Tartuffe Dévotion

Quels sont, d’après les textes du corpus, les liens entre le théâtre et la morale ? Les quatre textes qui composent ce corpus portent sur le théâtre et visent tous à démontrer la moralité ou l'immoralité de celui-ci : Le texte A est la préface du Tartuffe de Molière, comédie représentée pour la première fois en 1664 ; le texte B Traité de la comédie de Pierre Nicole datant de 1667 ; le texte C la préface de Phèdre de Jean racine tragédie créée en 1677 et enfin le texte D Lettre à l'Alembert sur les

remière entrée en scène de Tartuffe. Une entrée tardive. Nous savons déjà que Tartuffe est un hypocrite : c'est un parasite social et un fauxdévot. Nous savons aussi qu'Orgon et madame Pernelle sont ses dupes. Le spectateur n'est donc pas surpris, mais il va voir en actes ce qu'il connaissait seulement jusqu'à présent par ouï-dire. En quoicette scène est un mélange d’hypocrisie et de comique ? I) L'hypocrisie de Tartuffe : Tartuffe: acte III, scène 2 Introduction : Première entrée

rendre son rôle de dévot plus crédible et pour se faire il utilise beaucoup de vocabulaire religieux comme ''priez'' vers 854, ''ciel'' vers 854'', ''aumônes'' vers 856,''partager'' vers 856. Tartuffe essaye également de se montrer comme un personnage généreux et un bon chrétien mais la vision que Tartuffe veut que l'on ai de lui est en contradiction avec posteur est une comédie satirique écrite en cinq actes et en vers par Molière qui est né en 1622, fils d'un bourgeois Parisien il fit desétudes

usurpée. En 1662 l’école des femmes. Cette pièce donnera à Molière la protection du roi louis XIV. Cette protection lui sera vitale pour résister aux attaques de ses ennemis de plus en plus nombreux notamment parmi le monde religieux avec une pièce (Tartuffe 1664). A la suite de la critique du religieux (1665) il écrira donjuan ou le festin de Pierre. C’est cette même année qu’il entrera en concurrence avec un jeune tragédien Racine. Entre temps il crée sa nouvelle trouve : la troupe du roi 1671 il

toutes sortes de mimiques. Le comique de situation impose également que la pièce soit jouée. Il fait rire le spectateur grâce à la situation dans laquelle se trouvent les personnages. On peut le voir dans Le Tartuffe, lorsque Orgon se cache sous une table afin d'observer sa femme et Tartuffe. Au delà des genres comiques, les ornements d'une mise en scène permettent de mettre en valeur l'oeuvre comme l'a d'ailleurs lui-même dit Molière au sujet de L'Amour médecin : « il serait à souhaiter que ces

Les Précieuses ridicules qui lui apporte la célébrité. A partir de 1660, Molière remporte de nombreux succès en tant qu’auteur, acteur et directeur de troupe. Grâce à cela il obtient du roi la salle du Petit-Bourbon puis celle du Palais-Royal. Tartuffe, jouée pour la première fois en 1664 à Versailles, pièce dans laquelle il critique l’hypocrisie des faux dévots, fait scandale. La pièce est interdite par le roi sous la pression des dévots qui se sentent visés. En 1665, Dom Juan suscite également

Molière crée des pièces mi-farce mi-critique de la société, il conserve le soutien du roi. Il reçoit même une pension du souverain, ce qui attise la jalousie de ses ennemis.  L’Ecole des femmes, La Critique de l’École des femmes, Tartuffe  qui pointe du doigt l’hypocrisie religieuse et qui fut interdite de représentation pendant 5 ans, et Don Juanle hissent au rang  du plus grand artiste de son époque. Sa collaboration avec Lully se traduit par l’apparition d’un

oeuvres. Les productions littéraires classique sont soumis à des règles strictes. Molières est un acteur de ce mouvement qui a nottamment écrit des pièces de théatres comiques comme Le Malade Imaginaire, Le Bourgeois Gentilhomme, L'Avare, ou encore Tartuffe C'est à la seconde motié du XVIIe siècle qu'apparait le classicisme qui est un mouvement littéraire ayant pour but de représenter un idéal hmain à travers les oeuvres. Les productions littéraires classique sont soumis à des règles strictes. Molières

notamment, les défauts humains sont poussés à leur paroxysme et les personnages sont si caricaturaux que le nom de chacun devient, par antonomase, un nom commun (un tartuffe, un dom juan). Lec lecteurs ont affaire à des pédants affectés (comme l'illustrent Les Femmes Savantes, Les Précieuses Ridicules), des faux dévots (comme dans Le Tartuffe), des hypocondriaques (tel que Le malade Imaginaire). De même, Arnolphe dans L'école des Femmes est semblable à Sganarelle, dans Le Cocu imaginaire, et sont tous

(1660) L’école des maris (1661) Les fâcheux (1661) L’école, des femmes (1662) La critique de l’école des femmes (1663) Remerciement au roi (1663) Le mariage forcé (1664) Les plaisirs de l’île, enchantée (1664) La princesse d’Elide (1664) Le tartuffe ou l.’ imposteur (1664-1669) L’amour médecin (1665) Le misanthrope ou l’atrabilaire amoureux (1666) Le médecin malgré lui (1666) Melicerte (1666) Pastorale comique (1667) Le sicilien ou l’amour peintre (1667) Ballet des muses (1667) L’avare