Talweg

Enfin, si au sud la lame miroitante de fleuves griffe d’une traînée brillante la masse sombre et ondulante de la forêt, les cours d’eau du nord de la Côte d’Ivoire sont surtout marqués par la ligne épaisse des forêts-galeries, soulignant chaque talweg et fragmentant le paysage de savane en de gigantesques mailles. Compte tenu de toutes ces remarques, nous pouvons dégager 4 grands types de régimes hydrologiques. - Le régime équatorial de transition observé par la partie méridionale de

sortie diminue également Principe de fonctionnement d’un bassin de rétention sec ou en eau 2. Contraintes de conception Un parcours du bassin versant permet de déterminer rapidement, par identification des cheminements naturels de l’eau (talwegs) et des points bas, les sites à étudier pour l’implantation d’un bassin de rétention mais plusieurs études nécessaires devront être réalisées pour sa conception : ⇒ Détermination des besoins ⇒ Topographie ⇒ Études géotechniques ⇒ Hydrologie

FIGURE 3 ‐ LOCALISATION PAR RAPPORT A DIGNES LES BAINS (PREFECTURE DES ALPES DE HAUTE PROVENCE)    FIGURE 4 ‐ LOCALISATION PAR RAPPORT A LA JAVIE (CHEF‐LIEU) DU CANTON        14    Présentation du territoire  Délimitation  Le territoire est formé d’un ensemble de talwegs et reliefs très marqués qui descendent du versant Sud‐Est du  Massif du Blayeul. Il est délimité :  ‐ ‐ ‐ ‐ à l’ouest par la crête du Blayeul  à l’est par la crête de Serre‐Gros  au nord l’interfluve1 descendant du sommet du Blayeul vers le col de Boullard 

ce  milieu  des  formes  élémentaires  de  relief  tel  que  les vallées, caractérisée par une succession de croupes de 2 à 3% d’inclinaison parfois surmonté de  butte  curasses  séparant  de  petit  bas­fond  qui  se  rejoignent  et  forment  des  talwegs  pour assurer  le  drainage  naturel  des  eaux.  Ces  formes  élémentaires  des  reliefs  caractérisent  un relief  de  plateau.  Du  point  de  vue  morphologique,  le  paysage  de  ce  milieu  s’inscrit  dans  le paysage de la pénéplaine cristalline qui couvre la région

d’une grande force de travail, s’emploie en partie sur les plantations des autochtones et réside la plupart. du temps dans des campements sis au cœur des caféières. La population autochtone demeure surtout dans des villages installés à proximité des talwegs, près des points d’eau, et ne s’occupe guère de ses plantations de café et de cacao, confiées à des métayers soudanais, en général mossi, dès qu’elles ne produisent plus de vivrier. Enfin, les Buozdé - qui représentent entre un quart et la moitié

« dorsale tunisienne ». ‐le forage dans les nappes fossiles dont l’aquifère du Sahara septentrional, (taux d’exploitation dépassant souvent 80%), canaux de dérivation ‐aménagement de terrasses de cultures afin de limiter les écoulements ou de talwegs. Usages de l’eau dans le sud tunisien : Médenine et Kairouan Le dossier permet une étude à plusieurs échelles de la question et de montrer que l’eau est désormais un facteur majeur d’organisation de l’espace entre l’ouest relativement pourvu et

Kessé, Marina, Palma ; à ces quartiers s’ajoutent Ngotto et gare routière réalisés sur les marges septentrionales. 2- Caractéristiques du cadre urbain a- Les données physiques Situé sur un plateau, le site de Bingerville est morcelé par de nombreux talwegs qui accentuent la dualité du paysage urbain. D’un côté la ville légale sur l’interfluve et de l’autre en contrebas, la ville spontanée symbolisée par le bidonville de Gbagba. Bingerville bénéficie d’un plan lagunaire qui borde les quartiers Gbagba

quaternaires continentales. I- Identification des risques naturels menaçant la zone d’étude. Phénomènes exogènes : mouvements de terrains et risques hydriques en relation avec l’encaissement important de la vallée de l’Ourika et l’étranglement des talwegs qui s’y déversent en périodes pluvieuses. 1. Glissements de terrain : instabilité de versants qui se détachent du relief et glisse dans le sens de la pente. La zone d’arrachement ou de rupture détermine l’amplitude du mouvement et le volume

ne devient très utilisé après 1962 (perte de l’Algérie et des colonies). Idée que la France aurait une frontière naturelle. 3. Comment un fleuve ou rivière peut-il être frontières ? 2 manières de décrire si c’est une frontière : - Ligne de Talweg c’est la ligne qui relie les points les plus bas d’un fleuve, aps forcément au milieu de fleuve. La moitié des frontières sont définis par des fleuves en Amérique latine, dans le monde c’est 1/3. - Utilisé la ligne de séparation des eaux. Ça représente

direction de progression d'un marcheur, d'un navire, d'un avion (synonyme d'azimut). Chevron : forme dessinée par l'inflexion que fait tout contour géologique d'une surface (ni plane, ni verticale) au niveau des talwegs et des interfluves. Dans la plupart des cas, le contour dessine, dans les talwegs, un V dont la pointe est dirigée selon la direction de plongement des surfaces. Sur les interfluves, c'est l'inverse qui se passe : l'ouverture du V est dirigée dans le sens du pendage. En géomorphologie, des