Taro

palmier à huile, le bananier, le theier…En dehors de ces grandes plantations capitalistes, il existe de petites exploitations paysannes. 2. Une agriculture vivrière en plein essor Les principales cultures de la région sont : le manioc, le macabo, le taro, l’igname, la patate, le plantain, le maïs, l’arachide et divers légumes. Cependant, les techniques culturales restent archaïques. B. Élevage et pêche : Le rôle de la plaine côtière dans la promotion de l'élevage est minimal parce qu'il n'y a

a été observée16 à Sendai dans la préfecture de Miyagi. Une vague d'une hauteur de 4,2 mètres a déferlé sur le port de Kamaishi, dans la préfecture d’Iwate. Un rempart de protection de 11 m de hauteur avait été érigé sur le littoral de la ville de Taro (en) (préfecture d'Iwate), cité en exemple et notamment visité par des représentants des autorités indonésiennes après le séisme de Sumatra en décembre 2004. Ce mur a été submergé par une vague qui lui était d'une hauteur supérieure d'au moins 5 m35

termes de quantité (346292 tonnes), le sésame (51924 tonnes) et le karité qui est un produit de cueillette. 1.1 .3. Les tubercules Les produits rencontrés sont principalement la patate douce, l’igname, la pomme de terre, puis les produits comme le taro et le manioc dont la encouragée pour la production d’atiéké. L’igname et la patate douce sont au niveau national les plus importants du point de vue de la production avec respectivement 43295 tonnes et 73221 tonnes pour la campagne agricole 2008-2009

Pastèque (Citrullus lanatus) et doubeurre (Cucurbita moschata) Patate douce (Ipomea batatas) Piments (Capsicum frutescens, Capsicum annuum, Capsicum chinense) et poivron (Capsicum annuum) Pomme de terre (Solanum tuberosum) Tamarillo (Solanum betaceum) Taro (Colocasia esculenta) et macabo (Xanthosoma sagittifolium) Imprimé sur du papier certifié FSC, à l’aide d’encres écologiques sans solvant. 

1984 Banane plantain 490 600 650 1 168 1 123 Manioc 450 500 540 938,5 1056 Arachide 23,8 28 42,8 48,8 49,8 Fonio 5 7 7 2 2,1 Mil 42 34 30 45,3 44,6 Sorgho 10 11 13 30,2 31,7 Patate 18 20 21 13 13,5 Taro 135 158 182 263 274,5 TOTAL 2 630,8 3108 3 538,8 5 440,8 5 347,2 II - Évolution des cultures industrielles et d'exportation Ananas 19 885 44 083 110 580 221 000 311935 Banane 80 000 138 300 178 852 188 000 196 773 Cacao

Familles de situations : L’intégration nationale Catégories d’actions : La promotion du développement intégré Module I : Le Cameroun, pays des diversités Chapitre 1 : La diversité des ensembles biogéographiques LEÇON 1 : LA DIVERSITE PHYSIQUE DU CAMEROUN Durée : 02 heures Notions : Relief, Climat, Végétation, Hydrographie, biogéographie. Prérequis : Situation géographique du Cameroun. Exemple de situation : Les contrastes de végétation au Cameroun. Exemples d’actions : S’approprier

palme 1,564 million t., de la canne à sucre 1,430 million de t., des noix de kola 65 216 t., des noix de cajou 167 000 t., des mangues 120 902 t. mangues52. Les cultures vivrières sont également présentes : banane plantain (1 519 716), maïs (608 032), taro (51 252) et riz (673 006). Auto suffisante pour le manioc et l’igname, la Côte d’Ivoire reste cependant, un importateur net en céréales. Produits vivriers (marché local). Cacao La Côte d’Ivoire demeure, avec 40 % de la production, le premier

constituée par du blé et de la farine de blé. Cela a eu et a encore comme conséquence de développer la consommation de produits à base de blé dans bien des régions d’Afrique ou d’Asie où l’on 2 consommait surtout jusque-là des tubercules (manioc, igname, taro) ou du riz. Cela a favorisé la dépendance économique de ces pays de même que cela a contribué à une mauvaise alimentation basée sur les modèles d’Amérique du Nord. 2 Paul Chalvet, L’alimentation dans le monde : mieux nourrir la planète, Paris,

général moins de 2 ha de superficie. On y pratique une agriculture intensive en deux cycles annuels. Les parcelles portent des caféiers, bananiers et fruitiers (avocatiers et kolatiers essentiellement). Sur billons sont semés haricots, maïs, arachide, taro, pomme de terre, manioc et ignames, dans le cadre de stratégies paysannes de minimisation du risque et d’occupation maximum du sol. L’utilisation des engrais chimiques, très répandue dans les années 80, a connu une chute drastique depuis l’arrêt

palme 1.564 million t., de la canne à sucre 1.430 million de t., des noix de kola 65216 t., des noix de cajou 167000 t., des mangues 120902 t. mangues[62] . Les cultures vivrières sont également présentes : banane plantain (1519716), maïs (608032), taro (51252) et riz (673006). Auto suffisante pour le manioc et l’igname, la Côte d’Ivoire reste cependant, un importateur net en céréales. Économie de la Côte d'Ivoire 16 Cacao La Côte d’Ivoire demeure, avec 40% de la production, le premier producteur