Terrible Beauté

l’âme au delà de sa capacité. Tout cela ne vaut pas le poison qui découle De tes yeux, de tes yeux verts, Lacs où mon âme tremble et se voit à l’envers… Mes songes viennent en foule Pour se désaltérer à ces gouffres amers. Tout cela ne vaut pas le terrible prodige De ta salive qui mord, Qui plonge dans l’oubli mon âme sans remord, Et, charriant le vertige, La roule défaillante aux rives de la mort ! LA PRÉSENCE DE LA MORT Le champs lexical de la mort est présent tout au long du texte. « Soleil

l'avenir et était une très bonne guérisseuse. Elle prédit donc qu'un jour Pâris s'enfuirait avec une très belle femme et qu'il participerait à une terrible guerre où il serait blessé et que personne ne saurait le guérir, à par elle. Le jugement de Pâris : Un jour, Aphrodite, Héra et Athéna choisirent Pâris comme juge pour les départager dans un concours de beauté. Les trois déesses se présentèrent devant lui, et chacune lui offrit un cadeau pour tenter de fléchir son choix. Héra lui promit la souveraineté

fascine » => thèmes de la douleur associée au plaisir (comme souvent chez Baudelaire) èLa violence va faire en sorte que le poète sera laissé sans réaction, crispé face au personnage presque idéalisé de la femme dont on met en valeur la beauté. Image de la femme : 1°) Beauté de la passante : èBeauté restituée par des effets rythmiques, il met en valeur sa silhouette longiligne : « agile, noble » èGroupes de syllabes croissants lui donnant l’air noble, distinguée ; Distinction qui atteint presque la

en sa verve puissante Concevait chaque jour des enfants monstrueux, J'eusse aimé vivre auprès d'une jeune géante, Comme aux pieds d'une reine un chat voluptueux. J'eusse aimé voir son corps fleurir avec son âme Et grandir librement dans ses terribles jeux ; Deviner si son cœur couve une sombre flamme Aux humides brouillards qui nagent dans ses yeux ; Parcourir à loisir ses magnifiques formes ; Ramper sur le versant de ses genoux énormes, Et parfois en été, quand les soleils malsains, Lasse

larmes, L'air brisé, la stupeur, la morne volupté, Ses bras vaincus, jetés comme de vaines armes, Tout servait, tout parait sa fragile beauté. Etendue à ses pieds, calme et pleine de joie, Delphine la couvait avec des yeux ardents, Comme un animal fort qui surveille une proie, Après l'avoir d'abord marquée avec les dents. Beauté forte à genoux devant la beauté frêle, Superbe, elle humait voluptueusement Le vin de son triomphe, et s'allongeait vers elle, Comme pour recueillir un doux remerciement

mystérieuxDe tes traîtres yeux,Brillant à travers leurs larmes.Là, tout n'est qu'ordre et beauté,Luxe, calme et volupté.Des meubles luisants,Polis par les ans,Décoreraient notre chambre ;Les plus rares fleursMêlant leurs odeursAux vagues senteurs de l'ambre,Les riches plafonds,Les miroirs profonds,La splendeur orientale,Tout y parleraitÀ l'âme en secretSa douce langue natale.Là, tout n'est qu'ordre et beauté,Luxe, calme et volupté.Vois sur ces canauxDormir ces vaisseauxDont l'humeur est vagabonde

l'amant sur l'aimé. En effet ce point de vu est beaucoup plus pertinent étant donné que l'amant n'aime pas au hasard l'aimé. Mais alors l'aime t'il elle ou ça beauté ? L'amant aime t'il le moi de son aimé, ou ne serait-ce qu'un amour purement physique ? Pascal donnera raison à ce dernière exemple, car, alors que l'aimé sera victime d'une terrible vérole, l'amour que l'amant portait sur son aimé disparaîtra. C'est donc vers cette axe de réponse que Pascal va s'orienter afin de découvrir une solution

Il fut élève au lycée Condorcet, d'où il est renvoyé pour indiscipline. Il ne gardera qu'un souvenir marquant de ce lycée : celui de la révélation de la beauté masculine en la personne de son camarade, Dargelos, le "premier symbole des forces sauvages qui nous habitent". Dargelos a inspiré l'un des personnages du Livre Blanc et des Enfants Terribles. Dès l'âge de quinze ans, Cocteau quitte donc le cocon familial. Il manifeste peu d'interêt pour les études et n'obtient pas son baccalauréat.

que la mort est vue comme une pause fraiche et douce.La mort est également vue comme une chose inconnue et que les humains ne savent pas à quoi celle ci ressemble comme dans « le rève d'un curieux » où le vers «  J'étais mort sans surprise, et la terrible aurore » et « M'enveloppait. - eh quoi ! N'est-ce donc que cela ? » montre une mort inconnue et plein de mystère ou le personnage n'a aucun repaire. La mort est également présenté comme un grand voyage sans retour dans le poème « Le voyage » où le

pour indiscipline du Lycée Condorcet. Il ne gardera qu 'un souvenir marquant de ce lycée : celui de la | | |révélation de la beauté masculine en la personne de son camarade, Dargelos,  le "premier symbole des forces sauvages qui | | |nous habitent". Dargelos a inspiré l'un des personnages du Livre Blanc et des Enfants Terribles. | |1908 |En 1908, Cocteau, alors âgé de 19 ans, fait la connaissance du célèbre tragédien Edouard de Max. Ce