Tendre est la nuit

Fabrice Del Dongo a rejoint la bataille de Waterloo, le soir de son premier combat, il écrit une lettre prétentieuse à sa bien aimée, Joséphine. Fabrice Del Dongo, A ma bien aimée, à Waterloo, le 18 juin 1815, Ma tendre et douce Joséphine, Je t'écris du champ de bataille. J'ai rejoins la bataille de Waterloo pour me battre avec courage et dévouement. Aujourd'hui, j'ai vécu mon premier combat, je me suis battu contre des cavaliers Prussiens. Dans la forêt, les combats fesaient rage. Je décidais

le livre L’arlequin. Maurice Carème est un poète belge, plus de deux milles six cents de ses poèmes ont été mis en musique Les amis d’enfance Je me souviens du grand cheval Qui promenait tête et crinière Comme une, grappe de lumière Dans la nuit du pays natal. Qui me dira mon chien inquiet, Ses coups de pattes dans la porte, Lui qui prenait pour un gibier Le tourbillon des feuilles mortes? Maintenant que j’habite en ville Un paysage sans jardins, Je songe à ces anciens matins Tout

ni jour ni nuit, (mi-jour), ni été ni hiver (gazon roux indique plus l'automne) des personnages équivoques se livrent à un jeu sentimental dans lequel le paysage reflète leurs états d'âme et réciproquement en est reflété. I- Le libertinage amoureux, toile de fond Ce poème en alexandrins et heptasyllabes traite comme les autres poèmes des fêtes galantes, de la recherche de l'amour vue sous un jour superficiel. " En sourdine " baigne dans une lumière crépusculaire, prélude à la nuit solitaire et

Édition du groupe « Ebooks libres et gratuits » William Shakespeare LE SONGE D’UNE NUIT D’ÉTÉ (1595) Traduction de M. Guizot Table des matières Notice sur le Songe d’une nuit d’été ......................................... 3 Personnages .............................................................................. 6 ACTE PREMIER .......................................................................8 SCÈNE I ..........................................................................

éclair,Et le sourire, et la caresse, L'entretien furtif et charmant, Et la mélancolique ivresse D'un ineffable épanchement,Et les traits chéris d'un visage, Ombre qu'on aime et qui vous suit, Qu'on voit le jour dans le nuage, Qu'on voit dans le rêve la nuit,Et les extases solitaires, Quand tous deux nous nous asseyons Sous les rameaux pleins de mystères Au fond des bois pleins de rayons ;Purs transports que la foule ignore, Et qui font qu'on a d'heureux jours Tant qu'on peut espérer encore Ce dont on

40 ans de village en village. Enfant trouvé dans un fossé par un curé, la veille du jour des Morts, et baptisé pour cette raison Nicolas Toussaint, il n'est pas allé à l'école n'a pas de famille ni d'amis, il ne savait rien faire d'autre que de tendre la main. Depuis deux jours, il n'a rien mangé et il vient s'abattre au coin d'un fossé le long de la cour d'un maître nommé Chiquet. Il voit passer des poules, il a envie d'en tuer une pour la manger, il y parvient avec ses habiles mains,

Fuite Et Je me suis enfui Je suis devenu Sphinx Et mille ans sont passés au doux son de Syrinx Et Je me suis enfui J’ai acosté à Tyr Et quand le soleil fût je ressortis ma Lyre Et je me suis enfui Et coupait au silex Je m’enivrai la nuit des horizons convexes Et je me suis enfui Pour ne jamais revoir l’Aube Roulette Russe Nous nous promenons dans notre éternelle solitude une aiguille pour balancier de loin, la silhouette du hasard nous épie le rideau se tisse un soupir

littéralement, à voix basse. Ici, le passage étudié est l’Acte IV, Scène 4. Les personnages présents sont Pelléas, Mélisande, puis, par la suite, à la fin, Golaud. Dans cette scène Pelléas et Mélisande, s’avouent mutuellement leur amour. Après l’échange de tendres mots sur leur nouvel amour naissant, ces derniers entendirent des bruits venant des alentours. Il s’agit de Golaud qui les a surpris ensemble. De ce fait, nous allons voir, comment Maurice Maeterlinck, à travers l’Acte IV, Scène 4, de la pièce théâtrale

Ami Z. Ami Z, tu m'es présent en cette solitude. Quand le ciel, mon problème, et l'homme, mon étude, Quand le travail, ce maître auguste et sérieux, Quand les songes sereins, profonds, impérieux, Qui tiennent jour et nuit ma pensée en extase, Me laissent, dans cette ombre où Dieu souffle et m'embrase, Un instant dont je puis faire ce que je veux, Je me tourne vers toi, penseur aux blancs cheveux, Vers toi, l'homme qu'on aime et l'homme qu'on révère, Poète

que j’emporte dans l’âme Jusques aux moindres mots de nos propos du soir : Un regard offensé, vous le savez, madame, Change deux yeux d’azur en deux éclairs de flamme ; Vous me défendriez peut-être de vous voir. Si je vous le disais, que chaque nuit je veille, Que chaque jour je pleure et je prie à genoux ; Ninon, quand vous riez, vous savez qu’une abeille Prendrait pour une fleur votre bouche vermeille ; Si je vous le disais, peut-être en ririez-vous. Mais vous ne saurez rien. - Je viens, sans