These Qse

maladie mentale pertinente bien que transitoire puis elle disparaît… -Cinq questions, cinq réponses : Dans ce dernier chapitre nous pourrions nous contenter de la première page qui exprime à elle seule le sujet, le déroulement et la thèse de ce livre (conférez thèse). Ensuite l’auteur nous donne plusieurs annexes (notre analyse ne porte pas dessus) -Mais de quoi souffrait donc Albert -Le Juif errant -Le Wandertrieb allemand -L’histoire d’Albert (récit raconté par Albert Dadas et noté pas Tissié)

idées : défendre une cause, s’engager, faire passer des critiques » - le sujet d’invention vous demande de créer un dialogue entre deux thèses sur la littérature : la 1ère thèse est que « la littérature doit être une tribune et doit faire réfléchir le lecteur ». Cela correspond à notre sujet de dissertation. Mais la 2ème thèse est que la littérature a pour fonction de « divertir le lecteur » ! si vous avez bien lu le sujet d’invention (que bien sûr vous ne traiterez pas car vous n’avez qu’un sujet

sens courant du terme). Les personnages ne font que parler, et surtout le personnage principal. En fait, c’est cela le sujet de la pièce : le débat d’idée, la joute verbale entre Alceste et tous ses contradicteurs. II. Une argumentation a. Thèse  * résumée dans la tirade : « l’ami du genre humain n’est point du tout mon fait » = définition étymologique et littérale d’un misanthrope, ennemi du genre humain. * Résumée dans le titre de la pièce : Alceste = celui qui est désigné par le

point de vue des partisans de la vie en ville ou du sport de compétition, ainsi que celui des adversaires. On exigera généralement que l’élève trouve 3-4 arguments pour les deux camps en présence. Ces deux parties de la dissertation s’appellent la thèse et l’antithèse, ou, plus facilement, la partie POUR et la partie CONTRE, ou la partie des partisans et celle des adversaires. Ces deux parties de la dissertation constituent la partie centrale, le DÉVELOPPEMENT, et donc la partie la plus importante

vers 671 à 711 Présentation Phèdre Phèdre, la seconde femme de Thésée brûle d’amour pour son beau fils Hippolyte, enfant d’un premier mariage du volage Thésée avec Ariane. (la sœur de Phèdre, fille du roi de Crète Minos et de Pasiphaé, cf la pelote de laine et le Minotaure). La princesse a honte de cette « fureur » qui l’accable jusque dans sa santé, elle est même décidée à mourir. Toutefois, on annonce la mort de Thésée et Oenone, la confidente de Phèdre la presse à avouer son amour pour Hippolyte

cour, grâce à un poème à l'éloge de Louis XIV Racine a écrit Phèdre en 1677 qui est sa dernière tragédie en 5 actes et en vers. Il choisit un sujet déjà traité par les poètes tragiques grecs et romains. Le roi Thésée étant absent, Phèdre finit par avouer son amour à Hippolyte, fils de Thésée et d'Antiope, une amante amazone. Dans la scène I de l’acte I Hippolyte annonce à son confident Théramène son intention de quitter Trézène. La scène étudiée se situe à l’ouverture de la pièce, et consiste paradoxalement

contradictoires. Deux tendances s'opposent: celle qui la date réellement de 1910 et qui l'inclut dans une série d'études pour Compositions VII, celle qui réfute cette datation et la rapproche des œuvres et du style de 1913. Plaident pour cette dernière thèse le format inhabituel et trop grand pour l'époque, et surtout une inscription tardive de cette œuvre dans le registre manuscrit que tient régulièrement Kandinsky à partir de 19193. Kandinsky est né à Moscou mais il passe son enfance à Odessa. Il s'inscrit

femme traînant sur les planches le crime antique. Au premier acte, quand Phèdre fait à Oenone la confidence de sa tendresse criminelle ; au second, lorsqu'elle se déclare, toute brûlante, à Hippolyte ; et, plus tard, au quatrième, lorsque le retour de Thésée l'accable, et qu'elle se maudit, dans une crise de fureur sombre, elle emplissait la salle d'un tel cri de passion fauve, d'un tel besoin de volupté surhumaine, que la jeune femme sentait passer sur sa chair chaque frisson de son désir et de ses remords

Ainsi au début de l’œuvre Phèdre possède déjà un amour monstrueux envers son beau fils Hippolyte, elle lui déclare son amour au cours du deuxième acte alors que celui-ci avait avoué ses sentiments au prés d’Aricie. Phèdre compare Hippolyte à son père Thésée dans sa jeunesse, «Charmant, jeune, traînant tous les cœurs après soi, Tel qu’on dépeint nos dieux, ou tel que je vous voi. Il avait votre port, vos yeux, votre langage, Cette noble pudeur colorait son visage » (acte 2, scène 5). Racine a choisi d’écrire

naissance plus tard à la philosophie et aux sciences. Le mythe possède une portée universelle et une fonction d’apprentissage. Il est souvent employer au théâtre et y prend corps. Phèdre : son histoire est tout d’abord un mythe ancrée dans celui de Thésée qui est lui-même inscrit dans celui de Minos et du minotaure. Minos est le roi de Crète. Pour montrer sa supériorité il demande a Posséidon de faire jaillir de l’eau un taureau en échange Posseidon lui demande de le sacrifier. Minos oublie de