Telmex

un contexte de crise - politique libérale sous la pression du FMI (Carlos Salinas de Gortari, ancien de Harvard, ministre du Budget, président de 1988 à 1994) : déréglementation et privatisations de tous les secteurs publics (dont cuivre, banques, Telmex - les 3/4 des 1 155 entreprises publiques) sauf hydrocarbures et électricité - ouverture aux capitaux et aux produits étrangers, ↓ des taxes douanières pour intégrer le Mexique dans le marché international (Uruguay Round de 1986 à 1994, intégration

Steve Forbes prévient : ´ Le prix des matières premières peut grimper très rapidement comme s'effondrer aussi vite. ªArnault talonne le trio de Tite Comme l'an dernier, le magnat mexicain Carlos Slim, notamment ‡ la tÍte de l'opérateur des télécoms Telmex, est restée en tÍte du classement. Mais sa fortune s'est considérablement Étoffé, passant de 53,5 ‡ 74 milliards de dollars (voir ´ La Tribune ª du 10 mars). Carlos Slim est suivi par Bill Gates (56 milliards de dollars) et Warren Buffett (50 milliards)

Stanley, JP Morgan ou encore Goldman Sachs vont suivre avec un grand intérêt les réformes menées par les Présidents successifs Miguel de la Madrid et Carlos Salinas de Gortari. En effet, suite à l’annonce de ce dernier en 1989 de la privatisation de Telmex, le géant de la télécommunication mexicain; les réserves de change sont passés de 5 à 25 milliards de dollars entre 1989 et 1994.. Enfin, le stock de la dette externe entre 1986 et 1994 est passé de 400 à 200% des exportations. Cette confiance retrouvée

imperméable protège le toit des racines et des infiltrations d'eau. Puis un système d'irrigation assure le drainage sous un tissu recouvert de minéraux qui sépare le revêtement du terreau. Coût d'installation : 1.250 pesos (66 euros) le mètre carré. (…) De Telmex à Wal-Mart Mexico, une poignée de multinationales suivent l'exemple de HSBC. Mais, depuis 2007, c'est plutôt la mairie qui donne l'impulsion, avec 8.000 m 2 d'espaces verts construits sur les toits d'une garderie, de trois lycées et d'un hôpital.

aux Etats-Unis. Les aéroports sont des semi-privatisée avec le gouvernement reste l'actionnaire majoritaire, mais à chaque groupe de l'aéroport régional de maintien de l'autonomie opérationnelle. Le secteur des télécommunications est dominé par Telmex, l'ancien monopole d'État. Plusieurs sociétés internationales concurrence dans le secteur avec un succès limité. A la fin de 2009, 28,5 millions de Mexicains avaient une certaine forme d'accès à Internet. Le secteur mexicain des services par satellite

Répartition du chiffre d'affaires par segment Les principaux clients du groupe Alcatel-Lucent sont : France Telecom Verizon (Etats-Unis) Deutsche Telekom (Allemagne) Bellsouth (Etats-Unis) SBC (Etats-Unis) Telecom Italia (Italie) Sprint (Etats-Unis) Telmex (Mexique) China Mobile (Chine) Telefonica (Espagne)… Les principaux concurrents d’Alcatel-Lucent sont : Cisco System Sony Ericsson Nokia Siemens Networks Huawei Samsung… Site web: www.alcatel-lucent.fr 9 10 3.3 Activités de l’entreprise

Télécommunications | 3 • América Móvil • AT&T • BCE • BT • Cablevision • Comcast • Deutsche Telekom • Earthlink • France Télécom • KT • NTT • O2 • Orange • Qwest • RCN • Rogers • SK Telecom • Sprint Nextel • Swisscom • T-Mobile • Telecom Italia • Telefónica • Telmex • Telus • Time Warner Cable • Verizon • Virgin • Vidéotron • Vodafone | Intégration verticale | Apple • HP • IBM • NEC • Sun | [Dérouler] v · d · mEntreprises du NASDAQ-100 (au 26 novembre 2007) | Activision Blizzard • Adobe Systems • Akamai

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entreprise vaut actuellement 2,5 milliards de dollars181. Le fait est qu’en 1990 il rachète la société de télécommunications du Mexique (Telmex), vendue par l’État lors de la présidence de Carlos Salinas. Il a, en tout cas réussi à garder Telmex dans une position de quasi-monopole, grâce à son influence politique. En effet, d’après le New York Times, 3 juin 2006, Telmex contrôle 90% de la téléphonie fixe et Telcel l’opérateur de la téléphonie mobile, également contrôlé par Slim, détient une part de marché

étrangers et préparer l’accord de libre échange avec les Etats Unis ( qui sera signé en décembre 1992); * Une dévaluation de 18% suivie d’un arrimage au dollar pour réduire l’inflation ; * La privatisation d’entreprises publiques comme celle de Telmex en 1990 et d’une partie du secteur bancaire afin de réduire le déficit public ; * Enfin un accord salarial ( le « pacto ») fut signé entre les pouvoirs publics, les syndicats et le secteur privé afin de stabiliser les salaires nominaux. D’autre