Tartuffe Classique Ou Baroque

d’autres des innombrables remous qui agitent la grande mer de l’histoire littéraire. Mais qu’on prenne seulement un peu de distance par rapport à ce tumulte immédiat et que, de la rive contemporaine, on observe après coup l’histoire de la tragédie classique dans le dernier quart du XVIIe siècle, ce qui surprend alors n’est plus tant le battage de la réception qui accompagne Phèdre que le calme absolu qui lui succède et le silence obstiné qui retombe sur son sillage. 1. La Rochefoucauld (1613-1680)

convoquent le sonnet pour exprimer la nostalgie mais aussi livre une satire de la cour romaine. Le 17éme siècle : Le Baroque : A l'origine, le terme « baroque » vient du portugais « barroco » (1563) qui désigne en joaillerie une perle irrégulière. Très rapidement le sens figuré d'étrange, de bizarre voire de choquant entre en usage. Après la Seconde Guerre mondiale, on parle de mouvement baroque pour désigner la littérature sous les règnes d'Henri 4 et de Louis 13. Cela se caractérise par une exubérance

rencontres fortuites, les retournements de situation : rire franc, sans arrière-pensée. 2) Le décor utopique L’île des esclaves -> utopie, art du déguisement II / L’engagement 1) Le retour à l’ordre L’ordre familial -> Tartuffe 2) Le théâtre révolutionnaire Beaumarchais -> Barbier de Séville III / La morale : la catharsis 1) Le rôle de la comédie Enseigner la vertue par le vice : la comédie de Molière -> l’avare (vice particulier), les précieuses

chariots des acteurs masqués. Par la suite , un seul acteur ( le protagoniste) soliloque et alterne avec un choeur. -Pisistrate organise le Ier concours de tragédies. Puis , Eschyle va introduire un 2eme acteur et Sophocle , un 3eme. -A l’époque classique , vont apparaître les concours de tétralogies ( 3 tragédies et 1 drame satyrique). Au cours de ces concours , on sacrifie un bouc ( « tragos » , en Grec) , en l’honneur de Dionysos.C’est l’archonte ( un des premiers magistrats de

moyen de pouvoir: C'est un vice privilégié car il apporte tous les droits (Ancien Régime) et tous les pouvoirs, notamment celui de la censure : ferme la bouche. Cela rappelle la censure aux adversaires des Dévôts, dont Molière à été victime avec le Tartuffe. L'hypocrisie fait peur : on n'ose rien dire contre elle. Hyperbole : ont la permission d'être les plus méchants du monde.. 3 Image de la confrèrie: Véritable profession ou véritable école, ce qu'il fait qu'ils sont invulnérables : impunité

réaliser dans l’action ce que l’étude lui a appris. Souvent considéré comme un manifeste humaniste, on peut cependant s’interroger sur le but de Rabelais car n’oublions pas que cet enseignement s’adresse à un géant ou un prince non pas à un être classique, normal. Ceci rappelle une fresque du peintre italien Raphaël, L’école d’Athènes, dans laquelle les savants sont au centre de la peinture, ce qui marque le courant humaniste. LA1: « Candide » ; incipit, Voltaire ;1769 Le texte dont il est

quatre, et, comble de la déchéance hypocrite dans l’acte cinq. - la présence du « merveilleux » : une statue qui bouge, une spectre, une statue qui vient dîner, une descente aux Enfers. C/Une pièce tragi-comique rompant avec les règles du Théâtre classique A. La pièce de Molière ne respecte aucune des règles édictées par Boileau parce que l’auteur y suit la logique d’une démonstration précise : -pas d’unité de lieu : à chaque acte son lieu des « extérieur » et des « intérieurs » -pas d’unité de

Table des matières. La tragédie grecque, Vème siècle avant Jésus Christ. Le théâtre Elisabéthain, 2ème moitié du XVIème et 1ère moitié du XVIIème, Angleterre. La Commedia Dell' Arte, fin du XVIème et tout le XVIIème siècle. Le théâtre Classique, XVIIème siècle, France. Le théâtre du XVIIIème siècle, France. Le Drame romantique, première moitié du XIXème, France. Le théâtre du XXème siècle en Europe : - Le théâtre épique, dialectique, 2ème quart du XXème, Allemagne de

grand seigneur méchant homme[1] ». L'expression est un quasi-oxymore si on la rapporte à l'éthique glorieuse de l'héroïsme ancestral, dont les racines plongent dans l'Antiquité grecque et qui survit comme un modèle très exploité par la littérature classique, de La Princesse de Clèves aux tragédies, en passant par les Maximes de La Rochefoucauld. La simple mention de ces grandes œuvres fait saisir l'ampleur du problème, à la fois moral et social, qui affecte les repères de la « conscience » collective

à l'origine un lieu d'où le public observe un spectacle. À la Renaissance, la signification s'étend non seulement à l'ensemble de l'édifice de spectacle, scène comprise, mais également à l'art dramatique. Ce n'est qu'après la période du théâtre classique que le terme désigne aussi la littérature écrite spécialement pour la représentation théâtrale. Le théâtre est né en Grèce, où des concours tragiques existent depuis le VIe siècle av. J.‑C.. Il est apparu à Rome à la fin du IIIe siècle av. J.‑C