Terrasse Du Café Le Soir

Résumé par chapitre Chapitre I MATIN. Angelo se réveille, soif de café, il poursuit sa route à cheval et rencontre une femme près de sa maison dans la vallée qui lui en offre. Il veut la payer mais elle refuse. Il repart le ventre plein avec l’indication de la route pour Banon. Il fait chaud et sec dehors. Plus loin il a soif, il tombe sur une fontaine près d’un très petit monastère. Il suit le chemin et fait face à une auberge. Il fait la connaissance du propriétaire (ancien soldat). Ils déjeunent

flics Vu de ma fenêtre, y'a le café de France, juste en bas, à deux pas Il est tenu par des Rebeus, j'te jure, ça s'invente pas Y'a des meufs bien coiffées qui viennent prendre un café, Y'a des petits couples sereins qui viennent boire un coup avant d'en tirer un Et y'a des gentils poivrots qui viennent oublier leurs galères dans la bière Surtout le printemps, surtout l'été, surtout l'automne, surtout l'hiver Aux beaux jours, ils mettent même des tables en terrasse Vu de ma fenêtre, y'a plein de

partie La ville s’organise peu à peu, la nourriture est rationné, la circulation des voitures est interdite, la communication vers l’extérieur est de plus en plus difficile. L'enfermement modifie le comportement des habitants, les rues se vident, les terrasses des cafés sont inoccupés, et les commerces ferment un a un. Fin juin, Rambert, un journaliste parisien : qui est séparé de sa compagne resté dans la capitale française, supplie en vain Rieux de lui faire ouvrir les portes pour retrouve sa bienaimée

encore rire aux éclats, me donner des conseils & me dire que tout ira bien. Quelque fois, en marchant dans la rue, je sens ta présence alors je me retourne mais il n'y a personne. J'espère secrètement te croiser au détour d'une ruelle ou à la terrasse d'un café. Je me demande ce que l'on serait devenus... Je repenserai à toi dans ma salle de bain, dans un supermarché, chez un médecin ou peut-être même en cours alors je sourirai & me dirai que j'ai eu de la chance de te connaître & que certaines

aussi, il aurait plaisir à bavarder du bon vieux temps. Depuis un moment, il avait l’impression que ses copains lui battaient froid. Tout ça à cause de cette fichue rumeur ! Crénom, c’était un peu fort de café… presque trente ans après ! C’était Armitage qui avait craché le morceau, sans doute. Foutu blanc- bec ! Qu’est-ce qu’il en savait, lui ? Oh, et puis inutile de ressasser tout ça ! On se fait parfois des idées

ADAM et EVE 1er chapitre: il va au café de Lydie, il bouge peu, semble triste et lui demande s’il ne l’a pas vue (Adrienne)? 2ème: Sa maman décède, la solitude s’annonce « Et il s’était trouvé seul dans la vie. » p.35. La vie est répétitive p.36. Il est en plein questionnement sur le sens de la vie, se lève et s’allonge dans l’herbe tout en observant le ciel. « Il était bien. Il était comme quand on va mourir. » p.42 3ème: Il est allongé et rencontre Adrienne. Son comportement change immédiatement

d'une dimension de 110x87 cm, qui fut peinte en 1920. Le cadrage donne un plan moyen et l'angle de vue une vue de face. - Les personnages Trois  personnages sont assis autour d’une table, jouant au skat, ( un jeu de cartes allemand) dans un café. Les trois hommes ont fait la guerre, en gardent de nombreuses séquelles, telles que des membres en moins remplacés par des prothèses en bois. Ces visages portant de lourdes séquelles ont un nom: "Les gueules cassées". Au second plan on trouve sur

première Guerre Mondiale et en haut à gauche du tableau un lampadaire (où l'on distingue une tête de mort) éclaire la scène. Au centre de son tableau on peut voir les trois personnages principaux jouer aux cartes assis autour d’une table à la terrasse d'un café le soir. Le premier personnage, celui de gauche est un homme. On ne peut pas lui donner d’âge tellement sa peau est abîmée. Cet homme est disproportionné, il a une jambe de bois et joue aux cartes avec le pied qui lui reste. Le joueur dont la manche

importante. En effet, à l’époque, les syndicats n’existaient pas. Alors, des artistes, des écrivains créaient des chansons que les ouvriers chantaient dans les cafés. Des chansons plutôt contre le patronat, évidemment. Par exemple, au Chemin des Vachers, le Café Chez Verstraete accueillait la Société des Contrariants. Le mot désignait les hommes qui mettaient des harnais pour remonter les péniches en sens contraire du courant (d’où l’idée de « contrariants »). Ces Contrariants, comme les chansonniers, chantaient

brillant. En ce moment, un consommateur lui expliquait que la tuberculose « avec du temps et des précautions, ça se guérit ». Il approuvait et répondait gravement entre deux bouchées. Mersault vint s'accouder près de lui au comptoir pour prendre un café. L'autre continuait : « Tu n'as pas connu Jean Pérez ? Celui de la Compagnie du Gaz. Il est mort. Il avait qu'un poumon malade. Mais il a voulu quitter l'hôpital pour rentrer chez lui. Et là, il avait sa femme. Et sa femme c'est un cheval. Lui, la