Thésaurisation

conséquences du fait que celle-ci est une réserve de valeur. Elle peut donc être conservée aussi longtemps qu’il plaira à son détenteur. Dès lors il n’y a aucune raison pour que le revenu soit intégralement dépensé (la différence constituant la thésaurisation) et pour que la demande de la période soit égale à l ‘offre de la période POURQUOI ADAM SMITH ? La place de Smith dans la pensée économique a toujours conjugué deux dimensions car il est considéré comme le fondateur de l’économie politique

première récolte est mise de côté [explication du Log-book : soudain Robinson a conçu la nécessité de lutter contre le temps, et de l'emprisonner. La conservation de cette première récolte est un acte d'avenir et met en évidence le processus de thésaurisation].Robinson s'adapte à Speranza dont il tire de plus en plus de substance et, un beau jour, le trouvant sans doute humanisé, le chien Tenn lui saute au cou . Vient alors, l'animal rappelant à Robinson que domestique parle de maison, la construction

ne doit pas procréer. l’argent ne doit pas procréer, mais plutôt un instrument d’échange et de réserve de valeur ; l’avant dernier, enrichissement sans le travail est une injustice sociale ; quant au dernier, l’auteur, exclut l’esprit de la thésaurisation. Chronique Finance Islamique 1. Selon Aristote, « … Car la monnaie 2. L’idée de l’école 3 socialiste notamment Karl Marx , assimilait l’intérêt de l’argent à la rente 1 Selon –Mohamed Bachir OULD SASS, Paris, 20082 Cité

de Germinal an XI (mars 1803)  1franc=a*Or+b*Ar tel que 1gr Or=15,5gr Argent. 15 Janvier 2009 14 Pb  La valeur de ces métaux varie en fonction de leur valeur commercial (les réserves et les gisements d’Or et d’Argent).  Il y a thésaurisation : s’il y a découverte de nouveaux gisements d’or, la valeur de l’argent augmente. Les agents conservent l’argent  Il y spéculation : S’il n’y a pas de coûts de transaction/transport, les agents peuvent acheter de l’or (là où il coûte pas

croissance économique ? Maurice Allais disait qu'il faut toujours : « [...] faire en sorte que les mouvements, euphoriques ou dépressifs, de la psychologie collective n’entrainent, par leur impact sur les comportements de demande de monnaie (thésaurisation) ou de crédit, des fluctuations erratiques de l’activité économique, pouvant parfois déboucher sur des crises systémiques, avec leur cortège de désastres matériels et humains ». Quel héritage de cette pensée aujourd'hui ? Quel Etat des lieux 

affectées d'un signe négatif, on pouvait s'y attendre, la spéculation et la thésaurisation. La première est peut-être nécessaire mais elle a des effets redoutables. Zola résume lui-même son roman quand il évoque, au chapitre V, « une de ces poussées folles de la spéculation, qui, toutes les dix à quinze années, obstruent et empoisonnent la Bourse, ne laissant derrière elles que des ruines et du sang ». Quant à la thésaurisation, elle est complètement dépassée et Zola ne prend même pas la peine de réitérer

Locaux (SEL) français, les monnaies sociales ou encore les monnaies libres sont des preuves concrètes que la monnaie peut redevenir un sujet de débat dans la société occidentale. Ces initiatives ont en commun de remettre en cause la capacité de thésaurisation : c’est-à-dire la possibilité de les conserver et d’en tirer un intérêt. Elles sont ainsi toutes sont fondées sur la volonté de recentrer la monnaie sur ses fonctions d’instrument de compte et d’échange, et de lui retirer sa fonction de réserve

durant des vies entières ? De prime abord, un tel projet témoigne d'une certaine conception du savoir qui nous semble bien peu féconde. L'idée d'une accumulation des connaissances mettrait le savoir du côté de l'avoir plus que de l'être, de la thésaurisation stérile plutôt que de la vie de la pensée. C'est sûr, y a plein de thématiques annexes : culture et technique, enjeux du savoir, nature et culture, culture dominante/luxe/prestige/ostentation/argent, culture légitime / culture de masse, culture

peut encore être thésaurisée, c'est-à-dire détenue sous la forme d’encaisses réelles. Dans cette hypothèse, il apparaît que l’épargne ne sert plus alors la réalisation d’investissements productifs et constitue donc une fuite dans l’économie. La thésaurisation est dès lors un frein à l’activité économique. D’où il découle que, si l’épargne peut en effet influer sur la croissance économique, encore faut-il que celle-ci soit injectée dans le circuit monétaire. Enfin, il apparaît qu’en dépit des

utilisation que je vois dans mon revenu c’est de la consommation (dans quoi je vais le dépenser. Pas d’autre intérêt que la consommation). Donc l’argent dépensé va se retrouver dans le circuit ou dans l’épargne pour être investi. Aucune fuite (aucune thésaurisation). Donc normalement pas de surproduction. Peut-être crise de surproduction mais pour SAY elle est ponctuelle et limitée. * La loi de la population de MALTHUS Dit que la population et la production ne suivent pas le même rythme de production