Temps Vécu Sylvie

reçut à dîner. Ils coururent les bois, visitèrent les chaumières, firent de la musique et lurent ensemble. Il lui fit part des épreuves qu’il avait vécues, mais n’osa lui avouer les sentiments qu’il éprouvait pour elle, que, cependant, elle vit bien. Quand, n’y pouvant plus tenir, il se déclara, elle se défendit, lui résista, l’éloigna pour un temps, pour l’éprouver peut-être ou pour se sauvegarder elle-même, car elle l’aimait aussi (chapitres 4, 5, 6). Après avoir essayé de garder ses distances

Marie-Curie afin d'accompagner les enfants handicapés en classe primaire. Dans ce rapport de stage, je vais vous présenter dans une première partie, l'établissement dans son environnement grâce à son historique et son organigramme. Dans un second temps, je présenterais le service d'affectation dans lequel j'ai participé à plusieurs tâches. J„évoquerais également certaines activités de ce service. Enfin, dans une troisième partie, je décrirais mes activités et j'analyserais une situation particulière

partagé d’un assimilé totalement maître de la culture française et d’une jeune parisienne se heurte aux préjugés raciaux des beaux-parents. Quant au dahoméen Paul Hazoumé, son roman Doguicimi, qui paraît en 1938, est un roman historique et en même temps le lieu d’une réflexion sur la tradition qui n’est plus simplement exaltée mais devient problématique. L’époque de la pénétration européenne en Afrique a pour cette raison été choisie par Hazoumé. La rupture apportée par les Blancs est l’occasion d’une

professionnelles souligne le chemin parcouru face au travail féminin. Ainsi, il est possible d’analyser les conflits et les négociations autour de ce thème. 3 I – Un peu d'histoire… Les femmes travaillent depuis toujours et ont été de tout temps nombreuses à le faire. Contrairement à ce que l'on pense, le travail des femmes n'a pas une origine contemporaine et son développement ne s'est pas fait de manière uniforme et constant. Son histoire fait apparaître une succession de périodes propices

toute l’équipe de l’Alliance qui a pris bien soin de moi : Josée, Brigitte, Zhaoling. Un merci particulier à Mohamed qui m’a permis de participer à ses cours et avec qui j’ai eu d’intéressantes discussions. Merci aux personnes qui ont passé du temps à me relire - ma mère et mon ami et qui m’ont apporté leur secours ainsi que de précieux conseils. Ma gratitude va tout particulièrement à mes parents qui m’ont soutenue dans ce projet même si cela m’éloignait d’eux. Enfin, merci aux amis que j’ai

ceux des autres filières avec lesquels j'ai passé des moments exceptionnels marqués par un soutien et une affection mutuels.Il me serait difficile de ne pas mentionner le soutient inaltérable de mon frère Henri IKORI à YOMBO et de sa charmante épouse Sylvie IKORI qui m'ont encadrés depuis près d'une dizaine d'années et n'ont ménagés aucun effort pour la bonne marche de mes études. De même je ne saurais oublier le réconfort de mes frères et soeurs : Aupetit Bruno NGON à YOMBO, Désiré YOMBO ABOUEM, Aaron

pour le Maroc, à l’instar de ce qui se passe dans tous les pays du monde, de se poser la question de l’identité nationale : “Qui sommes nous ? Que veut dire être marocain ?”. En “off”, l’un des participants est allé jusqu’à nous confier : “Il est temps que le Marocain accepte la part juive qui est en lui, c’est-à-dire qu’il reconnaisse les valeurs et l’histoire que musulmans et juifs du Maroc ont en commun. Et n’oublions pas que les Benchekroun, Kouhen et autres Guessous, musulmans aujourd’hui, sont

littérature est définie par : « les œuvres écrites, dans la mesure où elles portent la marque de préoccupations esthétiques ; les connaissances, les activités qui s’y rapportent » (Robert, 2001 : 1453). De plus, la littérature de jeunesse désigne « temps de la vie entre l’enfance et la maturité » (Robert, 2001 : 1376). Elle constitue un ensemble d’œuvres destiné aux enfants jusqu’à leur maturité. Il existe différents outils de l’acculturation précoce de la littérature de jeunesse. C. Frier, dans son

réinventer, à se remettre en question. Diane Dufresne est une chanteuse qui a rejoint le public comme bien peu d’artistes ont réussi à le faire. Elle a vécu, et vit encore, une histoire d’amour avec le public, qui le lui rend bien. Et pourtant, c’est une femme secrète et mystérieuse. Une peintre qui crée dans la solitude. Une artiste solitaire. Diane Dufresne a vécu une très grande complicité avec sa mère. La mère et la fille adoraient porter des chapeaux hors du commun, et elles allaient voir ensemble des

Leduc tant pour leur implication que pour leur suivi régulier et soutien lors de mon séjour, sans lesquels je n’aurais pas pu vivre cette expérience. Enfin, je remercie Madame Valérie Buquet du service des Relations Internationales de l'IUT et Madame Sylvie Breault du service des Relations Internationales du Cégep de Sherbrooke, ainsi que l'Office Franco-Québécois de Jeunesse qui ont joué un rôle primordial dans la réussite de ce stage. Maxime CAPOLINO – IUT Lille A – Département Informatique – 2011/2012