Théramène

Elseneur. Phèdre de Racine Thésée, fils d’Égée, roi d’Athènes Phèdre, femme de Thésée, fille de Minos et de Pasiphaé Hippolyte, fils de Thésée et d’Antiope Aricie, princesse du sang royal d'Athènes Œnone, nourrice et confidente de Phèdre Théramène, gouverneur d'Hippolyte Ismène, confidente d'Aricie Panope, femme de la suite de Phèdre Gardes La scène est à Trézène, ville du Péloponnèse. Tartuffe de Molière Madame Pernelle : mère d'Orgon et favorable à Tartuffe qui est, d'après elle, un

alors le trainer sur des centaines de mètre, défigurant totalement le pauvre Hypolite. Pendant ce temps, Thésée commence à avoir des doutes sur la version d'Œnone parce qu'elle s'est suicidée et regrette d'avoir implorer Neptune pour tuer son fils. Théramène vient rapporter l'histoire de la mort d'Hypolite à Thésée. Il est choqué et très triste et s'en veut énormement. Les derniers morts d'Hypolite étaient qu'il aimerait qu'on sache la vérité à propos de lui pour l'honneur de sa mémoire. Alors Thésée

mutisme a un correspondant gestuel : l'évanouissement: ou sa version noble, l'affaissement trouble > privilége du héros tragique] Avant même qu'elle ne paraisse sur scène, Phèdre se profile comme la victime exemplaire d'un silence imposé. Théramène, le premier, y fait allusion devant Hippolyte: «Phèdre, atteinte d'un mal qu'elle s'obstine à taire» (I, 1, v. 45). Plus loin, Œnone confie à ce même Hippolyte: «Elle meurt dans mes bras d'un mal qu'elle me cache» (I, 2, v. 146)2. Tout au

Objectif : comprendre un choix d’écriture. • Séance 4 : l’engrenage de la malédiction Objectif : initiation aux notions de fatalité, de douleur et fureur tragique (dolor / furor). • Séance 5 : le double récit de la mort d’Hippolyte / le récit de Théramène Objectif : • Repérer des éléments du registre épique dans le premier récit. • Repérer des éléments réalistes dans le second récit. • Lire et dire une tirade racinienne • Séance 6 : l’évaluation des responsabilités dans la mort d’Hippolyte d’après

pour rendre jalouse leurs rivales. LB décrit également leurs minauderies : le moindre de leur geste est calculé. Elles apparaissent comme de véritables comédiennes.Cette phrase signifie que le mérite d’une personne est proportionnel à sa richesse. Théramène, et surtout son argent, deviennent l’objet de toutes les convoitises et toutes les femmes veulent l’épouser.Livre V : de la société et de la conversationLa Bruyère regrette la grossièreté et le manque de délicatesse des conversations (4)Il regrette

de son père et amoureux d'Aricie.
  Œnone, nourrice, dévouée corps et âme, de Phèdre.
  Aricie, jeune princesse courageuse, éliminée du trône d'Athènes par Thésée qui, pour des raisons politiques, lui a interdit de se marier sous peine de mort.
  Théramène, gouverneur d'Hippolyte.
  Ismène, confidente d'Aricie.
  Panope, femme de la suite de Phèdre.
  Gardes. 
La scène est à Trézène, ville du Péloponnèse. 4. Étude des personnages principaux
4.1. Phèdre
Racine propose dans sa préface la clef de ce personnage

| | |- Fiche vocabulaire | |2 |Acte I : 1º confidence d’amour |Quelle conception de l’amour ? |Aveu d’Hippolyte à Théramène | | |coupable. |Rapports père/ fils |Acte I, s1, v 65 à113 | | |La notion de faute |Hippolyte

points ) Après une lecture approfondie du corpus de texte, nous pouvons nous apercevoir que la confrontation du héros et du monstre peut ce manifesté de différente façon. En effet, dans Phèdre, la confrontation avec le monstre est relatée par Théramène, le combat n’a pas lieux sur scène ; ce qui respecte les règles de la bienséance imposées à cette époque. La pièce de théâtre en vers et le champ lexical de la guerre donne une dimension épique au texte. En revanche, dans La Machine infernale

ont besoin de la mer, par exemple, eh bien Hyppolite, on ne le voit pas courir sur la plage avec ses chevaux, au moment où il faut qu’il se casse la figure, non, eux, ils ne se cassent pas la tête, ils vous font tout bonnement un petit récit de Théramène et puis on n’en parle plus. UN : Vous pensez ! C’est bien plus commode. DEUX : Ah non, ce n’est pas comme… UN : Du tout. DEUX : Du tout du tout. UN : Du tout du tout. DEUX : Non. Mais… euh… qu’est-ce que je disais déjà ? UN : Sais plus. DEUX

bienséances et le souci de la vraisemblance participent également du code de l'écriture théâtrale. Rien de choquant ne doit être représenté sur la scène : ainsi, la mort de Cléopâtre dans Rodogune de Corneille, se déroule dans les coulisses ; le récit de Théramène, dans Phèdre, relate l'épisode de la fin violente d'Hippolyte.Le XVII