Tartuffe Tirade à Elmire

Tartuffe Oeuvre: -Acte 3, scène 3 -Aveu de Tartuffe pour Elmine Auteur: -Jean Baptiste Poquelin (Molière) (05/01/1622_17/02/1673) -Dramaturge, comédien -Genre comédie, comédie-ballet -Critique courante de l'hypocrisie -Tapissier valet de chambre du roi -Issu d'une riche famille bourgeoise parisienne Intro: -Pièce de 1664 interdite par l'archevèque de Paris -Le Roi autorise une version en 5 actes en 1669 montrant son refus de toute allégeance au parti dévôt -Tartuffe est une

Tartuffe, III, 3, vers 933 à 960. | |Tartuffe (à Elmire) | | | | |933 |L’amour qui nous attache aux beautés éternelles | | |n’étouffe pas en nous l’amour des temporelles ; | |935 |nos sens facilement peuvent être charmés | |

LE TARTUFFE ACTE III, scène 3. La première question qu'il est nécessaire de se poser, lorsque l'on aborde un travail d'interprétation autour de cette scène, est liée à la lecture que l'on se fait de la fable. D'elle dépend l'interprétation de la partition du rôle de Tartuffe. Au sens étymologique du terme, l'hypocrite, c'est d'abord l'acteur. et dans cette pièce la question de l'être et du paraître, du vrai et du faux se pose constamment. Tout y est spectacle, représentation théâtrale

Tartuffe de Molière – Acte I – Scène I 1. En quoi cette scène a-t-elle les caractéristiques d’une scène d’exposition ? Une scène d’exposition permet de présenter aux spectateurs les informations nécessaires à la compréhension de la situation initiale de la pièce. Sa fonction principale est de nous aider à identifier les personnages principaux et de nous informer sur leur situation, tout en essayant d’exposer la problématique à venir. Elle doit aussi retenir l’attention des spectateurs.

TARTUFFE, ACTE III, SCÈNE III, vers 933 à 960. TARTUFFE (À ELMIRE) 933 935 15 L’amour qui nous attache aux beautés éternelles N’étouffe pas en nous l’amour des temporelles ; Nos sens facilement peuvent être charmés Des ouvrages parfaits que le Ciel a formés. Ses attraits réfléchis brillent dans vos pareilles ; Mais il étale en vous ses plus rares merveilles. Il a sur votre face épanché des beautés Dont les yeux sont surpris, et les cœurs transportés, Et je n’ai pu vous voir, parfaite créature

Tartuffe (Molière) Acte III scène 3 Introduction : Tartuffe est entré en scène à la scène précédente (une entrée plutôt tardive !) ; cette entrevue avec Elmire est très attendue par le spectateur qui se demande comment la femme d'Orgon va réagir en face du personnage. Dans la scène précédente, Dorine a révélé au spectateur combien Tartuffe est ridicule et nous voyons qu'elle a très bien compris la raison véritable pour laquelle il souhaite rencontrer Elmire. Tartuffe n'est guère un

d’exposition Tous les personnages sauf Orgon et Tartuffe Madame Pernelle rouspète à tout le monde Elle interrompt Marianne : Je crois ... Mme P. : Mon dieu sa soeur vous faite la discrète Elle fait l’éloge de Tartuffe mais pas des autres C’est un homme de bien qu’il faut que l’on écoute. Et tout ce qu’il contrôle est fort bien contrôlé / C’est au chemin du ciel qu’il prétend nous conduire) Scène 2 Dorine et Cléante Critiquent Mme Pernelle et Tartuffe Cette bonne femme Mais Orgon est devenu

I. Un discours amoureux A. Classicisme En soi, le discours de Tartuffe est un "discours amoureux" classique. Le vocabulaire mélioratif et hyperbolique est présent ; "ses plus rares merveilles", "des beautés", "parfaite créature". Tartuffe prend une posture de suppliant. On remarque l’omniprésence du "je", mais un "je" qui se dévalorise : "mon infirmité", "mon néant". La dame, elle, est "souveraine", a entre ses mains le sort de l'amant (v. 960, marqué par un parallélisme et une antithèse ; le

Arnolphe, Dom Juan et Tartuffe sont tous les trois des beaux parleurs. Ils savent trouvé les mots pour arriver a leur fin, dans ces trois textes ci : pour séduire une femme. Arnolphe est un personnage entêté et possessif . Il voulait garder Agnés pour lui tout seul si bien qu'il élevait à l'écart du monde pour qu'elle ne puisse aimer un autre homme que lui. Cependant c'est un échec mais Arnolphe ne baisse pas les bras, et continue coute que coute de la charmée et de tout faire pour qu'elle tombe

21/01/14Français Séquence III : Théâtre et représentation Méthodologie A : Comment lire un texte ?: Q.I : Dans le premier extrait, la parole n’est pas répartie de la même manière. En début de scène, Iphigénie s’exprime longuement alors que son père va peu parler environ 3x moins que sa fille. Ce déséquilibre s’explique par le fait qu’Agamemnon doit annoncer une nouvelle terrible à sa fille mais qu’il n’ose pas… Au contraire, Iphigénie est à la fois heureuse de voir son père et s’inquiète de son attitude