Théâtre de la foire

courses-poursuites ; bastonnades, etc.) et déguisements (Cléante en maître de musique, Toinette médecin, carnaval final) = procédés farcesques.Le comique de langage : jeu sur les noms des personnages (Béline, Purgon, Fleurant, Diafoirus, nom construit sur “foire”, synonyme de “diarrhée”) ;le comique de mots : le jargon médical et le latin ; le comique de répétition (“le poumon”), la cacophonie de II,5 (Argan et Diafoirus père parlant en même temps) ;l’ironie et le sens de la formule (souvent de Toinette) :

de chaque épisode sans que l’on sache réellement qui est l’auteur de l’histoire originale). Ils se livrent ensuite à leurs tours d’adresse et de passe-passe. Les citadins apprécient aussi le théâtre religieux qui fait vivre les scènes tirées de la vie du Christ. L’animation bat son plein les jours de foire ou lors de la fête du saint patron des confréries (associations d’entraide et de charité), qui organisent des processions, et durant la période du carnaval (période de fêtes populaires précédant

perpétuer sa voracité et son excessif amour pour le vol. Car, après avoir vu ce spectacle, il serait difficile de ne pas convenir qu’il est bien plutôt une école de pillage qu’une véritable fête. A peine avions-nous eu le temps de considérer le théâtre, qu’un second coup de canon se fit entendre. A ce signal, la chaîne de troupes qui contenait le peuple s’ouvrit avec rapidité. Le peuple s’élance, et, dans un clin d’œil, tout est enlevé, arraché, pillé, avec une vitesse…une frénésie, qu’il est impossible

et son identité tout entière dans L'imposture des mots en 2002. Or à cette époque ses romans ont déjà touché un grand nombre de lecteurs et de critiques. Yasmina Khadra a touché plusieurs millions de lecteurs dans le monde. Adaptés au cinéma, au théâtre, en bande dessinée, en chorégraphie, ses romans sont traduits dans 42 pays : Albanie, Algérie (en arabe pour le Maghreb), Allemagne, Autriche, Brésil, Bulgarie, Corée, Croatie, Danemark, Émirats arabes unis, Estonie, États-Unis, Finlande, Grande-Bretagne

homme tout petit, le ventre déjà fort, la face ronde et encadrée d’un collier de barbe grisonnante. Il est banquier, il a offert une immense demeure à la campagne à Nana. Mignon est un gaillard très grand, très large avec une tête carrée d’hercule de foire. Daguenet est le « greluchon » (dans l’argot du temps : l’amant de cœur d’une prostituée) de Nana. C’est un homme très gentil, il s’occupe d’affaires sans importance à la Bourse pour payer des dîners à ses différentes femmes. Fauchery a une longue

balbutiante et basée sur les lavements, laxatifs et autres sécrétions qui suscitent les rires d’un public complice (comme Diafoirus, nom savamment recomposé avec un préfixe grec et un suffixe latin censés donner un vernis scientifique à un médecin nommé ‘foire’, mot qui désigne… la colique !). Ainsi les clystères sont-ils en bonne place dans cette énumération des ordonnances prescrites pour soulager le malade, sans que jamais d’ailleurs le spectateur ne sache de quoi il souffre exactement. Le monologue devient

Antiquité Grecque : En Grèce, la cité se développe autour de l’Agora, cœur de la ville, à la fois économique, social, juridique et religieux. Le marché y était parfaitement intégré. Cette grande place était délimitée par les équipements culturels (théâtres) , sportifs (gymnases) , de loisirs (thermes), de culte (temples) et commerciaux (marchés, magasins) , qui se côtoient harmonieusement. 2) Antiquité Romaine : L’Agora grecque a été reprise par les romains , sous le nom de Forum. Le forum

qui lui demande de changer d’attitude, il feint de se mettre à sa place et lui avoue son amour et son vœu de l’épouser. Mais Harpagon s’agace auprès de Valère de la riche collation que Cléante a préparée pour Mariane qui s’apprêtait à partir à la foire avec Frosine et Élise. Il devient colère lorsque Cléante lui ôte du doigt une bague de diamant pour l’offrir en son nom à sa promise. Scène 8. Harpagon, Mariane, Frosine, Cléante, Brindavoine, Élise. Brindavoine entre (ce qui lie les scènes) pour

thème dominant de l’infidélité .
Contexte historique : le XVII = grand siècle religieux , siècle de la rigueur , janséniste ( morale chrétienne austère )
Contexte littéraire et artistique : le XVII = le baroque (liberté d’imagination, illusion , aux théâtre = pièces " à machines ") et le classicisme (règles des trois unités, bienséances)
Dom Juan est une pièce baroque, libérée des contraintes, ni unité de lieu ni unité de temps . Recours à tous les artifices notamment au merveilleux. La pièce de Molière

apportant de cette sorte à son auteur, du jour au lendemain pour ainsi dire, une richesse et une notoriété considérable, en Allemagne d'abord, dans toute l'Europe ensuite. Le livre fut publié anonymement et parut à l'automne 1774 à l'occasion de la foire du livre de Leipzig, et fit donc beaucoup de bruit. Aucun autre livre de Goethe ne fut autant lu par ses contemporains : le succès qui en résulta suffit à lui conférer une gloire annonçant les chefs-d’œuvre à venir. Johann Wolfgang Von Goethe est la