Tartuffe Scène Finale

des dévots. Écrite juste après Tartuffe, où Molière fustigeait l'hypocrisie de certains dévots, elle semble aux yeux des religieux de l'époque une apologie du libertinage. Le seul défenseur de la religion semble être Sganarelle, pour lequel la religion ressemble fort à de la superstition et dont le rôle comique est indéniable. Elle va donc subir, dès sa deuxième représentation, une attaque en règle. On demandera à Molière de supprimer certaines scènes (dont la scène du pauvre) et certaines répliques

Armande Béjart, ce qui fut un vrai scandale. Il fut connu pour ses célèbres œuvres théâtrales comme Tartuffe (1664), Misanthrope (1666) et bien sur Don Juan (1665). Dans cette célèbre tirade, Don Juan fait l’éloge paradoxal de l’inconstance amoureuse. Ce tour de force consistant à louer une notion considérée comme un vice par le sens commun sera reconduit à la scène 2 de l’Acte V, lorsque le personnage, dans l’ultime péripétie de la pièce, fera l’apologue de

d'acquérir de l'expérience et de raffiner leur jeu. Ils rencontrèrent des troupes italiennes qui jouaient «la commedia dell’arte» : ils apprirent à jouer sous le masque et à improviser des canevas. Molière s’initia sur le tas tous à les métiers de la scène, étant à la fois comédien, décorateur, costumier. Lui qui rêvait de jouer la tragédie, faisait rire et se découvrait un talent étonnant pour la comédie. Il devint bientôt le chef de la troupe dont les protecteurs les plus éminents furent le duc d’Épernon

l’interdiction de Tartuffe, du même auteur. II. STRUCTURE DE LA PIÈCE Acte I Après l’éloge burlesque du tabac par Sganarelle, valet de Dom Juan, la pièce s’ouvre sur une conversation entre celui-ci et Gusmon, écuyer de Done Elvire. Ce dernier ne comprend pas pourquoi le maître de Sganarelle a abandonné Elvire après l’avoir enlevée de son couvent et épousée. Sganarelle lui explique alors que Dom Juan est un libre penseur, un « épouseur à toutes mains », « grand seigneur méchant homme ». (Scène 1) C’est alors

la représentation, le metteur en scène doit-il suivre scrupuleusement les indications de l'auteur et prendre en compte tous les éléments concrets mentionnés dans le texte théâtral ? Annonce du plan : Certes, il faut rester fidèle aux directives de l'auteur, mais le théâtre, par sa nature, autorise (et peut même exiger) des entorses à la fidélité absolue. Une mise en scène réussie doit satisfaire les trois « créateurs » d'une pièce : l'auteur, le metteur en scène et le public. I. La fidélité à l'auteur

la représentation, le metteur en scène doit-il suivre scrupuleusement les indications de l'auteur et prendre en compte tous les éléments concrets mentionnés dans le texte théâtral ? Annonce du plan : Certes, il faut rester fidèle aux directives de l'auteur, mais le théâtre, par sa nature, autorise (et peut même exiger) des entorses à la fidélité absolue. Une mise en scène réussie doit satisfaire les trois « créateurs » d'une pièce : l'auteur, le metteur en scène et le public. I. La fidélité à l'auteur

COMMENTAIRE - DOM JUAN, Acte III, Scène 2 INTRODUCTION  Mise en situation Après l'interdiction de sa comédie Tartuffe, Molière n'abandonne pas le combat contre l'hypocrisie et la fausse dévotion : il reprend en 1665, dans Dom Juan, un personnage à la mode à cette époque, mais transforme le simple séducteur en marginal libertin, pourfendeurs des valeurs traditionnelles.  Bref résumé de l'action Pourchassés par les frères d'Elvire que Don Juan a séduite, épousée et abandonnée, Don Juan, en

Commentaire littéraire. Scène des Fourberies de Scapin. Il semble évident que dans cette scène, il faut étudier le comique : quels sont les différents procédés comiques mis en œuvre, mais aussi, pour aller plus loin, les traits de la nature humaine peints à travers ce comique. Introduction ( 3 parties : présentation de la pièce, situation de la scène par rapport à l’intrigue / Présentation de la problématique / présentation du plan) Après plusieurs pièces destinées au théâtre de cour, et

grandes œuvres polémiques que sont Tartuffe (1664), Don Juan (1665) et Le Misanthrope (1666). L’acte IV scène 1 ne consiste qu’en un seul monologue d’Arnolphe où il exprime son vœu final de se battre jusqu’au bout pour l’amour d’Agnès. En effet, ce passage se situe après la déclaration d’amour d’Agnès envers Horace ce qui bouleverse profondément le pauvre Arnolphe qui se rend compte par la même occasion qu’il est tombé amoureux de sa protégée. Le fait que la scène se situe juste après l’entracte est

l’accent sur la nécessité d’associer l’étude du texte théâtral à l’étude de sa représentation. Il est en particulier recommandé de compléter l’étude du texte « par l’analyse de mises en scène comparées ». Or Dom Juan a l’intérêt d’offrir de nombreuses possibilités de comparaisons en raison du grand nombre de mises en scène dont la pièce a fait l’objet. La fin de ce dossier proposera notamment des pistes d’analyse pour l’étude comparée du Dom Juan de Bluwal et de celui de Daniel Mesguich (également disponible