Taureau

de vues tout en les concentrant dans la même image. -On y distingue neuf êtres vivants : le visage, la femme aux bras levés, la femme blessée, le cheval, le guerrier, la colombe, le taureau, la pietà et son enfant. -La composition

notion de données binaires. COULEURS DOMINANTES : Vert, Rouge orangé. TAUREAU CELEBRES : Laetitia Casta, Jack Nicholson, Charlie Chaplin, Tchaïkovski, James Brown, Joe Cocker, Cher, Iggy Pop. Le Taureau est le signe de l'endurance et de la sensualité. Il constitue de toute évidence le plus physique des signes : dominé par la planète Vénus, qui symbolise les sens, sa perception des choses est avant tout sensorielle... Le Taureau est réaliste et fidèle. Il garde son calme et son sérieux en toute circonstance

gauche, une femme tenant une enfant dans ses bras. Au-dessus, un taureau. Au centre, un cheval blessé. Au dessus de ce cheval, une femme tenant une lampe vers le ciel, et une grosse ampoule électrique. A droite, un homme dans les flammes, les bras levés vers le ciel. Les personnages ont tous la bouche ouverte, regardent le ciel. L’homme au 1er plan a le corps morcelé, il tient une épée. La mère tient son enfant mort dans ses bras. Le taureau observe la scène. Le cheval blessé semble hurler. Une colombe

intrigue avec Mars, inspira à sa fille un amour désordonné pour un taureau blanc que Neptune avait fait sortir de la mer. Selon d'autres mythologues, cette passion fut un effet de la vengeance de Neptune contre Minos, qui, ayant coutume de lui sacrifier tous les ans le plus beau de ses taureaux, en trouva un si beau, qu'il voulut le conserver, et en immola un de moindre valeur. Neptune, irrité, rendit Pasiphaé amoureuse du taureau conservé. Dédale, alors au service de Minos, fabriqua, pour favoriser

inspiration de l'art africain. Au premier plan, on peut voir un cheval transpercé par une lance, sa langue pointue donne l'impression qu'il hurle de douleur, à sa gauche on voit un taureau qui symbolise la force brute, le "sadisme" avec la corrida. Les deux animaux représentent les deux partis qui s'affrontent : le taureau représente les nationalistes qui soutiennent Franco, qui viennent de porter un coup aux républicains, ici le cheval blessé. Entre les deux animaux il y a une colombe, symbole de

L’enfant a les yeux vides et la tête pendante. Il symbolise l’innocence assassinée. Le taureau L’un des personnages les plus difficiles à interpréter. Il symbolise l’Espagne, à travers la corrida. Il représente aussi le Minotaure, personnage-monstre très présent chez Picasso. C’est le seul personnage qui tourne la tête vers le spectateur. Il semble impassible devant le massacre. Picasso a dit : « Le taureau n’est pas le fascisme, mais il incarne la brutalité et les ténèbres. » La lampe vers

révèle être une œuvre très travaillée. L’œuvre peut être découpée en 3 parties. Le regard est amené vers le centre, endroit le plus clair du tableau. On remarque aussi que tous les personnages dirigent leurs regards vers la gauche (vers le taureau). Le taureau lui, regarde le spectateur. La lecture du tableau se fait de droite à gauche, à l'inverse de sens normal de lecture. Le tableau est séparé en trois parties, la partie centrale est découpée dans un triangle dont le sommet s'approche de l’œil

d’une scène de ce massacre. Il s'agit donc d'une œuvre d'art engagée, d'une œuvre d'art politique, d'une peinture d'histoire. Description (Dénotation ) : Au premier plan : De gauche à droite : une femme avec un enfant dans ses bras, un taureau, un homme allongé avec une épée dans la main droite, un cheval, une lampe au plafond, une femme apparaissant à une fenêtre et brandissant une lampe à pétrole, une femme s’enfuyant, un personnage en proie aux flammes d’une habitation. Les expressions

distinguons plusieurs symboles : Le taureau représente la cruauté, la brutalité de la dictature franquiste. Il semble insensible à l’horreur qui a lieu. Le taureau est donc une métaphore du franquisme qui aurait brutalisé et blessé la jument, représentation du peuple espagnol ; La jument centrale représenterait donc le peuple espagnol déshumanisé par la dictature. Pour certains, cette jument, blessée, qui semble hennir de douleur aurait été blessée par le taureau. Elle incarne les victimes du régime

l’œuvre tel que le taureau impassible, le cheval agonisant, le combattant étendu sur le sol, la porteuse de lumière. Condition de la création : la commande du gouvernement républicain espagnol pour être exposée le 25 mai, moins d'un mois après donc, au pavillon représentant l'Espagne lors de l'Exposition universelle de Paris de 1937. II/Description. Scène d’extérieur et d’intérieur également car il y à une table Principaux éléments du tableau : le cheval blessé, le taureau, le chœur des femmes