Tchéka

La Mode n’est pas en reste, avec l’essor du Musée de la Mode, l’émergence de nombreux créateurs aux marques désormais notoires comme Banana Moon, Pain de sucre, Olly Gan, Kulte, Volcom, Madame Zaza of Marseille, Betty Sanderson, Doctor Jekyll, Tcheka... Autant de griffes qui habillent la cité phocéenne. Le domaine sportif explose. Comment parler de Marseille sans évoquer le mythique Olympique club de foot... Comment, ne pas parler, également, du passage de l’America’s Cup... Marseille,

pas besoin d'opposition, camarades : ce n'est pas le moment.»   La terreur comme appareil d'État De plus, le régime est répressif et exerce la terreur par l'intermédiaire de l'appareil policier. Dès le 19 décembre 1917, les bolcheviks ont créé la Tcheka, une police secrète chargée de la répression de toute manifestation d'hostilité à l'égard du régime. En septembre 1918, au lendemain de l'attentat contre Lénine (30 août), est instaurée officiellement la terreur de masse à l'égard des «contre-révolutionnaires»

sa prédominance inscrite dans la constitution en 1968. Stasi : Staatssicherheit Ministerium (Ministère pour la sécurité d’Etat), créée en 1950 ; il s’agit du service de police politique et de renseignement de la RDA, structuré sur le modèle de la Tcheka, ancêtre du KGB. Elle est chargée notamment de traquer les opposants au régime communiste. Totalitarisme : qualifie un régime qui impose son pouvoir à la totalité des actions individuelles. Il pratique l’embrigadement, supprime toutes les libertés

pour les partisans du Tsar. Lénine va profiter de cette guerre civile pour mettre en place un communisme de guerre : un régime policier. Dès 1918, Lénine demande à Felix Dzerjinski, de lui créer une police politique, qu’à l’époque il l’appelle «  le Tcheka », en 1922 devient le «  GPU », 1930 ? 1934 « NKVD », après le « KGB », beau avoir changé de nom, l’objectif reste toujours le même : la traque des opposants qui sont arrêtés après déportés ou exécutés. Dans l’installation de la politique de Lénine

chacun des 9 membres principaux ont un passé qui permet de mieux saisir quelques unes des subtilités de l’histoire : Vassili Alexandrovitch : Participe au sommet de Petrograd et combat dans l’armée rouge avant d’occuper des hautes responsabilités à la Tcheka, puis au Guépéou. Général sous la seconde guerre mondiale, il devient l’un des membres les plus influents du Kominform. Le XXème congrès n’affecte pas sa position au comité central. Il est nommé membre titulaire du Politburo où il restera jusqu’en

lieu, bientôt rejoints par des compatriotes du Caucase (Grigory Ordjonikidze) puis des hommes unis par la détestation de Trotski. C'est aussi pendant la guerre civile que Staline noue des relations étroites avec la police politique, la redoutable Tcheka, et son fondateur et chef suprême Félix Dzerjinski. Cette alliance avec la police, qui sera la clé du futur régime stalinien, ira en se renforçant d'année en année, au point que Staline confiera aux tchékistes la gestion et l'éducation de sa propre

défaite…Pour avoir vécu à l’Ouest, ils sont obligatoirement dangereux pour le régime, nécessairement irrécupérables … a) Les instruments de la terreur 1. Le KGB, ð Le KGB, né en 1954, est dans la lignée des précédentes polices politiques : § La Tcheka, fondée par Dzerzinski dès 1917, § Le GPU( GPU : Glavnoïe polititcheskoïe oupravlenie = Direction politique principale) qui prend le relais à partir de 1923 § Le NKVD( NKVD : Narodnyï Kommissariat Vnoutrennykh Diel = Commissariat

lui-même un sous-ensemble, une unité complexe intégrant plusieurs sens ou thèmes simultanément. Par exemple, l'expression Chaka a seagull ticket inclut : a single ticket (« un aller simple »), Tchekhov, la pièce de Tchekhov The Seagull (la Mouette), Tcheka (l'une des premières polices secrètes soviétiques), Tchaïka (« mouette » en russe). Le jeu de mots comporte généralement au moins trois niveaux de signification : l'association formelle ou de contenu qui frappe par son incongruité, la combinatoire

santé * crèche * plein emploi * sports H. La dictature du parti * aucune liberté * pas de démocratie * déportations massives vers les camps (le « Goulag ») : par millions * une police politique toute puissante : « Tcheka » ; « GPU » ; « NKVD » ; puis « KGB ». I. La dictature de Staline : devenir le maître absolue 1) Les « purges » : élimination de tous les « rivaux » communistes (dirigeants, généraux …) * 1934 : 1ère purges * 1936-37-38 :

de guerre Désigne l'ensemble des mesures pour mobiliser la société face au danger intérieur et extérieur. Mobilisation de la société et de l'économie. Renforcement de l'appareil d'État dès les premiers mois de la révolution. Développement de la Tcheka (police politique) pour éliminer les ennemies de l'intérieur, de la bureaucratie. Instauration de tribunaux révolutionnaires, et mise en place de camps de concentration. Étatisation de l'économie, avec une nationalisation des entreprises. On crée