon ayant bâti une maison

Préhistoire et Haute Antiquité La préhistoire : existe des os entaillés de 20 à 30 000 ans, qui étaient le support d’une comptabilité du gibier abattu en période de chasse. Haute antiquité Egypte et Mésopotamie : traces de comptabilité sur des tablettes d’argile, la comptabilité a dc précédé la création du chiffre. 2) Le Moyen Age Important développement de la comptabilité, et un début d’usage systématique de cette technique, car apparaissent au MA de grandes organisations, les seigneuries, et les

Mésopotamie : -Inspirée par la magie et empreinte d'empirisme cette médecine est mentionnée dans le code d'Hammourabi –1700= code de l’humanité occidentale, qui en règle la pratique, les barèmes d'invalidité et les honoraires. -De nombreuses tablettes d'argile permettent de mieux comprendre la pratique médicale des médecins akkadiens -ceux-ci avaient le plus souvent recours à l'hépatoscopie (lecture des oracles dans le foie d'animaux sacrifiés) pour désigner le dieu, ou le mauvais esprit, responsable

ordonner selon le mode préconisé. Prenons le texte suivant : « Le livre fut, du XVe au XXe siècle, l’instrument par excellence de la connaissance. Certes son histoire ne commence pas avec l’invention de l’imprimerie ; (E) il fut, dans l’Antiquité, tablette d’argile enduite de cire, écorce d’arbre ou volumen (rouleau) de papyrus, puis parchemin en forme de codex (c’est à dire de feuilles assemblées), puis, à partir du XIIIe siècle, papier. (A) Mais l’imprimerie changea le rapport des hommes à la culture

naît au 19e siècle avec les moindres carrés. Gauss lui préfère l'écart-type. La représentation graphique quantitative trouve son origine dans la construction de cartes géographiques. Les plus anciennes datent d'environ 6000 ans, gravées sur des tablettes d'argile, en Mésopotamie. Les graphiques statistiques sont plus récents. William Playfair (1759-1823) publiera à Londres des ouvrages dans lesquels on trouve des graphiques de grande qualité (voir ci-contre) et entre autres le premier diagramme en barres

lègues juridique de l’Antiquité et de Rome. > C’est au proche orient que l’on trouve les plus anciens témoignages d’une législation (des écrits). L’écriture est apparue en Mésopotamie et dès cette époque nous avons retrouvé de très nombreuses tablettes d’argiles sur lesquelles étaient inscrites des actes de la pratique (contrats de vente, titre de propriété, contrat de mariage, et plus rarement des textes législatifs …) C’est ce que l’on a appelé le droit cunéiforme (car écrit à l’aide de coin).

été soumis au ministère égyptien des Affaires étrangères dans la ville de Tanis, où, avec de légères modifications, a été réécrit par l'administration de Ramsès II pour la présentation à Hattusas. La version finale a été enregistrée sur des tablettes d'argile en conserve, écrit dans la période akkadienne internationale. Le spécimen a été déposé en Egypte hittite, au pied de la statue de Ra, son texte, traduit en hiéroglyphes égyptiens, a été enregistrée dans les murs du temple de Ra et le temple

retrouvèrent fut celui des hiéroglyphes. Ils retrouvèrent des hiéroglyphes modifiés, datant d’environ 4000 ans, sur une tombe. Ensuite plusieurs types de cryptographies et différents moyens de cryptés des messages apparurent. On retrouva en Irak une tablette d’argile datant du XVI ème siècle. Un potier avait gravé sa recette sur celle-ci en supprimant les consonnes et en modifiant l’orthographe des mots. Il ne voulait pas que quelqu’un puisse lui voler, mais cette cryptographie était encore loin de la complexité

de vraies méthodes de cryptographie ou simplement pas très connues. Exemples : Environ 1900 avant J-C, un scribe égyptien emploie des hiéroglyphes dans une inscription non conformes à la langue correcte. On retrouve en Irak une tablette d'argile datant du XVI ème siècle avant J-C. Il s'agit d'une recette secrète qu'un potier avait gravé en supprimant des consonnes et en modifiant l'orthographe des mots. A partir du Vème siècle avant J-C, des techniques de cryptographie sont utilisées

localisé avec certitude. Nous ne remonterons donc pas plus haut que la Grèce dite mycénienne. Elle nous est connue par un grand nombre de tablettes d’argile portant des textes en caractères syllabiques, le linéaire B, qui s’inspire d’une écriture antérieure, dite linéaire A, qui notait une langue locale qui nous est inconnue. Déchiffrées à partir de 1950, les tablettes représentent la comptabilité d’une administration publique. Elles contiennent des listes de personnes, de bétail, de produits agricoles