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Macroéconomie 8 – Politique monétaire à moyen terme Chapitre 8 : Politique monétaire à moyen terme A court terme, le modèle IS-LM montre une politique monétaire expansionniste entraîne une diminution du taux d’intérêt ce qui entraîne une augmentation de la demande tirée par les investissements donc une augmentation de la production. MS↗i↘I↗YD↗Y↗ L’augmentation de la production n’entraîne pas d’augmentation des prix dans le court terme. Malheureusement, à moyen terme, cette politique va

le passé le Canada, la Suède, l'Italie, le Danemark, la Finlande… ? Ceci peut être une solution pour quelques pays (Royaume-Uni) mais pas pour tous et pas à l'intérieur de la zone euro ;  la neutralité ricardienne : une baisse du taux d'épargne des ménages et du taux d'autofinancement des entreprises avec l'anticipation d'une croissance plus rapide des revenus dans le futur ? Il faudrait pour cela faire disparaître la forte aversion présente pour le risque, augmenter la croissance potentielle ;

elle relance toute l’activité économique. Une politique de relance a des effets positifs sur l’activité économique, elle permet d’atteindre au mieux deux des quatre objectifs du carré magique ; avoir le taux de croissance du PIB le plus fort et avoir le taux de chômage le plus faible. I. A. Un taux de croissance du PIB en augmentation. Lors d’une période de crise, la question de relancer l’activité économique se pose. En effet quelles mesures le gouvernement peut-il mettre en place pour relancer

d’émission du district) et qui ont 25 succursales. La composition de la Réserve fédérale comporte en fin les banques membres et les divers conseils qui sont rattachés au Board of Governors et lui donnent les différentes recommandations. Le comité directeur de la Réserve fédérale est le « Board of Governors of the Federal Reserve System » à Washington D.C. Il est composé de sept membres qui sont aussi nommés par le président américain et votés par le sénat. Après une législature de 14 ans ils ne peuvent

pouvoir d’achat de la monnaie est mieux préservé. La valeur externe est le prix de la monnaie exprimé dans les autres monnaies, on l’appelle taux de change (Ex, 1€=1,4$, valeur d’une monnaie par rapport à une autre), cette valeur externe est liée à un certain nombre de facteurs. Nous constatons que le taux directeur de la banque centrale peut agir sur le taux de change de la monnaie. Le solde de la balance commerciale, décrit les échanges des marchandises avec le reste du monde (X, exportation et

placements à vue ( 1 200 Milliards € M3 : M2 + SICAV (Société d'Investissement à Capital Variable)/placement à court terme ( 1 720 Milliards € L’IMPACT DE LA QUANTITE DE MONNAIE SUR L’ECONOMIE › EFFETS POSITIFS (on parle d’offre de monnaie) : avec des taux d’intérêts faibles ( crédit facile (plus d’emprunt) qui renforce l’offre de la monnaie. Moyen de relance par la consommation et l’investissement. Aboutissement sur le développement de l’économie. › EFFETS NEGATIFS : demande de l’offre trop importante

en entrainant une autre, la croissance serait ralentie et l ‘économie mondiale poussée vers le bas. A ce premier scénario s’ajoute la possibilité de voir les marchés rechuter ce qui briserait la confiance entre les banques et augmenterait les taux interbancaires de façon significative. De quoi réaugmenter le coût des prêts. Néanmoins, d’après les tests effectués durant la trêve estivale, il est constaté que les banques ont très peu de chance de retomber dans la crise. Enfin, la dernière

second temps nous verrons les limites d’un unique objectif. I. Les bienfaits de la maîtrise de l’inflation A. Réduit l’incertitude quant à l’évolution générale des prix a) Réduit les primes de risque sur l’inflation contenue dans les taux d’intérêts b) Evite les opérations de couverture inutiles B. Augmente les avantages de la détention d’espèces a) Pas de coûts d’opportunités b) Pas de pertes de pouvoir d’achat C. Réduit les distorsions dans l’affectation des ressources

sont surreprésentés. Les prochaines élections auront lieu en septembre 2013 (tous les 4 ans). Données économiques en 2011 Principaux indicateurs par pays Indicateurs PIB 2010 Dette publique en % du PIB PIB par habitant 2010 Taux de croissance 2011 Taux d’inflation 2011 Taux de chômage fin 2011 Norvège France 321 Mds € 1 920 Mds € 47,7% 62 730 € 2,1% 1,9% 2,4% 83,5% 30 477 € 1,7% 2% 9,9% Sources : Institut national de la statistique SSB, INSEE 2 © 2011 - Ubifrance et les Missions économiques

mondiale de 1,3% jusqu'à Juin (sachant que ce taux était de 4% pour l’année 2011). Cette augmentation peut en grande partie être attribuée aux pays émergents, et plus précisément aux pays de l’Asie, chose qui montre que la plupart des puissances économiques mondiales, dont la production a diminué significativement, peinent encore a se redresser. D’autre part, on remarque aussi que le commerce international s’est lui aussi ralenti, enregistrant une taux de croissance timide de 0.5% jusqu'à octobre