Tauromachie

œuvres,… Séance 1 : les photos Lors de la première séance, je commencerais tout d’abord par présenter des photos représentant la corrida : un tableau de Picasso, de Fernando Botero, des affiches de tauromachie etc. Cela servira d’inducteur pour aider les élèves à imaginer le monde de la tauromachie. Je leur demanderais donc d’essayer de représenter corporellement une photo de leur choix et de mémoriser au moins le début et la fin de leur phrase dansée. Cette phrase pourra être réalisée seul ou

du christ. la crucifixion est l'archétype de la souffrance et de l'agonie. 2) Les différents éléments : le taureau Le taureau est un symbole de la force brute, de la cruauté. Au milieu de la débâcle il apparaît impassible. L'iconographie tauromachie est une composante fréquente de l'œuvre de Picasso. 3) Le chœur des femmes Trois femmes sur le coté droit de la composition forme un chœur antique, pleurant la liberté agonisante 4) La mère portant son enfant mort La douleur et les hurlements

celui qu’on montre du doigt (voir mise en scène : index de Thésée + Hippolyte rampant comme un ver) . analyse du mécanisme de désignation d’Hippolyte (Perfide, traître, monstre…) ; le fils n’est jamais nommé : cf. le compte-rendu journalistique de tauromachie où la bête n’est jamais désignée que par métaphore (= manière de mythifier la bête, de la rendre plus fabuleuse et monstrueuse)/ de même, il suffirait de remplacer Hippolyte par Phèdre et le constat de Thésée serait quasiment juste : glissement

premier prix du Salon des artistes colombiens, il est l'un des rares peintres à connaître le succès et la gloire de son vivant. Ses sujets de prédilection sont notamment les natures mortes, les nus féminins, les portraits de famille, les scènes de tauromachie ou celles de la vie quotidienne de la société colombienne. Botero fut très influencé par l'art européen à l’instar d’autres artistes latino – américains. Lección de guitarra, 1960 C’est une nature morte, ou on peut voir la variété importante

incidence sur certaines des peintures de Picasso au cours de cette période. Il lui emprunte par exemple ses courbes généreuses  tout en exprimant un érotisme sous-jacent. En 1935, Picasso produit La Minotauromachie, une œuvre monumentale qui mêle tauromachie et minotaure. Elle est souvent citée comme la gravure la plus importante du 20e siècle.   Picasso décide de peindre le bombardement de la ville Guernica  (26 avril 1937) à la suite d’une commande du gouvernement espagnol en 1937. Dans cette grande

pour la capitale française où il s'installe dans l'atelier du peintre Nonell à Montmartre. Picasso s'y imprègne de l'atmosphère du Moulin de la Galette et rencontre le marchand Pedro Mañach ainsi que Berthe Weill qui lui achète trois scènes de tauromachie, les premières toiles qu'il vend à Paris18. Réalisant des œuvres de commande, il vend également quelques pastels à des amateurs19. Il rentre à Barcelone le 20 décembre, avec Casagemas que Picasso emmène avec lui jusqu'à Malaga pour le sortir de

est très proche, pour Paris où il s'installe dans l'atelier du peintre Nonell à Montmartre. Picasso s'y imprègne de l'atmosphère du Moulin de la Galette et rencontre le marchand Pedro Mañach ainsi que Berthe Weill qui lui achète trois scènes de tauromachie, les premières toiles qu'il vend à Paris[14]. Il vend également quelques pastels à des amateurs[15]. Il rentre à Barcelone le 20 décembre, avec Casagemas que Picasso emmène avec lui jusqu'à Malaga pour le sortir de sa mélancolie[15]. À la mi-janvier 1901

verticale centrée sur un personnage féminin A gauche : une mère qui pleure son bébé A droite : une femme qui essaie d’échapper aux flammes (référence au tableau Tres de Mayo de F. Goya) Le taureau : il symbolise les Franquistes (référence à la tauromachie), la brutalité Le cheval : il représente les Républicains, le peuple qui souffre Il est au centre : personnage essentiel du tableau Le pelage du cheval ressemble à des pages de journaux. C’est par la presse que Picasso a appris le

est très proche, pour Paris où il s'installe dans l'atelier du peintre Nonell à Montmartre. Picasso s'y imprègne de l'atmosphère du Moulin de la Galette et rencontre le marchand Pedro Mañach ainsi que Berthe Weill qui lui achète trois scènes de tauromachie, les premières toiles qu'il vend à Paris13. Il vend également quelques pastels à des amateurs14. Il rentre à Barcelone le 20 décembre, avec Casagemas que Picasso emmène avec lui jusqu'à Malaga pour le sortir de sa mélancolie14. À la mi-janvier 1901

d’amitié adolescente. Dans la grande guerre il est blessé en 1918 et au cours de ses blessures, il en ressort une grande fierté et il va chanter dans ses pièces de théâtre l’effort et l’héroïsme. En 1924, il écrit un livre appelé La Tauromachie. Il est en admiration dans ce type de combats de l’homme contre le taureau car il y’a du panache et parce que la vie nous présente des situations où il faut se battre comme dans une arène avec un taureau. Montherlant va profiter de toute les situations