Tempête de feu

Couverture : 2.1 Elle n’inspire rien de bon, avec les avions qui tombent du ciel, le sol qui se fissure et une ville en feu, nous redoutons déjà les aventures que vont connaître le ou les personnages principaux qui semblent impuissant face à ce qui se passe. 2.2 D’après cette couverture, ce roman semble traiter de la fin d’un monde futuriste. Fin du monde : À cause des bâtiments en feu, fissures dans le sol et des avions qui tombent du ciel Un monde futuriste : À cause du train suspendu par un monorail

degrés) et surtout très humides. La baie de Tokyo subit également deux saisons de pluies (début juin à mi-juillet et de septembre à octobre). Et peut subir des tempêtes tropicales ou des cyclones entre les deux. LES TREMBLEMENTS DE TERRE La région de Tokyo est située sur l’une des zones sismiques les plus actives du monde, la Ceinture de feu. Il y a en moyenne un tremblement de terre ressenti par jour. Il y a eu un grand tremblement de terre en 1923 qui a fait 140 000 victimes, détruisant une

buffet, les dîners par coeur » intensifie les angoisses de la faim, ou encore «  dans la petite Sibérie de leur cambuse  » qui défini leur lieu d’habitation comme étant un coin perdu mal entretenu. Les Coupeau «  le premier hiver, firent encore du feu quelquefois  » puis «  le second hiver, le poêle ne se dérouilla seulement pas, il glaçait la pièce de sa mine lugubre de borne de fonte.  », on remarque que leur situation s’est aggravée entre le premier hiver et le second, ainsi que le poêle est personnifié

sa famille et ses parents. Décidément le destin en aura fait autrement. Le retour de l’enterrement fut trop long au gout de Martin, sa femme dormait sur le siège passager, lui essayait de conduire mais ce n’était pas évident à cause d’une énorme tempête de pluie qui l’empêchait de voir au loin. Il avait l’impression que tout allait contre lui, ce maudit temps qui durait depuis des mois, ces parents qui décédaient dans un accident de la route, ses trente-sept ans qui arrivaient bientôt et dont il

les pensées des deux hommes accroupis auprès de leur feu solitaire. L’obscurité, lourde de menaces, s’insinuait dans leurs veines et accélérait leur pouls. Les flammes dansaient sur leurs visages farouches, faisant jaillir au fond de leurs prunelles sombres des éclairs orangés. Immobiles, effrayés, ils écoutaient leur respiration contenue, mutuellement fascinés par le battement nerveux de leurs paupières. À la fin, l’un d’eux attisa le feu avec son épée. - Arrête ! Idiot, tu vas révéler notre

cantonne dans l’invariable journée de ta chair, Je suis sur cette terre pour être à l’infini brisé et reconstruit par la violence de tes flots, Ton délice à chaque instant me recrée tel un cœur ses battements, Ton amour découpe ma vie comme un grand feu de bois à l’horizon illimité des hommes. POEME N°2 (André Velter) Un désir absolu Entre visions et reflets mon amour, Je prends l’empreinte de tes yeux, Le cristal de ton corps jeté dans la lumière. Je pars nous mettre à l’abri de ce temps. Je donne

je retrouve mon frère, c’est ma priorité, après seulement nous chercherons la plume de Dimpo. Où se trouve cette île ? -Tu es drôlement courageux mon garçon, Ratruje et de loin de plus diabolique des tirants. Son pays se trouve au delà des mers de feu, il te faudra faire preuve de courage, mais d’abord il faut que tu récupère ta taille normal. Tu as avaler le chamalo je présume, il faut que tu avale une sucette. Par chance tu en à les poche remplie ! Mademoiselle Dragillia t’a pris sous son aile

la mer Souffle dans sa trompe. Oh! marins perdus Au, loin dans cette ombre' Sur la nef qui sombre Que de bras tendus Vers la terre sombre! Pas d'ancre de fer Que le flot ne rompe. Le vent de la mer Souffle dans sa trompe! Victor HUGO, Tempête en Mer En voyage, on s’arrête, on descend de voiture ;Puis entre deux maisons on passe à l’aventure,Des chevaux, de la route et des fouets étourdi,L’oeil fatigué de voir et le corps engourdi. Et voici tout à coup, silencieuse et verte,Une vallée

| | |Il faut se méfier des eaux qui dorment | | |Qui sème le vent récolte la tempête | | |Il y a du monde sur la corde à linge | | |La

chez les Egyptiens), végétal (caleçons noirs semés de mandragores ; pantoufles en duvet de colibri) ; elle sollicite les sens de la vue, du toucher, de l’ouïe. Elle est aussi l’union des éléments : eau (l19 les ondulations de houle, l24 que la tempête agite), feu (§6), air §4, terre c/ une femme inquiétante : femme dangereuse (l3 l’arc de ses yeux, l 33 le rhombe des sorcières) mort omniprésente ( l4 les calcédoines de ses oreilles, la blancheur de sa peau, l14 comme une âme vagabonde, l15 les sons