Therese Raquin Peur

librairie Hachette le 31 janvier 1866. Le scandale de la publication de certains de ses articles sous le titre Mes Haines et le soutien qu’il apporte à un peintre comme Manet, le font connaître.       Emile Zola commence à publier des romans, dont Thérèse Raquin, qui est sa première réussite. Après la guerre de 1870, à laquelle il ne participe pas puisque sa mère est veuve et que lui même est myope, il devient journaliste parlementaire. En 1871, il écrit le premier volume des «Rougon-Macquart» qui s’intitule

librairie Hachette en 1866. Dès cette année, il mena sa première grande campagne naturaliste dans l'Évènement de Villemessant, en défendant un peintre dont les toiles avaient été refusées au Salon : Édouard Manet. En 1867, il publia un roman, Thérèse Raquin qui, bien qu'il n'en fasse pas partie, annonça les Rougon-Macquart par les sujets abordés (hérédité, folie) mais aussi par les critiques qu'on en fit : dans la presse on traita Zola de « pornographe », d'« égoutier », de partisan de la « littérature

juillet, il s’exile à Londres. Evénements en relation avec l’œuvre : Le personnage de Nana a été notamment inspiré à Zola par Blanche Dantigny. b. Bibliographie 1864 : Les contes a Ninon 1865 : Les confession de Claude 1867 : Thérèse Raquin 1868 : Madeleine Férat 1870 : La fortune des Rougon 1871 : La curée 1874 : La conquête de Plassans 1875 : La Faute de l’abbé Mouret 1876 : Son excellence Eugène Rougon 1877 : L’assommoir 1878 : Une page d’amour 1880 : Nana 1882 :

répétitions de « mes gages ! » montrent à quel point l’argent est vital pour lui. Aux côtés de Dom Juan, il incarne la partie « corporelle » du duo. Ainsi il fait l’éloge (paradoxale) du tabac (Acte I, scène 1), montre tous les signes physiques de la peur dans ses habits de médecin (III, 5), mange avec appétit (IV,7) et développe une gestuelle très présente sur scène, qu’il reçoive des gifles, tombe, ou repousse M. Dimanche. Sa relation avec son maître est curieuse dans la mesure où affirme le détester

ne correspond pas à ce qu’on attend d’ordinaire d’un héros de roman L’anti-héros peut être un personnage négatif, qui incarne le mal ; en ce cas, il est difficile de s’identifier à lui (si c’est un tueur par exemple). Laurent, dans l’extrait de Thérèse Raquin (corpus), commet des actions horribles : il convoite et séduit la femme de son ami, puis tue celui-ci de manière révoltante. De même, les deux héros des Liaisons dangereuses de Laclos, roman qui met en scène deux libertins et leurs proies, ne

sa mère pour voir son père au travail, et lorsqu’elle crie son nom, il tombe du toit. Nana deviendra plus tard l’héroïne du roman éponyme. Mais plus tard dans au cours de cette histoire, Nana s’enfuira du domicile familial laissant sa mère grise de peur et de colère, et entretenant des relations avec multiples amants. ------------------------------------------------- Goujet Il est le voisin de Gervaise et de Coupeau. C’est un forgeron sobre et économe, qui mène une vie simple. Il est secrètement

Titre des oeuvres les plus connues : L’assomoir (1876)! ! ! Germinal (1885)! ! ! ! ! Le Roman expérimental (1880)! 3. ! Nana (1879) ! Thérèse Raquin (1867) ! La Bête humaine (1890) Analyses approfondies de l’oeuvre Genre du livre : ! On peut qualifier le roman de Zola comme un thriller. La peur est omniprésente dans la plupart des chapitres. Lorsque que la folie embarque Jacques Lantier quand il s’agit de tuer on se retrouve dans des moments de stress intenses

de sécurité retrouvée, a recouvert petit à petit la douleur, la peur. Il est si ardent, si vivant, il y met une telle passion… C’est cela qui lui permet de découvrir, d’inventer cette ferveur, cette intensité de sensations, ces désirs effrénés. Elle se sent bien maintenant. L’édifice ébranlé, vacillant, s’est remis petit à petit d’aplomb… C’est ce qui lui manque à elle, cette passion, cette liberté, cette audace, elle a toujours peur, elle ne sait pas… « Tu crois ? Chez nous ? Mais je ne vois pas…

femme facile et une grande commère. Elle est notamment l'amie de Mme Lebleu, la voisine des Roubaud, avec laquelle elle passe beaucoup de temps à médire sur les uns et les autres, et particulièrement sur les Roubaud. Ces médisances sont attisées par la peur de Mme Lebleu de perdre, au profit des Roubaud, le logement qu'elle occupe sans y avoir droit. Plus tard dans la matinée, un employé du télégraphe annonce l'assassinat de Grandmorin. M. Dabadie, le chef de gare, et M. Cauche, qui est chargé de la

femme facile et une grande commère. Elle est notamment l'amie de Mme Lebleu, la voisine des Roubaud, avec laquelle elle passe beaucoup de temps à médire sur les uns et les autres, et particulièrement sur les Roubaud. Ces médisances sont attisées par la peur de Mme Lebleu de perdre, au profit des Roubaud, le logement qu'elle occupe sans y avoir droit. Plus tard dans la matinée, un employé du télégraphe annonce l'assassinat de Grandmorin. M. Dabadie, le chef de gare, et M. Cauche, qui est chargé de la