Temple de Diane

après 6 campagnes. Les questeurs sont élus par les comices tributes. Ils avaient des compétences essentiellement financières. Ils étaient chargés d’administrer le trésor du peuple romain sous la surveillance du sénat. Le trésor se trouvait dans le temple de Saturne sur le forum. Il devait aussi surveiller les archives. Il ne détenait que la potestas. Plus tard au moment de la conquête, les questeurs pouvaient également accompagner les armées pour s’occuper de toutes les questions d’intendance

traditions du judaïsme et de l'hébreu »16. Vers l'âge de huit ou neuf ans, Chomsky passait chaque vendredi soir à lire de la littérature hébraïque avec son père 17. Il a été scolarisé avant l'âge de deux ans dans une école Dewey gérée par l'Université Temple, école dont le principe d'évaluation était basée principalement sur la créativité – individuelle et collective – des élèves 18. Il y est resté jusqu'à l'âge de douze ans puis a retrouvé le système scolaire classique en entrant à l'école secondaire

Parle−moi, toi, Joss, mon chambellan. —Madame, Viridis, comtesse de Milan, Fut superbe; Diane éblouissait le pâtre; Aspasie, Isabeau de Saxe, Cléopâtre, Sont des noms devant qui la louange se tait; Rhodope fut divine; Érylésis était Si belle, que Vénus, jalouse de sa gorge, La traîna toute nue en la céleste forge Et la fit sur l'enclume écraser par Vulcain; Eh bien! autant l'étoile éclipse le sequin, Autant le temple éclipse un monceau de décombres, Autant vous effacez toutes ces belles ombres! Ces coquettes

en Grèce, ce sont les classes populaires qui permettent l’instauration de la tyrannie et son maintien car elles y apportent leur soutien. Son action est écrasée par l’archonte Mégaclès. Cylon s’enfuit, ses compagnons sont massacrés jusque dans les temples où ils ont cherché asile. En conséquence Mégaclès est accusé de sacrilège et condamné à l’exil avec tout son clan. Cependant, il permit à la noblesse de sauver son pouvoir en échappant à la tyrannie. Mais l’absence d’évolution provoqua le mécontentement

nôtres. […] On voudrait regarder plus longtemps – tout seul – à son aise – sans qu’un concierge fût sur vos talons, tenant la clef de la porte à la main, et vous invitant du geste à vous dépêcher d’en finir ». Rêverie devant le lit à baldaquin de Diane de Poitiers. À pied jusqu’à Bléré sous le soleil, puis dans un vieux cabriolet jusqu’à Tours. Promenade à l’aventure dans la ville. Maison de Tristan-l’Hermite à Tours, demeure de Louis XI à Plessis-les-Tours. Flaubert a une crise nerveuse. Tours-Chinon

par les escadrons romains pénétré jusqu'au sein de la tant désirée France. Là donc, Français, marchez courageusement vers cette superbe cité romaine, et des serves [esclaves] dépouilles d'elle (comme vous avez fait plus d'une fois), ornez vos temples et autels. Ne craignez plus ces oies criardes, ce fier Manlie [Marcus Manlius Capitolinus, consul à Rome qui, quand, en 390 av. J.-C., les Gaulois attaquèrent la ville, fut réveillé par les oies du Capitole, avertit les soldats, frappa le premier

cherche à se rappeler, à tâtons, on ne sait quelle Loi perdue. Il y a quelques années, florissait, orgueil de nos boulevards, certain vaste et lumineux café, situé presque en face d'un de nos théâtres de genre, dont le fronton rappelle celui d'un temple païen. Là, se réunissait quotidiennement l'élite de ces jeunes gens qui se sont distingués depuis, soit par leur valeur artistique, soit par leur incapacité, soit par leur attitude dans les jours troubles que nous avons traversés. Parmi ces derniers

Correspondances, où il est question des "forêts" comme des "premiers temples", du "temple gothique" où l'on imite, par "l'orgue et le bronze suspendu", le "bruit des vents et du tonnerre, qui roule dans les profondeurs des bois" (C.B.). Voir un autre passage de cette oeuvre (V, 5; cité par Fongaro, ouvr. cité, p. 16-17), où l'image est inversée, puisque la nature est comparée, avec "les obscures colonnades de ses forêts", à "un temple antique". Sur Baudelaire lecteur de Chateaubriand, voir l'article

Zingaro, bartabas a installé depuis 2003 son école de dressage dans le décor féérique du manège de la grande écurie du château de Versailles. Il y accueille des apprentis écuyers qui, par le fait du hasard, sont presque toutes des femmes. Dans ce temple dédié au dieu Cheval, ces amazones d’aujourd’hui découvrent les secrets de l’art équestre, fascinées par le «centaure» bartabas, dont elles percent peu à peu le mystère. 2013 sera l’occasion de fêter les dix ans de cette école équestre unique au monde

peur de l’île des colombes. Ile, ô toi qu’on cherchait ! ô toi que nous fuyons, Ô spectre des baisers, masure des rayons, Tu t’appelles oubli ! tu meurs, sombre captive ! Et, tandis qu’abritant quelque yole furtive, Ton cap, où rayonnaient les temples fabuleux, Voit passer à son ombre et sur les grands flots bleus Le pirate qui guette ou le pêcheur d’éponges Qui rôde, à l’horizon Vénus fuit dans les songes. II Vénus ! que parles-tu de Vénus ? elle est là. Lève les yeux. Le jour où Dieu