Therese Raquin Peur

convulsionnée, telle qu’il l’avait aperçue sur une dalle de la Morgue. Il demeura cloué sur le tapis, défaillant, s’appuyant contre un meuble. Au râle sourd qu’il poussa, Thérèse leva la tête. — Là, là, disait Laurent d’une voix terrifiée. Le bras tendu, il montrait le coin d’ombre dans lequel il apercevait le visage sinistre de Camille. Thérèse, gagnée par l’épouvante, vint se serrer contre lui. — C’est son portrait, murmura-t-elle à voix basse, comme si la figure peinte de son ancien mari eût pu l’entendre

Exposé de français sur la chambre de Laurent dans Thérèse Raquin 1) Comment la chambre de Laurent est désignée dans la première partie de l’œuvre ? Pourquoi ? La chambre de Laurent est désigne par les termes « petit cabinet meublé » et « galetas ». Un galetas est un logement misérable et sordide pratique sous les combles, juste au-dessous du toit : « un petit cabinet meublé qui payé 18 francs par mois, ce cabinet, mansardé, troué en haut d’une fenêtre à tabatière avait 6m² » 2) Décrivez

Thérèse Raquin est un roman publié en 1867 par le chef de file du gouvernement naturaliste Emile Zola dont c’est une œuvre de jeunesse. Dans ce roman naturaliste l’écrivain se propose d’étudier en scientifique le tempérament de deux personnages et la domination qu’exercent sur eux leurs nerfs. Le passage qui nous intéresse est un extrait du chapitre 13 et se situe dans une morgue où Laurent va régulièrement à la recherche du cadavre de Camille afin de pouvoir être sûr que la mort de ce dernier est

Thérèse Raquin est le personnage le plus ambitieux et le plus complexe du roman. Son éducation auprès de Camille l’en a dégoûté et elle a développé un sens inné pour feindre. Ce carcan explique la passion soudaine et totale qu’elle éprouve pour Laurent. La libération de tout ce qu’elle retient en elle depuis si longtemps lui fait avoir des positions insolentes et la pousse à accepter le crime. Une fois celui-ci commis, elle ne s’explique pas à elle-même son acte et le regrette sincèrement. Elle se

Plan détaillé sur Thérèse Raquin Énoncé d’analyse : Prouvez que le passage du Pont-neuf est un endroit sinistre, que la mercerie de madame Raquin a l’apparence d’une boutique abandonnée dans laquelle moisissent les êtres qui l’habitent. Premier paragraphe  Idée principale : La rue Guénégaud aussi appelé le passage du Pont-neuf est lieu sinistre. Idée secondaire : Cette rue est composée d’endroit dégoutant et même peu porter à nous effrayée. Preuve : « étroit et sombre »(l.3), « jaunâtre

commun au romancier et au lecteur, qui veulent tous deux voir le héro aller jusqu’au bout de son destin et de sa passion d’une façon idyllique mais totalement imaginaire, malgré un cadre spatio-temporel réel. Par exemple , dans Manon Lescaut et Thérèse Raquin, l’action se déroule dans un lieu réel,(au 18ème siècle en Amérique pour ML et à Paris dans une boutique pour TR au 17ème siècle) mais l’action des personnages y est très mouvementé et presque imaginaire car ceux-ci sont guidés et aveuglés par

Malgré cette douceur, l’atmosphère est tout de même celle d’une promenade funèbre : le crépuscule apporte logiquement avec lui le côté sombre qui rappelle le noir de la boutique des Raquin et le passage du Pont-Neuf dans lesquels Thérèse étouffe. Comme dans le passage, l’ombre évoque des fantômes : " De grandes ombres tombaient " et les couleurs, même adoucies, sont principalement sombres : " les eaux étaient noires ", " les deux rives, d'un brun sombre tâché de gris ", " les coteaux n'étaient plus

rappelant que la vie est courte, et qu'il faut se hâter d'en profiter. Vanita vanitarum :vanité des vanités omnia vanitas ; tout n'a pas de sensActivitée 1.Séquence 3 l’écriture a l’épreuve du réel le roman experimental je pense que l’œuvre Thérèse raquin est réaliste car il donne

Parfois, le dimanche, lorsqu'il faisait beau, Camille forçait Thérèse à sortir avec lui, à faire un bout de promenade aux Champs-Elysées. La jeune femme aurait préféré rester dans l'ombre humide de la boutique, elle se fatiguait, elle s'ennuyait au bras de son mari qui la traînait sur les trottoirs, en s'arrêtant aux boutiques, avec des étonnements, des réflexions, des silences d'imbécile. Mais Camille tenait bon; il aimait à montrer sa femme; lorsqu'il rencontrait un de ses collègues, un de ses

utilisés par les écrivains pour créer des rebondissements, servent également à faire éprouver des émotions au lecteur comme par exemple à l’apitoyer. En effet, dans le roman Thérèse Raquin, écrit par Emile Zola, Thérèse et Camille vivent une vie de couple paisible jusqu’à qu’un troisième élément fasse son apparition : Laurent. Thérèse tombe amoureuse de ce dernier, et elle décide de tuer son époux. Jules Barbey d’Aurevilly développe une histoire similaire, dans le Bonheur dans le crime, Le compte Serlon