Taureau de combat

La toile nous montre un ensemble de personnages et d'animaux dans un espace fermé. Organisé comme une frise, Guernica peut être décrit de gauche à droite : Une femme tient son enfant dans ses bras, la tête rejetée en arrière, derrière elle un taureau et un oiseau. Au premier plan à gauche gît un soldat. Au centre du tableau, sous une ampoule électrique, un cheval semble se tordre de douleur. A droite, en bas, on voit une femme, un genou à terre. Au dessus d'elle, le buste d'une femme portant

L'extrait proposé à l'étude se concentre essentiellement sur la naissance du monstre et le combat que lui livre Hippolyte. S'il n'est aucunement envisageable de représenter ces événements sur une scène de théâtre, ceux-ci s'opposant aux bienséances et à l'unité de lieu, ils sont néanmoins évoqués dans la mesure où ils ne trahissent pas le principe de vraisemblance. En effet, la réécriture du mythe de Phèdre inscrit la pièce dans les terres arides, resserrées entre la mer et le désert, de l'Antiquité

Guernica Artiste : Picasso Tableau :Guernica Matériaux : description et analyse de Guernica : Oeuvre de dénonciation et de protestation contre le bombardement de la ville basque Guernica (qui a donné son nom au tableau), Guernica est une un combat avec la peinture, la manifestation politique de Picasso et l’exemple de la participation du peintre aux drames de son epoque: la violence, la barbarie et la guerre. Pablo Picasso rejoint en ce sens Francisco Goya, devenu lui aussi témoin de ses afreux

de 1 200 navires toujours armés pour le combat répartis dans les immenses arsenaux de la cité. 240000 marins étaient sur bord des bateaux. -La puissance militaire de la cité effraye les ennemis(sauf peut-être l’armée de Sparte). En cas de besoin, elle peut réunir 10000 chars de combat ave leur équipage, 20 000 cavaliers et 800000 soldats. Il y a aussi des hoplites, des fantassins, des archers, des fondeurs et des lanceurs de javelot. LE SACRIFICE DU TAUREAU SACRÉ -Dix rois régnaient sur l’île de

oracle. Il trouve à ce moment là une tablette dans la main de Phèdre accusant Hippolyte de l’avoir déshonorée. Thésée maudit son fils et le bannit de Trézène. La mort d’Hippolyte nous sera dévoilée par le récit d’un messager qui expliquera qu’un taureau est sorti de l’écume effrayant les chevaux du jeune homme, le char se casse et blesse mortellement Hippolyte. Par l’intervention d’Artémis la culpabilité de celui-ci est dissipée, il meurt dans les bras de son père. Artémis jure de venger à son tour

discipline sportive qu’ils exerçaient : .la viande de chèvre pour les sauteurs .la viande de taureau pour les lanceurs et les boxeurs .la viande grasse de porc pour les lutteurs Par ailleurs les Chinois, eux, connaissent depuis plus de 3000 ans les effets du ginseng , ce stimulant utilisé surtout pour les sports de combats , l’athlétisme et les sports de force qui a aussi connu une diminution de consommateurs dû à ses dangereux effets secondaires

d’allégories. Il a introduit toute sa colère dans « Guernica ». Les personnages de gauches dirigent leurs regards vers la gauche, on lit donc ce tableau de droite à gauche. Le tableau est aussi renversé que le monde qu’il représente. On voit le taureau impassible, il a une tête blanche et un corps noir. Il symbolise l’Espagne, et se détourne de la scène du massacre. Il représente aussi le Minotaure (personnage-monstre chez Picasso. C’est le seul personnage qui regarde en direction du spectateur

brutalité et la violence de la scène. On peut remarquer que tous les visages sont représentés bouches ouvertes, les yeux en formes de gouttes. Signifiant le cri et les pleurs des protagonistes. Les différentes parties du tableau : 1. Le taureau Le taureau est le seul élément impassible au milieu du chaos de la scène. Il représente la force brute et la cruauté. On peut remarquer qu’il a des yeux d’humains, qui nous fixent. Certains le voient comme le symbole de l’Espagne, d’autre le voit comme

avril 1939, les « prouesses » de la légion Condor. Beaucoup de publications se mirent à exalter ses performances. L’un des ouvrages à succès fut celui d’un auteur qui avait auparavant glorifié les soldats de 1914-1918 : Werner Beumelburg. En 1940, son Combat pour l’Espagne décrit en dix chapitres toutes les péripéties de la guerre civile espagnole, en évaluant avec précision l’aide hitlérienne aux forces franquistes. Toutefois, dans tous ces livres, rien sur l’« exploit » qui fonda mondialement la sinistre

torche la lança dans un tonneau d’huile pour mieux y voir. Sans attendre deux seconde nous sortons nos sabres le siens banal et le mien émettait une lumière rougeâtre il fonça tête baiser telle un taureau, je sautai a plusieurs mètres au-dessus de lui et lui donna un coup qu’il para avec son bouclier le combat s’annonçai serrer je lançai mon attaque évitant sa flèche et lui donna un coup dans la jambe il tomba à terre. « -Ais pitié !!dit-il. - Seul les faibles ont pitié !! » Je lui tranchai la