Tchétchènes

depuis deux siècles. Au printemps 1944, sous la fausse accusation de collaboration, quatorze peuples représentant deux millions de victimes, dont l’intégralité des Tchétchènes-Ingouches, des Tatars de Crimée, des Kalmouks, des Karatchaïs, etc. sont déportés collectivement en Sibérie et en Asie centrale. La déportation des 600 000 Tchétchènes, femmes, enfants, militants communistes et soldats décorés compris, fut accomplie en six jours par le NKVD en mars 1944, ce qui reste à ce jour la plus rapide déportation

depuis deux siècles. Au printemps 1944, sous la fausse accusation de collaboration, quatorze peuples représentant deux millions de victimes, dont l’intégralité des Tchétchènes-Ingouches, des Tatars de Crimée, des Kalmouks, des Karatchaïs, etc. sont déportés collectivement en Sibérie et en Asie centrale. La déportation des 600 000 Tchétchènes, femmes, enfants, militants communistes et soldats décorés compris, fut accomplie en six jours par le NKVD en mars 1944, ce qui reste à ce jour la plus rapide déportation

pour la deuxième année consécutive passant de 35,4 % en 2009 à 34,7 % en 2010. Les nationalités pour lesquelles la part des femmes est nettement majoritaire sont les maliennes, les Arméniennes, les Russes (en réalité des demandeuses d’origine tchétchène), les dominicaines, les Péruviennes et les chinoises. En revanche, l’âge moyen des demandeurs d’asile (31,9  ans) demeure identique à celui de l’année précédente. si les demandeurs en provenance du continent européen ont l’âge moyen le plus élevé

depuis deux siècles. Au printemps 1944, sous la fausse accusation de collaboration, quatorze peuples représentant deux millions de victimes, dont l’intégralité des Tchétchènes-Ingouches, des Tatars de Crimée, des Kalmouks, des Karatchaïs, etc. sont déportés collectivement en Sibérie et en Asie centrale. La déportation des 600 000 Tchétchènes, femmes, enfants, militants communistes et soldats décorés compris, fut accomplie en six jours par le NKVD en mars 1944, ce qui reste à ce jour la plus rapide déportation

(entre 2001 et 2002). Ce conflit oppose les 2 pays à raison d'une région frontière, entre la Tchétchénie russe et la Géorgie. Les russes reprochent à la Géorgie d'accueillir des rebels tchétchènes (armement, formation militaire) poursuivis par l'armée russe. La Géorgie déploie des troupes à la frontière tchétchènes. Quelques tirs de part et d'autre de la frontière sont échangés. Les choses s'apaisent dans le courant de l'année 2002. La Géorgie entre à l'OTAN. L'OTAN décide en juin 2002 d'organiser

depuis deux siècles. Au printemps 1944, sous la fausse accusation de collaboration, quatorze peuples représentant deux millions de victimes, dont l’intégralité des Tchétchènes-Ingouches, des Tatars de Crimée, des Kalmouks, des Karatchaïs, etc. sont déportés collectivement en Sibérie et en Asie centrale. La déportation des 600 000 Tchétchènes, femmes, enfants, militants communistes et soldats décorés compris, fut accomplie en six jours par le NKVD en mars 1944, ce qui reste à ce jour la plus rapide déportation

Wyszynski en Pologne en 1953), - les nationalités : à lire les constitutions soviétiques ou chinoises, “toutes les nationalités sont égales...”. en fait, un long martyr. Extrême brutalité de Staline à l’égard des minorités. Déjà pendant la guerre : Tchétchénes, Tatars de Crimée, Ukrainiens, Baltes déportés par centaines de milliers dans des conditions épouvantables. Des massacres trop méconnus. Des opérations de déculturation et de destruction des identités nationales. Il s’agit d’effacer les cultures

de 19,5 Mt/an : deux pour la zone Asie pacifique, une en Afrique et la quatrième en russie. Les fermetures les plus notables sont celles des trois raffineries de Groznyï en Russie à la suite de leurs destructions partielles pendant la guerre en Tchétchène. L’autre fermeture la plus importante est celle de la raffinerie de SHELL de Zola en Norvège (2,7Mt/an) à la fin de premier trimestre 2002. Les dépenses mondiales de l’industrie du raffinage sont restées à un niveau stable ; les dépenses de maintenance

l’asile en France. En effet, il suffit qu’une personne est été contrôlé dans un pays de l’espace Schengen pour qu’elle y soit renvoyé dans les plus brefs délais. Si cela pose un certain nombre de problèmes éthiques (notamment pour les réfugiés tchétchènes en Pologne), cela contribue aussi a changer le visage des populations accueillies en CADA, car nombreux sont ceux qui transitant par des pays à fort contrôle (comme la Pologne ou la Grèce) n’arrivent jamais à atteindre la France, ou alors ne sont

déportées en Sibérie et dans le Grand Nord. Il permet au régime de valoriser un front pionnier grâce à une main-d’œuvre servile. La mortalité dans les camps est comparable aux camps de concentration nazis. Sont déportés les minorités ethniques (Tatars, Tchétchènes, Allemands de la Volga, Baltes), les soldats de l’Armée rouge entrés en contact avec des Occidentaux, les opposants politiques et les criminels de droit commun. Si la Terreur a été constitutive du système soviétique sous Staline, après sa mort en