Tchétchènes

flotter l’Union Jack sur 15 Etats dépendants du Royaume (Bermudes, Gibraltar, Ste Hélène, les Malouines), - Les Etats-Unis ont incorporé Hawaï en 1959, le statut de Porto Rico pose toujours problème, - Les minorités dans la CEI (exemple des Tchétchènes) , - L’occupation coloniale et l’exploitation de la région du Tibet par les Chinois - La colonisation israélienne des territoires occupés après la guerre des Six jours en 1967 en contradiction avec la résolution de l’ONU, en 2004 il y

professionnels du CADA, invités au repas. J’ai réussi à rester dans le budget. Le jour de l’animation, 7 personnes sont finalement venues. En effet, une dame est venue avec sa petite fille. Malgré la diversité des nationalités présentes (2 turques, 2 tchétchènes et 3 congolais), une bonne ambiance s’est dégagée de la cuisine toute la matinée. A 12h30, heure prévue du repas, tout le monde était prêt et s’est régalé. A 14h, heure prévue de fin, chacun était reparti chez soi. J’ai pu donner aux résidents le

compagnies pétrolières : le golfe de Guinée (au large d’un continent instable), le delta de l’Orénoque (avec des pétroles lourds difficiles à traiter) et la Caspienne (avec le problème de sortir le pétrole par des oléoducs traversant la République Tchétchène, l’Azerbaïdjan ou l’Afghanistan). Mais à l’horizon 2020, selon les projections de l’Agence Internationale de l’Energie (A.I.E.), le M.-O. pèserait 62 % de la production mondiale, contre 27 % aujourd’hui. Il n’y aurait plus de pétrole en Amérique

proviennent des déportations ethniques pendant la Seconde Guerre mondiale, c'est le cas des polonais, des ukrainiens, des baltes, des moldaves et des bessarabiens en 1939-1941; des allemands de la Volga en 1941, des tatars de Crimée en 1943 et enfin des tchétchènes en 1944. Mais ces populations avaient plutôt le statut d'exilés ou de déportés spéciaux. La plupart était assignée à résidences dans des villages surveillés.   De plus, pendant la Grande Terreur, les femmes des ennemis du peuple étaient déportées

depuis deux siècles. Au printemps 1944, sous la fausse accusation de collaboration, quatorze peuples représentant deux millions de victimes, dont l’intégralité des Tchétchènes-Ingouches, des Tatars de Crimée, des Kalmouks, des Karatchaïs, etc. sont déportés collectivement en Sibérie et en Asie centrale. La déportation des 600 000 Tchétchènes, femmes, enfants, militants communistes et soldats décorés compris, fut accomplie en six jours par le NKVD en mars 1944, ce qui reste à ce jour la plus intense déportation

prompt à capturer l'essence d'un visage distordu, à y déceler «le diamant d'une identité», soumet ces toiles terribles au diagnostic de Célinien («Ce qui nuit, dans l'agonie des hommes, c'est le tralala...»). Il relit ‘’Hadji Mourat’’, le roman tchétchène de Tolstoï, curieusement négligé par les innombrables reportages sur les récents massacres de Grozny, et s'interroge : «Pourquoi le scandale de la répétition est-il sans cesse effacé par le scandale de l'oubli?» Il s'attaque aux «listes noires»

les kamikazes qui ont lancé 2 avions détoutrnés contre les tours du centre commercial ayant enterré vif plusieurs milliers de victimes innocents; l’attentat de Nord-Ost (au théâtre de Moscou; 23 octobre 2002) où une cinquantaine de terroristes tchétchènes armés de pied en cap ont pris plus de 700 personnes en otages, dont plus de 119 ont perdu la vie ayant succombé aux effets du gaz utilisé par les forces russes lors de l'assaut, et l’attentat dans l'école numéro 1 de Beslan (1er septembre 2004)

des femmes) mais impose aussi des choix économiques contestables (monoculture du coton en Asie centrale) et mène souvent une politique de terreur (collectivisation des terres dans les années 1930, déportation de peuples entiers, Tatars de Crimée, Tchétchènes, etc., en 1945). Dans les années 1980, le système apparaît fragilisé par l'effondrement économique, par la guerre d'Afghanistan et par l'écart démographique croissant entre les républiques européennes (à faible natalité) et les républiques asiatiques

raisonnables. (On pose à titre subsidaire la question du veto. La France avait fait la proposition de supprimer le droit de veto lorsque des questions d'ordre “vital” seraient en jeu. La Russie a naturellement refusé cette idée pensant à la problématique tchétchène.) Cette responsabilité – res pondere en latin, répondre de – doit être entendue comme répondre à la violation des droits fondamentaux. Au final les Etats aurant toujours la possibilité d'un droit direct (ONU, Conventions de Genève) ou indirect

depuis deux siècles. Au printemps 1944, sous la fausse accusation de collaboration, quatorze peuples représentant deux millions de victimes, dont l’intégralité des Tchétchènes-Ingouches, des Tatars de Crimée, des Kalmouks, des Karatchaïs, etc. sont déportés collectivement en Sibérie et en Asie centrale. La déportation des 600 000 Tchétchènes, femmes, enfants, militants communistes et soldats décorés compris, fut accomplie en six jours par le NKVD en mars 1944, ce qui reste à ce jour la plus intense déportation