Terrible Beauté

Baudelaire, à la suite de Ronsard, s’empare du thème de la promenade avec la femme aimée, ainsi que l’avertissement sur le caractère éphémère de la beauté et de la fugacité de la vie. Ainsi, face à cette fatalité du temps qui passe, nous verrons en quoi et comment la poésie aurait le pouvoir de dépasser la laideur pour la transformer en œuvre de beauté. Afin de répondre à cette question, nous étudierons d’abord en quoi cet échange de valeur entre le beau et le laid à travers le détournement

la mort elle-même : » Je vais t’assassiner d’un seul de mes regards » (v.244). Le personnage se montre Maître du verbe. Clindor feint de reconnaître la puissance dévastatrice de son maître et sa beauté « je vous vois aussi beau que terrible ». (v.252) «  Je ne suis plus qu’amour, que grâce, que beauté » concluait Matamore : vers bien scandé, équilibré, harmonieux (trois mesures à 3 temps accentuées sur la troisième syllabe, et une quatrième isolée après la césure « que grâce » et ainsi mise en

après un deuil imposé, le comte épouse Haute-claire. * Le passage que nous étudions de cette nouvelle s’ouvre sur une promenade au jardin des plantes du docteur Torty en compagnie du narrateur. Là, ils assistent à une scène étrange. Un couple d’une beauté sans pareille s’approche de la cage d’une panthère noire. La dame engouffre sa main entre les barreaux de la cage et, du bout de son gant, tente de fouetter le museau de l’animal. Immédiatement, celui-ci engloutit le gant. La femme ne sourcille pas

de la poésie qu’elle soit authentique et porteuse de vérité. Mais la vérité est-elle toujours porteuse d’espoir, de beauté ? Ce n’est pas stir... Or c'est aussi le travail du podte de se charger des aspects les plus terribles du Par exemple, l'extermination massive des juifs des twiganes, des Russes, des communistes pendant la deuxitme guerre mondiale est un sujet terrible. Les pottes éerivent ce quis voient et ce guy vivent, Mais ils nlabdiquent pas leur droit au yg comme en témoigne

lui source de spleen, cette angoisse profonde que traduisent bien la laideur et la noirceur de son « taudis ». Son « rêve » lui permet de s'évader dans un autre monde, celui de l'idéal, en tous points antithétique au « taudis », caractérisé par la beauté, la richesse, la lumière, l'immensité. Il en revient toutefois les « yeux pleins de flamme », cette flamme de l'esprit créateur du poète, « peintre » et « architecte » de ses rêves, qui lui a permis d'écrire ce magnifique poème-tableau, qui fait partie

DESTINATION,UN PARADIS, UN RÊVEA - Vocabulaire employé« Où sous un clair azur, tout n’est qu’amour et joie » (Moesta errabunda)« La langoureuse Asie et la brulante Afrique » (La chevelure)«  L’Orient est splendide » ; « là, tout n’est qu’ordre et beauté, luxe, calme et volupté » (L’invitation au voyage ; vers 23, 27 et 28  )B - Un refuge, un paradis, une espéranceDans Moesta et errabunda , Baudelaire nous dit tour à tour la douleur et la tristesse de l’ici et le bonheur de l’ailleurs vers lequel

dont la plus jeune, Psyché, était d’une beauté extraordinaire. Beauté si extraordinaire que le peuple l’adorait comme l’incarnation de la déesse Vénus. Évidemment, Vénus, déesse de la Beauté, ne pût supporter qu’une vulgaire mortelle soit plus belle qu’elle. Elle demande donc à son fils, Cupidon, de la venger en forçant Psyché à se marier avec le dernier des manants, le plus minable des hommes. Bientôt un oracle annonce au père de Psyché, sous peine de terribles calamités, que celle-ci soit abandonnée

- les antithèses : vie/mort, beauté/inertie morbide, amour/mort (à réfléchir : sont-ce vraiment des antithèses qui choquent deux réalités contradictoires et qui révoltent le poète (comme le dit Jean-Luc) ? ou bien plutôt une autre image de ce cycle implacable contre lequel rien ne sert de s'énerver ? Cf. la pointe finale : Ronsard exprime-t-il une image terrible de la mort ?... Se révolte-t-il ?
 - les hyperboles : notamment celles explicitant la BEAUTE de Marie.

 - Il faut étudier

André Durand présente ‘’L’idéal’’ sonnet de Charles BAUDELAIRE dans ‘’Les fleurs du mal’’ (1857) XVII Ce ne seront jamais ces beautés de vignettes, Produits avariés, nés d'un siècle vaurien, Ces pieds à brodequins, ces doigts à castagnettes, Qui sauront satisfaire un coeur comme le mien. Je laisse à Gavarni, poète des chloroses, Son troupeau gazouillant de beautés d'hôpital, Car je ne puis trouver parmi ces pâles roses Une fleur qui ressemble à mon rouge idéal. Ce qu'il faut à ce coeur profond

TEXTE N°1 BAC: «Une Charogne», Charles Baudelaire Les Fleurs du Mal (1861) Charles Baudelaire est un écrivain du XIX ème siècle qui recherche l'expression de la beauté et qui a consacré une grande partie de sa vie à la poésie et notamment à l'écriture de son recueil "Les Fleurs du Mall». Il n'appartient à aucun mouvement littéraire. Le poème << Une Charogne" célèbre le pouvoir de la poésie et montre que la poésie transforme tout même ce qui est laid et repoussant. Ce poème décrit la promenade