Terrasse Du Café Le Soir

.................................. 20 2.2.2.1.2. La segmentation de clientèle des restaurants pour le soir. ........................... 21 2.2.2.2. Profil type de consommateur........................................................................ 22 2.2.2.2.1. Le midi ......................................................................................................... 22 2.2.2.2.2. Le soir.......................................................................................................

grand succès, il s’agit de la « sangria », mélange de vin, d’eau gazeuse, de glace et de fruits. Parmi les boissons douces citons la « horchata » faite avec des amandes de terre ou « chufas ». Le café noir est la plus populaire des boissons chaudes. Le petit déjeuner (desman est habituellement composé de café ou de chocolat chaud accompagné de croissant, de tartines grillées ou de « churros », sorte de longs beignets de pâte à choux. L’en-cas du milieu de la matinée se compose le plus souvent de sandwiches

Vous êtes sur Manhattan 101.4, votre radio. Manhattan 101.4. Vous nous donnez dix minutes, nous vous donnons le monde... Juliette frissonna en écoutant ces nouvelles. Vite, quelque chose pour se réchauffer. Elle chercha dans le placard : pas de café soluble, pas de thé. Un peu honteuse, elle en fut réduite à récupérer dans l'évier le sachet de thé utilisé la veille par Colleen. Encore toute ensommeillée, elle se posa sur le rebord de la fenêtre pour regarder à travers la vitre la ville drapée

guerre mondiale, véritable déclencheur de cette révolution artistique. La guerre, donc. Mais à Zurich, dans un pays neutre au centre d’une Europe déchirée, un petit groupe de jeunes artistes se révolte contre le massacre général en fondant une sorte de café littéraire et artistique : le Cabaret Voltaire. « Sous ce nom, dit un communiqué de presse paru le 2 février 1916, s’est établie une jeune compagnie d’artistes et d’écrivains qui a pour but de créer un centre de divertissements artistiques. Le principe

à l’encontre de Suzanne. En fait elle est « malade et même en danger de mort, d’après le docteur », elle a déjà fait « trois crises » qui auraient pu être mortelles (« la colère pouvait lui donner une crise » (p.22)) et elle ne tient que grâce au café et aux pilules. Elle est sur le point de « mourir de malheur ». Ses aspirations : en même temps elle est avide de vie, elle a passé sa vie à essayer de rendre la vie possible sur une terre incultivable, elle n’a de cesse de faire pousser des plantes

construire les escaliers des ministères ; les subalternes que j'ai pu voir sont déjà plus fiers que des Brahmans et j'ai tremblé à l'aspect de colosses des gardiens et officiers de constructions. Par le groupement des bâtiments en squares, cours et terrasses fermées, on a évincé les clochers. Les parcs représentent la nature primitive travaillée par un art superbe. Le haut quartier a des parties inexplicables : un bras de mer, sans bateaux, roule sa nappe de grésil bleu entre des quais chargés de

possessifs : « sa », « son », et la présence d’émotion : « elle sourit ». Cette maison nous paraît imposante, distante, et assez austères : « orphelinat », « geôle », mais elle a cependant les caractéristiques d’une maison : « porte », « verrou », « terrasse ». La seconde phrase, commence par « son revers », or le mot « revers », n’est pas employé dans le domaine de l’immobilier architectural, mais plutôt en couture « revers d’un pantalon » ; on dirait plutôt : « L’autre façade ». On a une opposition

rayon qui filtrait au-dessus de la porte. Elle avait un mauvais goût dans la bouche et ressentait un besoin impérieux de se laver les dents. Une partie de sa conscience épiait le bruit de pas qui signifierait qu' il venait. Elle savait que c'était le soir mais n'avait aucune idée de l'heure, à part qu'elle sentait que ça devenait trop tard pour une de ses visites. Elle sentit une vibration soudaine dans le lit et ouvrit les yeux. On aurait dit qu'une sorte de machine s'était mise en marche quelque part

ancestrale » Déjà, il ajustait sa coiffe. Il n’avait pas dormi et les menaces de son chef raisonnant encore à ses oreilles le maintenaient éveillé. Les yeux grands ouverts, Œil de Lynx échafauda mille et un plans pour atteindre son ennemi et le terrasser avant que les choses ne se gâtent pour lui, tous les sens en alerte, il promettait de ne pas fermer l’œil avant d’avoir rossé de ses propres mains ce gredin de bandit, de déplumer cet oiseau de malheur, ce Chagal, qui mettait sa carrière en péril

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