Thein Sein

cancer de l'œsophage – cancer de l'ovaire – cancer des bronches – cancer du col de l'utérus – cancer du côlon et du rectum – cancer du foie – cancer du larynx – cancer du pancréas – cancer du poumons – cancer du rein – cancer du sein – cancer du testicule – leucémies et lymphomes Tous les cancers ne sont pas traités de la même manière et n'ont pas les mêmes facteurs. Comment se développe-t-il dans l'organisme ? De son foyer initial, le cancer va (en dehors de tout

BIBLIOGRAPHIE TPE : Comment vaincre le cancer du sein aujourd’hui ? Dictionnaires et encyclopédies : • Le Petit Larousse (grand format ) , édition LAROUSSE datant de 1998 Livres : • SABINE DE LA BROSSE, Savoir pour guérir : Vaincre le cancer du sein. Paris, Filipacchi, 1 septembre 2004, 224 pages. Sites internet : • Claude Jasmin Visité le mardi 15 et 25 octobre, site du professeur. Association le cancer du sein parlons-en. http://cancerdusein.org •

publications le désignant comme un perturbateur endocrinien oestrogéno-mimétique ayant des effets sur la reproduction. Son implication est également suspectée dans l’apparition du diabète, de l’obésité, de dysfonctionnements thyroïdiens ou de cancer du sein et de la prostate. Suite à ces études, la législation envers le bisphénol A évolue rapidement. Affectant l’organisme, celui-ci est dit « dangereux » .Pourtant l’industrie du plastique affirma longtemps que son utilisation n’était pas néfaste pour

de retraite le 6 février 2012 pour un séjour temporaire car chez elle, elle faisait des crises d'hallucinations. ANTECEDANTS -médicaux: Alzheimer, cirrhose biliaire primitive diagnostiquée en 1985, DIP (déficit immunitaire primaire), cancer du sein gauche en 2001 sans rechute, pseudo polyarthrite rhizomélique en 2005, chondrocalcinose, hypercholestérolémie, lithiase vésicule biliaire, diabétique depuis 1985, hospitalisée le 5 février 2012 pour un syndrome dépressif et apathie. -chirurgicaux:

e Deticene Doxorubicine Efudix Eldisine Eligard Eloxatine Enantone lp Endoxan Epirubicine Erbitux Estracyt Etopophos Etoposide Eulexine Fareston Farlutal Farmorubicine Faslodex Femara Fludara Fluorouracile Flutamide Gammanorm Gemza Le cancer du sein touchera une femme sur huit au cours de sa vie. On compte 42 000 nouveaux cas chaque année. Aujourd'hui, le cancer est responsable de plus de 150 000 décès par an En France, les cancers représentent la première cause de mortalité chez les hommes

principale cause de décès, suivi par les cancers du côlon-rectum et de la prostate. Chez la femme, il s’agit du cancer du sein suivi par les cancers du côlon-rectum et du poumon. Cancers les plus fréquents chez l’homme (Année 2010 – Source : UNICANCER) : prostate (71 500 cas) poumon (27 000) côlon-rectum (21 000) Cancers les plus fréquents chez la femme : sein (52 500 cas) côlon-rectum (19 000) poumon (10 000) 150 000 personnes, dont 90 000 hommes et 60.000 femmes

indépendante de la dose délivrée. La survenue de tels cancers n’est pas le seul apanage de la radiothérapie, ceci peut être observé après une irradiation professionnelle (ouvriers des mines d’uranium), irradiation diagnostique (mammographie et cancer du sein), explosions atomiques (Hiroshima) ou accident nucléaire (Tchernobyl). Les études portant sur la carcinogenèse sont cependant difficiles du fait de nombreux biais : * La taille des populations irradiées n’est pas assez grande et la dose reçue suffisamment

et empêchent l’action de cette hormone. Cancer de la prostate : ils suppriment ainsi la fonction testiculaire et entraînent une réduction des taux de testostérone équivalents à ceux de la castration (suppression de 90% de la testostérone) Cancer du sein : inhibition de la production des œstrogènes. Effets secondaire : - Poussée évolutive prévenue lors du début de traitement par l’adjonction systématique d’antiandogènes périphériques. - Manifestations de la castration : bouffées de chaleur, impuissance

peuvent alors être observées par les anatomo-pathologistes. c. Le métier d’anatomo-pathologiste Dans leurs bureaux les médecins observent les lamelles apportées par les techniciens. Soit ils doivent déterminer l’origine de la maladie (cancer du sein....) soit ils revérifient les prélèvements qu’ils avaient observé en clinique. Puis ils font des diagnostics qui seront envoyés au différents médecins qui ont fait une demande d’examen. Ces derniers feront des traitements pour les patients en fonction

témoignent chez les plus "sportifs" d’une réduction du risque "convaincante" pour le cancer du côlon et du sein, Pour le cancer du côlon, les personnes les plus actives présentent une réduction du risque de cancer du côlon de près de 20 %. Par ailleurs, un tour de taille excessif est lié à un excès de cancer pouvant dépasser 40 %, en particulier chez les hommes ; Pour le cancer du sein, la diminution du risque liée à l’activité physique est de 30 % entre les femmes les plus actives et les plus