Texte De Hegel Imitation Et Création

puisse dire? Peut-il y avoir une pensée sans langage? Un ineffable ne pouvant être exprimée par des paroles et possédant cependant un contenu psychique réel? En somme, qu'elle est la valeur de l'ineffable? La fonction essentielle du langage est selon Hegel dans La Philosophie de l'Esprit de tirer l'esprit du monde complexe et confus que lui présente la perception brute et de le faire accéder à un monde plus intellectuel, purifié , celui des mots. Il défendra contre Leibniz notamment la supériorité de

l'artiste abstrait ne cherche plus à représenter la réalité des choses. L’art abstrait est un art sans images identifiables, qui n’est pas fidèle à la réalité visuelle et qui est fait de couleurs, de lignes et de matières différentes. Ainsi, dans le texte qui est soumis, ici à notre étude extrait Du Spirituel dans l’art et dans la peinture en particulier, nous nous demanderons quel est le rôle principal d’une œuvre d’art, c’est-à-dire à quoi sert une œuvre d’art. Kandinsky nous montre en effet, que

Alberto Carrilero Terminale Es 21/2/y Explication de texte Le texte présenté est issu de Cours d’Esthétique écrit par Hegel. Ici l’auteur parle de l’oeuvre d’art. Le problème posé dans ce texte est: faut-il en déduire une supériorité de l’art sur la nature? Selon Hegel l’art est bien supérieur à la nature car il est spirituel et immortel. Dans ce texte Hegel argumente sa position dans un premier temps (“l’oeuvre d’art… vérité impérissable”) en mettant en valeur le caractère impérissable de

L'art n'est pas simple imitation de la nature mais bien une création, une nouveauté. Aucune beauté naturelle n'égale la beauté d'une œuvre d'art. Comme Hegel ou Heidegger, Bergson pense que la fonction première de l'art est de révéler la vérité. Cette thèse est radicalement opposée à celle de Platon pour qui l'art est illusion et éloigne de la réalité. On pense généralement que l'art ne se rattache qu'à la beauté des œuvres d'art. Mais la définition de l'art ne peut pas se limiter à quelques œuvres

leurres grossiers les animaux se laissent prendre? II n'est point de grisaille, point de peinture de décor quelque peu soignée, qui ne fasse illusion, même aux gens les mieux instruits des procédés et des effets de l'art. D'un autre côté, cette imitation exacte d'où résulte l'illusion des sens, par cela seul qu'elle exclut le beau idéal et tout idéal, ne saurait exercer sur l'esprit qu'un charme très borné. Si une symphonie qui imite un orage était prise pour un orage véritable, elle n'exciterait

belle seulement en prenant l’apparence de l’art, et ainsi, l’art ne peut être beau qu’en prenant l’apparence de la nature. Mais pour ce faire, les beaux-arts doivent alors développer une certaine spontanéité esthétique avant même, le processus de création et c’est donc cette opposition avec les arts mécaniques - qui rappelons-le, est l’art qui représente les branches de la science pratique, et est à l’imitation de la nature selon la tradition antique – va alors justifier le fait que les beaux-arts

Commentaire rédigé Sur un texte court : D’après l’opinion courante, la beauté créée par l’art serait même bien au-dessous du beau naturel et le plus grand mérite de l’art consisterait à se rapprocher, dans ses créations du beau naturel. S’il en est vraiment ainsi, l’esthétique comprise uniquement comme science du beau artistique, laisserait en dehors de sa compétence une grande partie du domaine artistique. Mais nous croyons pouvoir affirmer, à l’encontre de cette manière de voir

suppose dc l’éducation. L’H comme le déclare Kant en ouverture a ses propos de pédagogie et l’unique créature qui doit être éduqué. L’éducation est donc un devoir de l’H envers lui-même et ce pour aboutir à tte ses capacité et à l’estime de soi. (Voir texte 15 pr 132) ( La culture est donc un devoir => il faut dc dvt sa raison Conclusion Tendis que l’ordre de la nature est celui des instincts l’ordre de la culture et celui des institutions et comprend tt ce que l’homme ajoute par son travail comme

1) dégagez l'idée générale du texte et les étapes de son argumentation. On peut voir que du début du texte jusqu'à « impérissable », Hegel montre que l'œuvre immortalise la réalité qu'elle représente, puis de « l'intérêt humain » à « non artistique » il démontre que l'œuvre saisit les choses et les événements dans leur vérité. Hegel montre ensuite jusqu'à la fin une hiérarchie entre l'œuvre et la nature. L'idée générale du texte est donc de montrer la supériorité de la beauté de l'oeuvre d'art

en un sens immortelle, l'oeuvre d'art est supérieure aux données de la nature. Problème : il s'agit de savoir si l'art est une imitation de la nature ou au contraire un dépassement de la nature. L'essence et la finalité de l'oeuvre d'art ne sont-elles pas avant tout spirituelles ? Faut-il en déduire une "supériorité" absolue de l'art sur la nature ? Plan (du texte et du commentaire) 1) Du début jusqu'à "impérissable" : en tant que spirituelle, l'oeuvre immortalise la réalité qu'elle représente