Therese Raquin Peur

romanciers français les plus populaires, les plus publiés, traduits et commentés au monde, adaptés au cinéma. Il a écrit ses œuvres avec toute son ardeur combattante, son courage et le poids de sa notoriété. Ses œuvres les plus marquantes : « Thérèse Raquin » (1873) « Rougon-Macquart » (1868-1893) « L’Assomoir » (1876) « Au Bonheur des Dames » (1883) « Germinal » (1885) « La Bête humaine » (1890) « Les Trois Villes » (1893-1898) « J’accuse «  (1898) NOM : ZOLA Prénom : Emile

Émile ZOLA, Germinal, 1, 5, 1885. 1.Bai : brun rougeâtre. 2.Bataille: "C'était Bataille, le doyen de la mine, un cheval blanc qui avait dix ans de fond. " Questions d'observation (8 points) 1. Relevez des termes appartenant au champ lexical de la peur. Comment agit-elle sur Trompette ? (2 points) 2. Dans les lignes 9 à 1 1, de " Enfin " à " encore ", justifiez l'emploi des formes verbales conjuguées. (3 points) 3. Dans la phrase " Quoi donc ? [... ] dans le noir ? " (1. 8-9), identifiez qui parle

veut point voir sur la scène des spectacles trop vrais , ni entendre des propos désolants et que le spectacle tient à ce qu’on respecte la morale .Il a l’idée que le public peut tout accepter ,il suffit seulement de le préparer. Rien, pas même la peur de gêner la morale bourgeoise ne peut donc empêcher l’auteur naturaliste de représenter très crûment la vérité au théâtre. La pièce naturaliste sera donc une sorte de calque du roman naturaliste.  Les personnages sont soumis à la fatalité de leur

C’est entendu, je me mets à part, je ne me rappelle plus même que je suis l’auteur de Thérèse Raquin. Vous avez parlé de charnier, de pus, de choléra, je vais parler à mon tour des réalités humaines, des enseignements terribles de la vie. Je vous avoue, monsieur, que je vous aurais répondu tout de suite si je n’avais éprouvé un scrupule bête. J’aime à savoir à qui je m’adresse, votre masque me gêne. J’ai peur de vous dire des choses désagréables sans le vouloir. Oh ! je me suis creusé la tête. J’ai

«son camps » , Emile Zola est mit en procès, un procès très médiatisé et attendu à cette époque. Il est obligé de s’exiler en Angleterre car il est condamné en France à un an de prison en 1898. L'Etat et le gouvernement le rejette de la société par peur qu'il n'influent le monde même dans ces idées naturalistes et presque humanistes. Sa popularité monte au zénith et il reçoit le soutien de nombreux dreyfusards, écrivains, artistes, hommes politiques (comme Clemenceau). Il bouleverse alors le pays

éprouvait quelque chose d'analogue à l'appréhension qu'on a quand on doit se faire arracher une dent. A tout moment cette pensée lui revenait : « Il faudra me confesser ce soir. » Et son âme troublée, une âme d'athée mal convaincu, s'affolait devant la peur confuse et puissante du mystère divin. Il se dirigea vers le presbytère dès qu'il eut fini son travail. Le curé l'attendait dans le jardin en lisant son bréviaire le long d'une petite allée. Il semblait radieux et l'aborda avec un gros rire : - Eh

retrouver dans la bande dessinée. Il est manipulateur, rusé et a un sens aigu du commerce, puisqu’il parvient à faire de la médecine un véritable fonds de commerce. Knock est donc médecin, certes, mais surtout un escroc qui parvient à utiliser la peur chez les gens pour les faire revenir. Il fait à cet égard preuve d’une intelligence prag- matique, presque machiavélique, en offrant d’abord des consultations gratuites. On peut ajouter à ce portrait qu’il est ambitieux et a le sens du défi ; en effet

entraînée vers la paresse, la gourmandise et l'alcoolisme. * Coupeau : ouvrier zingueur, honnête et travailleur au début du roman ; jusqu'à sa chute d'un toit, il reste sobre en souvenir de son père, alcoolique ; sa rancœur envers le travail et la peur de remonter sur les toits le font sombrer dans l'ivrognerie et la paresse ; il devient la proie d'affreuses crises de delirium tremens ; il est interné sept fois à l'hôpital Sainte-Anne, où il décède. * Auguste Lantier : ouvrier tanneur puis chapelier

employé au bureau des expéditions et chef de la publicité chez Hachette de 1862 à 1866, puis va cumuler avec emploi de journaliste. 1866 part de chez Hachette pour se consacrer entièrement à l’écriture. Premier succès en 1867 avec Thérèse Raquin et commence son immense cycle de romans Les Rougon-Macquart ou Histoire naturelle et sociale d'une famille sous le Second Empire. Condamne la Commune de Paris et devient officier de la Légion d’Honneur après la publication du dernier volume

puisqu’elle paraît habituée. La petite allitération en « m » vers la fin du texte « la misérable existence que menait sa mère, enfermée, du matin au soir » traduise le doux tempérament de la mère mais font également penser à une mélopée triste dont on ne peur pas s’échapper. Donc malgré le lien de parenté et surement l’amour entre les deux personnages, on remarque que le fils ressort plus que sa mère, il est un peu mis en avant car non seulement c’est le personnage principal, mais aussi parce qu’il est