Thierry Maulnier

somme quun faire-valoir dont la prsence ferait mme perdre laction son unit. Aussi les critiques furent-ils souvent svres pour la ple Aricie, cette ingnue sans consistance (Charles Ddayan), cette mdiocre princesse de boudoir (Pierre Brisson), Thierry Maulnier sacharnant sur elle, la traitant de chaste victime du parfait mlodrame, considrant quen proposant la fuite Hippolyte, elle dbite des niaiseries quaucune jeune fille du thtre racinien na jamais exprimes. Les deux visages de Racine). En fait

faire-valoir dont la présence ferait même perdre à l’action son unité. Aussi les critiques furent-ils souvent sévères pour «la pâle Aricie», cette «ingénue sans consistance» (Charles Dédayan), cette «médiocre princesse de boudoir» (Pierre Brisson), Thierry Maulnier s’acharnant sur elle, la traitant de «chaste victime du parfait mélodrame», considérant qu’en proposant la fuite à Hippolyte, elle débite des «niaiseries» qu’aucune jeune fille du théâtre racinien n’a jamais exprimées. [‘’Les deux visages de

Celle-ci, entre 1900 et 1920, s'incarne dans trois grands esprits : Victor Griffuelhes, d'un métier artisanal et dont les conceptions ont été confrontées avec les tactiques de la dialectique historique ; Merrheim, d'origine prolétarienne, et Albert Thierry, fils d'un ouvrier maçon, gars du bâtiment, mais lui-même pédagogue. Sans ces rapprochements, on comprendrait difficilement la portée du livre de Merrheim. Cette évolution, Merrheim l'étudie d'abord et avant tout dans le cadre de la métallurgie, entendue

cette période voit le développement d’un esprit nouveau, soucieux de se démarquer des écoles de pensées classiques, qu’elles soient libérales ou marxistes. Un premier groupe se situe dans la mouvance traditionnaliste avec Jean de Fabrègues et Thierry Maulnier. Leur analyse antilibérale, anticapitaliste et anti-laïque les conduit à prôner un retour aux communautés naturelles (famille, corporations de métiers) et à l’organisation d’un système inspiré des valeurs contrerévolutionnaires. Un deuxième groupe

Seuil, 1980. Langridge Natasha, Stephenson Heidi, Rage and reason. Women playwrights on playwriting. London, Methuen, 1997. Larrington Carolyne (sous la dir. de). The Feminist Companion to Mythology. London, Pandora Press, 1992. Maulnier Thierry. Lecture de Phèdre, Gallimard, 1943. Pageaux Daniel-Henri, La littérature générale et comparée, Paris, Armand Colin, 1994. Prokopaki Chryssa, «The cycle of Yiannis Ritsos` mythological poems», www.greece.poetryinternational.org/cwolk/view/21906

consolidation du régime 1 ; l’aveu que mieux valait la 1 L’acceptation de la capitulation de Munich par crainte qu’une victoire de la France n’amenât l’effondrement des régimes autoritaires est énoncée formellement par cette déclaration de M. Thierry Maulnier (Combat, novembre 1938) : « Une des raisons de la répugnance très évidente à l’égard de la guerre, qui s’est manifestée dans les partis de droite, pourtant très chatouilleux quant à la sécurité nationale et à l’honneur national, et même très

b) 2 807. Bbg. BON (L.). La Formulation des besoins en information dans les entr. : ét. ling. Thèse, Paris, 1979, pp. 24-26. - L'Information. La Docum. en France. 1962, t. 30, no 3, pp. 3-46. - L'Information par P. Albert... Paris, 1977, p. 42. - MAULNIER (Th.). Le Sens des mots. Paris, 1976, pp. 121-122. MÉDIA, subst. masc. [pic] • MÉDIA, subst. masc. SOCIOL. DE LA COMMUN., PUBLIC. A. [pic]Plur. de médium (v. médium I B 2). B. [pic]Au plur. Abrév. usuelle de mass(-)media

d’écrivains, de gauche ou de droite, à dénoncer «la ruine générale où les hommes sont en train de s’abîmer» (Nizan), à affirmer que «toute volonté d’un ordre véritable doit commencer par accepter et par réaliser les destructions qui s’imposent» (Thierry Maulnier), à opter pour le « refus d’obéissance » (Giono). Céline a pu déclarer : « J’ai joué en France le rôle de l’avertisseur subtil, qui ne voit pas le danger mais le sent, à bonne distance, avant tout le monde, et qui crie : Arrêtez ! Je tenais,

d’écrivains, de gauche ou de droite, à dénoncer «la ruine générale où les hommes sont en train de s’abîmer» (Nizan), à affirmer que «toute volonté d’un ordre véritable doit commencer par accepter et par réaliser les destructions qui s’imposent» (Thierry Maulnier), à opter pour le « refus d’obéissance » (Giono). Céline a pu déclarer : « J’ai joué en France le rôle de l’avertisseur subtil, qui ne voit pas le danger mais le sent, à bonne distance, avant tout le monde, et qui crie : Arrêtez ! Je tenais,

nouvelles synthèses empreintes d'un même air de famille. Une forte exigence de renouvellement doctrinal et humain s'impose dès la fin des années vingt, à l'écart ou dans l'opposition aux partis classiques, avec la Jeune droite (Robert Brasillach, Thierry Maulnier, Jean de Fabrègues), les Jeunes équipes et les Jeunes-Turcs du Parti radical (Bertrand de Jouvenel, Jacques Kayser, puis Pierre Cot, Pierre Mendès France, Jean Zay, Gaston Bergery), enfin les néosocialistes en 1930-1933, avec Marcel Déat,